L Ivresse De La Danse

utilisé ici pour traduire un fait qui dure, quui se prolonge sans délimitation ==> Mdame loisel se perds effectivement dans ses reveries On px remarquer que des le début : métaphore filée de l'ivresse pour exprimer son bonheur. «  Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir » ==> s'agit de traduire combien le personnage est transporté, oublie son quotidien et sa véritable condition sociale, comme le ferait les efet de l'alcol qui peuvent permettre de se sentir joyeux malgré

jolie que toutes, élégante, gracieuse, Souriante et folle de joie. Tous les hommes la Regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être Présentés. Tous les attachés du cabinet voulaient valser Avec elle. Le Ministre la remarqua. Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par Le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa Beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de Nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes Ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de

Echapper à la raison et se libérer des contraintes deviennent possibles grâce à la parole poétique usant de métaphores filées. C’est par l’image du bateau ivre et donc de cette métaphore filée, c’est-à-dire d’un bateau plongé dans une ivresse poétique, que la parole poétique s’échappe de toute rationalité. Le poète est alors représenté par un symbole bien connu, celui du bateau ivre entreprenant un voyage mouvementé. Le bateau est alors personnifié, il a la faculté de sentir et de penser

DANSE CONTEMPORAINE Public et danse, une histoire de (des)amour La danse contemporaine est née en réaction de la danse classique trop contraignante, trop lisse. Elle s'est formée autour d'une volonté d'expression personnelle à travers le médium chorégraphique. Toutes les règles de fond et de forme de la danse classique sont abolies pour laisser place à une matière chorégraphique totalement vierge et neuve. Sujets d'actualité, vie quotidienne elle entend se baser sur le réel et cesser la sanctification

constate que le champ lexical de l’arbre bien qu’existant, est faible par rapport aux champs lexicaux qui le personnifient. C’est un « être » vivant, un actant du roman. Mis appart cela on vois qu’il est le centre d’attraction la danse énigmatique : « ondulait », « ivresse de son corps », mouvement de « toupie » Il est au dessus de tout les autres arbres , c’est une célébrité un dieu que le reste de la nature vénère .

antique (Ve siècle av. JC) → tragœdia : « chant du bouc » (évoque un sacrifice religieux) → représentations à l'occasion des Grandes Panathénées en l'honneur de Dionysos (dieu du théâtre, vin, ivresse, démesure) → personnages incarnant des figures mythiques → choeur qui commente l'action (chant, danse) → dramaturges grecs : Eschyle, Sophocle, Euripide *tragédie classique au XVII → règles des trois unités (lieu, temps, action) → vraisemblance et bienséance *conséquences de ces règles → mélange

presente comme un recit a la premiere personne « moi » 1 occurrence En general le « je » renvoie au poete mais ici il renvoie d’abord au bateau « porteur » « taches de vins bleus et des vomissures » « coque de sapin » « j’ai couru » « j’ai danse » « je ne sentit plus » ; le lecteur est encourage a penser que le bateau est une representation allegorique du poeme Le Bateaumetaphore du voyage, de la fuite -comprendre le sens large de l’ivresse « l’etat d’une personne en proie de’une tres

déploration, sur un monde plus distancé et allégorique. La deuxième strophe oppose aux images de « sorcières sous la lune » le où d’effroi du narrateur pour conjurer ses visions maléfiques. Il tient également à couvrir le chant sinistre du batelier par une danse joyeuse. Il établit un contraste entre le monde des « démons » et celui des « anges » en remplaçant « les fées au cheveux verts » par : « des filles blondes (…)  aux nattes repliées », sachant qu’à cette époque, la longue chevelure déployée était connotée

jetée au fond d'un puits, Et j'ai même poussé sur elle Tous les pavés de la margelle.  - Je l'oublierai si je le puis ! Au nom des serments de tendresse, Dont rien ne peut nous délier, Et pour nous réconcilier Comme au beau temps de notre ivresse, J'implorai d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route obscure. Elle y vint ! - folle créature ! Nous sommes tous plus ou moins fous ! Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée ! et moi,  Je l'aimais trop ! voilà pourquoi Je lui

général n'est plus une marche, il peut devenir une étape vers la danse...  Le terme adventice est très important: il désigne ce qui vient s'ajouter, ce qui ne faisait pas partie d'une chose, ce qui n'en est pas déductible. Il suggère que c'est une invention. = l'ennui = C'est une impression de vide. Ne croyez pas que l'auteur dévalorise l'ennui; celui qui s'ennuie est poussé à inventer. L'ennui est un tremplin vers le jeu et la danse, c'est la disparition de l'intérêt: on veut sortir de l'ennui et