L Injustice Au Désordre

peuple reçoit la religion, les lois, comme la monnaie, sans l'examiner. - Voltaire Extrait de Le Sottisier Les lois claires en théorie sont souvent un chaos à l'application. - Napoléon Bonaparte SUR LA JUSTICE Quand l'ordre est injustice, le désordre est déjà un commencement de justice. - Romain Rolland Quatorze juillet L'amour de la justice n'est pour la plupart des hommes que la crainte de souffrir l'injustice. - François de La Rochefoucauld Extrait des Maximes La justice

c’est aussi avec la plus grande conviction que je défendrai un projet longuement réfléchi et délibéré pour l’ensemble du gouvernement, un projet qui, selon les termes même du président de la République, a pour objet de "mettre fin à une situation de désordre et d’injustice et d’apporter une solution mesurée et humaine à un des problèmes les plus difficiles de notre temps". Si le gouvernement peut aujourd’hui vous présenter un tel projet, c’est grâce à tous ceux d’entre vous - et ils sont nombreux et

relations monétaires internationales et créent un institut spécifique, le Fonds monétaire international, chargé de veiller au respect de ces règles. Une triple volonté préside à cette conférence monétaire et financière : 1. Eviter les désordres de l’entre-deux-guerres ; 2. Stabiliser les changes ; 3. Créer des conditions favorables à une croissance harmonieuse des échanges et à la prospérité. Cependant, les intérêts des pays ne convergent pas forcément, et les pays ne

charge du bien public). La guerre n'est pas du ressort de la personne privée. Elle se fait pour le bien public (juste cause) et doit être décidée par ceux qui en ont la charge. b) La juste cause. Pour saint Augustin, la guerre juste « punit une injustice ». Saint Thomas va dans le même sens : « il est requis que l'on attaque l'ennemi en raison de quelque faute » C'est ultérieurement que seront ajoutées les fameuses quatre conditions de la cause juste qui sont dans le Catéchisme et définissent

et compte de manière incessante les Juifs. Elles sont presque criées, donnant un effet de réalisme. Et l’hébreu pour la prière finale. Dans cette œuvre, on a l’impression de ne pas avoir de repères, d’être un peu perdu. On a une impression de désordre, de confusion. Ce qu'on ressent à la 1ère écoute c'est une sensation de violence, d'angoisse, de malaise, d'inquiétude. C'est, bruyant et triste. On a l'impression que le narrateur est un peu fou : Schoenberg par sa musique nous transmet le traumatisme

Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions , 1782-1789 Cette autobiographie se compose de 12 livres, écrits entre 1764 et 1770 et publiés après la mort de l’écrivain. L’auteur y raconte notamment les injustices dont il fut, selon lui, victime et livre un autoportrait finalement très positif. George Sand, Histoire de ma vie , 1855 L’auteur fait le récit de sa jeunesse. Elle donne également un

modèle de l’homme juste qui refusa de s’évader de sa prison alors même que la condamnation légale qui le frappait était injuste. L’homme juste selon Socrate, c’est celui qui préfère subir l’injustice plutôt que de la commettre, or ce serait une injustice que de désobéir aux lois d’Athènes auxquelles doit tout, ainsi qu’il l’explique dans le dialogue Criton. Référence : Criton de Platon (à lire pendant l’année) L’obéissance est donc présentée comme une condition nécessaire de la justice, quand

faille repousser l’Asocial hors de la société car même si les fondements de la société sont injustes, les remettre en doute causerait un tort bien plus grand. A cet égard, l’écrivain Goethe écrit ainsi qu’il vaut « mieux tolérer une injustice que tolérer un désordre ». Partant, il semble donc bien qu’il soit nécessaire de marginaliser l’Asocial pour que les fondements de la société soient solides. Ainsi, si l’Asocial semble être assurément une menace pour la société en tant qu’il sème le chaos

puisque affirmer dans des textes de loi. B. L’équité repoussé par le droit. Dans la loi. Par l’article 12 su NCPC énoncé dans l’introduction. La loi ne peut accepter que l’équité prenne partie dans le droit, se risquant à une plus grande injustice si le principe d’équité est effectivement appliqué. En effet la prise en compte du cas particulier se heurte au problème de règle de droit général. On ne peut appliquer le droit de façon différente pour chaque individu, puisque la décision juste

ne sont pas rationnels ou raisonnables, la vie en collectivité consacre le règne de la violence, des injustices et des inegalités. Dautre part les moyens couramment utilisés en politique contredisent, par leur nature, le but visé. Un homme politique peut mentir pour ne pas aggraver une situation sociale. L'état peut faire usage de sa force, par la sanction ou la guerre, pour canaliser le désordre. La force, le mensonge et la guerre ne sont-ils pas une négation de l'union espérée par la politique