L Injustice Au Désordre

L’application des traités de paix en Europe a entraîné des changements de frontières qui alimenteront des ressentiments : pour l’Italie, pourtant pays vainqueur, la paix sera considérée comme une « paix mutilée », pour l’Allemagne, pays vaincu, comme une injustice totale… La Russie de Lénine puis l’Union Soviétique de Staline occupe une place à part. I- Les principales raisons qui expliquent la montée des totalitarismes :   A) Des contextes de crise :   En Russie : de la guerre à la révolution :   Au début

chacun à sa notion du bien et du mal. Qui doit être le bénéficiaire de la règle de droit ? L’individu ? La société ? On peut avoir un droit injuste à un individu mais qui va être bénéfique à toute la société. Goethe : « il vaut mieux une injustice que le désordre ». Il faut un équilibre des 2 : assurer le bien-être des individus de manière autonome et à la fois le bien être de la société. II. Contexte du droit A. La morale individuelle et le droit Morale : règle personnelle qui tente de définir

justifient l’acquisition de la propriété privée L’Encyclique énumère deux titres originaires de la propriété privée : l’occupation d’un bien sans maître, d’une part et d’autre part, le travail qui transforme une matière. Par conséquent, il n’y a aucune injustice à occuper un bien vacant qui n’appartient à personne. Ces considérations concernent le droit de la propriété privée. Dans les lignes qui viennent, nous nous pencherons sur la question salariale. Nous explorerons alors la doctrine de l’Eglise en

qu’il devrait être indépendant des 2 autres pouvoirs ; c’est le monde du tribunal et le domaine du juge. La notion peut aussi renvoyer à une norme supérieure censée fonder le droit positif, et au nom de laquelle on peut s’insurger contre les injustices et actes illégitimes (cf. droit naturel). Enfin , la justice peut être une vertu morale individuelle (disposition acquise à agir de manière juste , bonne , raisonnable ) , telle que Platon cherche à la définir dans la République , qui est l’incarnation

des objets qu’ils ne voient qu’au travers de mille nuages, entraînés les uns par les autres sans savoir où ils vont, ils composent une multitude confuse et tumultueuse, qui semble n’avoir d’autre dessein que de s’agiter sans cesse. Si, dans tout ce désordre, des rencontres favorables peuvent en rendre quelques-uns heureux pour quelques moments, à la bonne heure ; mais il est bien sûr qu’ils ne sauront ni prévenir ni modérer le choc de tout ce qui peut les rendre malheureux. Ils sont absolument à la

répondre à sa vocation humaine, l’homme ne peut aucunement se contenter de vivre dans un état quasiment animal. n27L’homme naturel, s’il existe vraiment, se rapproche donc de la bête… L’état de nature, quant à lui, est le règne de la violence et des injustices ; c’est même un état fratricide, puisque, selon Hobbes, " l’homme est un loup pour l’homme ". En effet, l’homme, par nature, n’est pas bon n28, pas plus que les animaux livrés à la " loi de la jungle ". Par conséquent, la nature peut dissocier les

Droits de la femme (« souverain empire » l. 3, « opprimer » l. 3, « empire tyrannique » l. 7, « commander en despote » l. 18) trouve un écho dans les termes péjoratifs employés dans le postambule, comme « injuste » (l. 105), « injustices de l’homme » (l. 111) ou « vaines prétentions de supériorité » (l. 121). Il s’agit dans les deux cas de repenser les rapports entre les hommes et les femmes, en montrant aux uns que l’oppression masculine est illégitime, en exhortant les autres

pour ceux des autres.  Quand ce souci des autres disparaît chez un citoyen […] celui-ci devient un petit fauve qui ne pense plus qu'à s'engraisser en dévorant ses voisins […]  Si cette tendance se multiplie […] l'Etat se dissout. […] Le reste est désordre. - René Barjavel,  journaliste et romancier, article paru dans "Le Journal du Dimanche", 25 novembre 1973    DOCUMENT 2 DOCUMENT 3  A notre époque, les américains travaillent chaque année du 1er Janvier jusqu'en Mai uniquement pour payer leurs

qu'elles ont toutes sur nos cœurs. Pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne. J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire injustice aux autres ; je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige. Quoi qu'il en soit, je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable ; et dès qu'un beau visage me

est-il de même lorsqu’il s’agit du juste et de l’injuste, ou faut-il connaître le juste et l’injuste avant d’aborder la rhétorique ? — Il le faut, Socrate. — Mais, quand on connaît la justice, on est juste, et on ne saurait consentir à commettre une injustice. Cependant tout à l’heure tu as avoué qu’un orateur pouvait faire de la rhétorique un usage injuste. Il y a contradiction dans tes paroles. Gorgias pourrait se défendre et dire qu’il n’est pas vrai qu’il suffise de connaître la justice pour