L Ironie Dans Le Texte

avec application et zèle, elle menait son affaire à bien), où la césure est moins marquée, nous fait sentir que Perrette allonge le pas, sous l'effet de son enthousiasme. Un cheminement mental En même temps que le rythme physique de la marche, le texte nous rend sensible le cheminement mental du personnage. On glisse insensiblement d'un phénomène d'anticipation bien compréhensible (après avoir vendu son lait, Perrette devra " employer " l'argent reçu) à une rêverie qui s'affranchit peu à peu de la

amener les hommes a réfléchir. Problémaique : Qu'est ce qui fait l'efficacité de la stratégique argulentative développée dans ce texte ? Qu'els sont les grands procédès auquels il recourt ? 1° L'argumentation par analogie 2° La stratégie énonciative (implication de La Bruyère et de son destinataire) 3° Des procédés de persuation pour choquer 4° Registre Satirique et Ironie 1° L'argumentation par analogie Comment organise-t-il son argumentation ? a) Première partie. Introduction (Lignes 1

est recommandé par la mère. Pour les nègres, il est normal de servir les Blancs, comme si l’esclavage était une tradition. Les nègres se comparent aux animaux « Les chiens, les singes et les perroquets sont … » L11 3) Les esclavagistes Ce texte vise tous les responsables de l’esclavage: les commerçants, les consommateurs de sucre, les pouvoirs politiques, l’Eglise… - Champ lexical du négociant : La forte présence du négociant exprime la domination du Blanc sur le noir à cette époque :

Présente une action qui se déroule en temps réel, souvent avec des conflits entre les personnages. Pathétique : Suscite la compassion et l'émotion en montrant des personnages dans des situations difficiles ou douloureuses. Satirique : Critique avec ironie et sarcasme des personnes, des idées ou des institutions, souvent pour provoquer le changement. Didactique : Vise à enseigner ou à expliquer quelque chose au lecteur. Polémique : Argumente contre une personne, une idée ou une institution, souvent

certaine ironie dans « enfin c'était pas à envisager que je parvienne jamais moi, comme Robinson, à me remplir la tête avec une seule idée …», en quelque sorte, il l’envie. Il y a une certaine opposition contre Bardamu, en effet, ils n’ont pas fait le même parcourt dans leurs vie : Robinson, lui, a surement « réussi » sa vie car Ferdinand Bardamu n’emplois pas de phrase négatif ou dérisoire contre lui, il est mort honorablement. En revanche, L’extrait, Voyage au bout de la nuit est un texte argumentatif

« nous sommes » (l.1), « ce roi est » (l.23)… • Lettre d’un étranger - Compare avec ce qu’il connaît - Utilisation calendrier persan - Noms étrangers : « Rica », « Ibben » - Lieux et animaux exotiques : « Asie » (l.10), « chameaux » (l.10) • Ironie - « j’enrage comme un chrétien » (l.11) est une reprise de l’expression « jurer comme un païen »  La rhétorique de l’étonnement • Ch. Lexical de l’étonnement • Naïveté feinte : « à peine » (l.17), « qu’une légère idée » (l.17) • Verbes de

caractères qui lui sont transmis par ses parents/ascendants. Ici : ce n’est pas un portrait de Renée mais une analyse de la jeunesse et de la vie actuelle de ce personnage But : comprendre l’origine et les raisons du comportement de Renée Dans ce texte, l’auteur détermine et évalue le poids de chacune des tendances et des faites marquants de Renée. (Préface de la Fortune des Rougon dans le livre de litté à la p.375) 1er axe : D’une vision de l’homme à une constitution du personnage a- Réalisme au

ni littérature, c'est le restituer à son cadre propre, à ses limites naturelles. Il fallait non pas cacher les ficelles, mais les rendre plus visibles encore, délibérément évidentes, aller à fond dans le grotesque, la caricature, au-delà de la pâle ironie des spirituelles comédies de salon. Pas de comédies de salon, mais la farce, la charge parodique extrême. Humour, oui, mais avec les moyens du burlesque. Un comique dur, sans finesse, excessif. Pas de comédies dramatiques, non plus. Mais revenir à

accélération du rythme - Utilisation du pronom personnel « je » et de la voix passive - Tous les malheurs qu’elle traverse - Fin de l’extrait : elle est servante de cabaret, symétrie par rapport au début du texte, elle finit dans « la misère et dans l’opprobre » c) Du comique malgré tout - Ironie permanente du narrateur, détachement amusé de celui-ci - A la limite de l’humour noir (humour sur des sujets graves comme la mort) - « on tua prodigieusement de Russes » oxymore avec le verbe « tuer »,

III- Distanciation A) Humour des mots et des images  Voc trivial : « bedaine »  décalage + image surprenante « lièvre qui dort… » + comparaison litt Don Quichotte  Modélisateur « je crois » distance il n’est pas dupe B) Ironie du détournement de l’hymne  Ironie : poème désigné comme un hymne à l’oisiveté. Déf de l’hymne détournée car paresse= un des 7 péchés capitaux  Eloge paradoxal C) L’inspiration : un véritable enjeux  Humour+distance mais pas simplement pr faire l’éloge de la