L Ivresse De La Danse

éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ; O, suprême Clairon plein des strideurs étranges, Silences traversés des Mondes et

"Fleuves impassibles" (v.1) représentent cette société immobile, étrangère à ses élans poétiques. Dans le vers 3, la violence de la séparation, rendue par l'image du massacre des haleurs, est ici renforcée par l’assonance en "i" associée à de brutales ivresses. Les alexandrins, sans pauses fortes, rendent compte de l'impatience du poète pour sa nouvelle aventure loin de la société commerciale, source de toutes les aliénations de l'individu. Le vers 8 "Les fleuves m'ont laissé descendre où je voulais" traduit

rentrer. Il se retrouve dans une grande pièce dont les tables s'étalent de matériel de serrureries, des cafetières... Il se glisse dans l'autre pièce et voit, devant lui, un spectacle étrange. Schiller et Hoffmann sont assis au centre de la salle, ivres, et discutent en allemand. Schiller se plaint que son nez consomme jusqu'à 3 livres de tabac par mois et qu'il doit dépenser 40 kopecks (1 rouble vaut 10 kopecks) pour chaque livre de tabac. Lorsque les deux ivrognes remarquent Pirogov, ils le mettent

Manuscrits évoqués ( anaphore) Matériel de travail (lexique + répétition l.34-35)  L’écriture est elle-même sujet d’écriture. Un artiste intéressé par des arts divers et des formes littéraires différentes Ecriture ( roman, poésie, conte) , danse, musique ( Satie + rythme syncopé du texte qui alterne vers longs et plus courts), art visuel ( description détaillée et très visuelle du bagage)  Un poème qui révèle l’intérêt pour des arts différents et leur appropriation au cœur même du

présence de pays lointain = «Asie », « Afrique ».La présence de la mer = «mer d’ébène», «voile», «rameur».Ensuite le champ lexical de l’ivresse = «boire», «ivresse», «je m’enivre ardemment».Tout comme dans le poème «Parfum exotique», la chevelure et le parfum de la femme font naître une vision d’un monde exotique et idéalisé.-Dans Le serpent qui danse : Dans ce poème Baudelaire fait l’éloge d’une femme qu’il aime, avec le champ lexical du corps : «corps», «peau», «chevelure», «tes yeux», «ta tête». Dans

Au regard tendre, au maintien sage et doux ? À peine, hélas ! Au printemps de sa vie, Son coeur sentit qu'il était fait pour vous. Point de serment, point de vaine promesse : Si jeune encore, on ne les connaît pas ; Son âme pure aimait avec ivresse Et se livrait sans honte et sans combats. Elle a perdu son idole chérie : Bonheur si doux a duré moins qu'un jour ! Elle n'est plus au printemps de sa vie, Elle est encore à son premier amour. Marceline DESBORDS-VALMORE(1786-1859) (Recueil :

philosophie/esthétique Baudelaire: homme malheureux ? artiste heureux - désir = forme spleen pour homme (il le fait souffrir) // désir = forme motivation pour artiste - c’est la contradiction fondamentale de Baudelaire qui se considère comme l’un est l’autre- ivresse du mal dont aime s’enivrer Baudelaire- «derrière le voyageur emporté par la nuit» expression ambiguë dont on ne sait pas qui elle désigne : le poète? l’amant? l’entreprise poétique? (cf. «le voyage au bout de la nuit» Céline)- fin montre 2 types femmes

Grèce antique tragédie et religion. b) Historique : La tragédie grecque est née de l'évolution de plusieurs genres, dont l'apport est apprécié diversement par les auteurs de l'époque. *Les chœurs tragiques dériveraient de cantates chantées et dansées en l'honneur de héros morts (plus particulièrement Adraste). Le culte de ce dernier fut interdit par le tyran de Sicyone qui transféra les hommages rendus au héros vers le culte de Dionysos (dieu des ambiguïtés : mort-vie, homme-femme, du vin et de

la mer. Ce poème se trouve dans le cycle de Jeanne Duval la maîtresse métisse de Baudelaire. Le poème suit « Parfum exotique » comme le voulait B. poème pour Jeanne Duval = Parfum exotique, Sed Non Satiata (Jamais rassasiée), le serpent qui danse, Le Chat, Duellum L'inspiration exotique, de l'ailleurs vient d'un voyage fait en 1841 à L'île Bourbon (=île Maurice). Forme du poème = 7 quintils en Alexandrin. = peu habituelle. Le poème témoigne de la puissance du rêve, l'imagination et la

tandis que «la cruelle lucidité de la science» remplace dans ses facultés d'anéantissement l'obscurantisme. Du reste, «la camisole de force est passée à des rivières tumultueuses» causant la «désintégration» d'une nature originelle. Rupture Une ivresse conquérante balaiera toutefois ces peurs et ces angoisses dépassées. «Un nouvel espoir collectif naîtra.» Le changement est donc possible. Encore faut-il en finir avec «l'assassinat massif du présent et du futur à coups redoublés de passé». Sont proclamés