L Ivresse Chez Baudelaire

-Saltimbanques, Guillaume Apollinaire, 1913........................................................... 11 -Demain dès l'aube, Victor Hugo, 1856.................................................................... 13 -Parfums exotiques, Charles Baudelaire, 1857......................................................... 15 -Brise Marine, Stéphane Mallarmé, 1865................................................................. 17 -Les conquérants, José-Maria de Heredia, 1893....................

son « assentiment ». Ce féminisme semble être différent du féminisme occidental « qui se veut d’abord une lutte contre le père, contre l’image du père » parce que chez notre écrivaine c’est le père qui l’aide dans son émancipation. La métaphore du papillon : lecture, écriture et corps Naissance, mutation et tissage correspondraient chez Assia Djebar à la naissance de « […] la lecture de ce qu’ [elle] appelai[t] les ‘vrais livres’ [qui] devint source d’exaltation et même de mutation ». Cette mutation

d’art devra être décorative. » Le symbolisme renoue avec les aspects les plus ésotériques ('ésotérisme désigne un ensemble de mouvements et de doctrines relevant d'un enseignement caché) du Romantisme, mais proclame surtout sa dette à l'égard de Baudelaire. Rimbaud, connu un peu plus tard (« passant considérable », dira Mallarmé), avait, dans sa Lettre à Paul Demeny (1871), orienté la poésie vers la recherche d'une langue qui soit « de l'âme pour l'âme, résumant tout, parfums, sons, couleurs, de la

analyserons le désir de fuite du poète pour se soustraire à la douleur qui résulte de cette vie monotone. Enfin, nous nous efforcerons à montrer, tout au long de cette analyse, que l’ennui que représente le quotidien est semblable au manque d’inspiration chez un poète. Dans ce poème, Mallarmé nous fait part d’un grand maux de son siècle : le rejet d’un quotidien sans intérêt. Ainsi, il s’attache à montrer les conséquences dévastatrices de cet ennui sur les intellectuels de son temps, notamment les

La vision de la mort chez différents poètes symbolistes Dans cette anthologie, vous retrouverez huit poèmes symbolistes exprimant une différente vision de la mort. La mort est un des principaux sujets de nombreux poèmes et récits de toutes les époques. Nous aurions pu entreprendre de passer une vie entière à chercher chaque écrit, chaque aventure dont la mort est la plus grande crainte de tous. Mais ici, nous nous focaliserons sur la période symboliste et seulement de quelques poèmes.

« Priape », divinité antique de la fécondité. La métaphore sexuelle est donc patente.Partie 1 (les 5 premiers quintils) :Le poème s’ouvre sur une apostrophe aux Sirènes, figure bien connue de la mythologie grecque et de l’Odyssee d’Homere, mais alors que chez Homere les Sirènes se trouvent sur une île constituée d’ossements, Apollinaire parle ici au début du vers 2 de « grottes », terme mis en avant par un enjambement à la Mallarmé. La grotte renverrait plutôt à Nerval : « j’ai rêvé dans la grotte où nage

l'espérance d'une réconciliation et d'un salut. * b) Les six parties du recueil retracent la pensée de Baudelaire dans son état pur Grâce à cette structure, nous pouvons distinguer les trois thèmes dominants : * Le spleen : sorte de lutte entre l'idéal et l'ennui, c'est alors que le spleen devient peu à peu maître de l'âme. Ce spleen est entretenu par la détresse de Baudelaire, ses ennuis matériels, ses déficiences physiques et morales, les tourments de sa vie amoureuse, l'obsession précoce

Texte C : Extrait du chapitre 2 (livre IV, t. XII) des Misérables de Victor Hugo (pp. 263264). Texte D : Extrait du chapitre VI de L’Assommoir d’Émile Zola (pp. 264-265). Texte E : Poème Enivrez-vous, extrait des Petits Poèmes en prose de Charles Baudelaire (p. 265). Document : L’Ivresse de Polichinelle de Joseph Faverot (p. 266). Objet(s) d’étude et niveau(x) Le théâtre : genres et registres (le comique et le tragique) (Seconde). Le théâtre : texte et représentation (Première). Compléments aux travaux

» au sens métaphorique du terme : elle ne s’exprime pas clairement, elle « délire » en nous plongeant dans un monde surprenant, qui déforme la réalité grâce à l’ « ivresse » de l’inspiration, la poésie permettant de supporter les malheurs de la vie grâce à ce « vin ». Le thème du « vin » poétique a été repris par Baudelaire (poète symboliste de la fin du 19e s) dans le Spleen de Paris : « Il faut toujours être ivre… Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous

l'expression des états d'âme. A travers les symboles, le poète cherchera à atteindre la réalité supérieure de la vraie sensibilité (reférence au poème Invitation au voyage, de Baudelaire) Le mouvement, qui naîtra parmi les écrivains français et belges, gagnera les peintres qui s'engouffreront dans la brèche ouverte par Baudelaire, Mallarmé et Wagner. Ils exprimeront leur rejet du naturalisme impressionniste, du réalisme ainsi que du scientisme et apporteront leur contribution à la naissance d'une harmonie