L Objectivation Des Sentiments Hegel

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art 1 Une très brève histoire de l’art (Gombrich) 1 La suppression des temps morts (Kundera) 1 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 1 La question du progrès (Hegel) 1 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 1 I. Comment définir l’art ? 1 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 1 1. Une production humaine 1 2. La question de l’utilité 1 3. Un statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité :

tenter de la reconstruire en pensée à l'aide de catégories intellectuelles. C'est cette philosophie que Husserl a nommée phénoménologie parce qu'elle tente de décrire ce qui simplement apparaît. Ce terme de phénoménologie apparaît en effet déjà avec Hegel, et il sera repris en un sens plus radical par Husserl et par Heidegger. Chez chacun de ces trois philosophes nous trouvons une interprétation différente de l'expérience d'autrui et ce sont ces Arte-filosofia – Françoise DASTUR : Autrui dans la philosophie

connaissance de soi, puis nous verrons en quelle mesure toute conscience de soi, loin de rendre possible cette connaissance, est au contraire ce qui nous en détourne ; enfin, nous nous demanderons si cette identité que nous posons en-deçà de toute objectivation n’est pas une simple abstraction. _____________________________________ I. La conscience de soi n’est pas encore une connaissance de soi ; elle peut même apparaître comme ce qui, paradoxalement, nous détourne d’une telle connaissance.

_______________________________________________ 2 La suppression des temps mo rts (Kundera) _______________________________________________ 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) _____________________________________ 4 La question du progrès (Hegel)________________________________________________________ 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) _______ Erreur ! Signet non défini. I. Comment définir l’art ? ____________________________________________________ 5

tombera dans l’ennui, signal d’alarme métaphysique d’un manque, comparable à la douleur physique. Le travail est non seulement le moyen de maîtriser la nature et de l'adapter aux besoins humains, il est aussi celui d'une extériorisation, d'une objectivation de soi. Dans la nature maîtrisée par le travail, l'homme se reconnaît lui-même. Il y a deux sortes de repos, selon Kant : un « mauvais » repos et un « bon » repos. Le mauvais repos, c’est l’oisiveté qui consiste à ne rien faire au lieu de travailler

d’autrui pour étre ce que je suis » Sartre « Pour obtenir une verité quelconque sur moi,il faut que je passe par l’autre »Sartre « Ainsi la connaissance que nous avons des autres hommes est fort sujette a l’erreur si nous n’en jugeons que par les sentiments que nous avons de nous meme »Malebranche « Le meilleur moyen pour apprendre a se connaître,c’est de chercher a comprendre autrui »andré Gide Rapports avec autrui « le devoir et le bonheur consistent également a vivre pour autrui » « Il (l’homme)abuse

conscience, l’inconscient « La conscience est toujours conscience de quelque chose ». Husserl Plan du cours : Introduction 1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et Rousseau (1712-1778) « Il est au fond

affirmation de ses droits politiques, civiques et, plus tard, sociaux. « L’autonomie de l’individu revêt la même importance pour le libéral que la tradition pour le conservateur et l’usage du pouvoir pour le radical. »   le radicalisme, fondé sur le sentiment que « le pouvoir politique peut être rédempteur si l’on s’en empare pour le purifier et en faire un usage illimité, même jusqu’à faire régner la terreur, afin de réhabiliter l’homme et les institutions. A cette conception du pouvoir s’ajoute une

pensent on la même identité, c'est ce qui fais qu'il sont même. Ce n'est donc pas ce qui nous individualise. On comprend que ce qui nous différencie des autre c'est des propriétés corporel. 4)Dans notre penser nous avons également pas tous les même sentiment, souvenir, expérience, idée, rêve...Cependant si nous n'étions qu'un pur esprit rationnelles sans corps rien de tout cela n'existerais dans mon esprit. Le corps nous permet de sentir, de ressentir. Et d'en tirer des opinion différents. En somme notre

créature unique de Dieu, disposant totalement de son corps (abolition esclavage), de sa vie, et, puisque son corps ne lui appartient vmt que si on reconnaît à la personne qu'elle est maître de sa conduite, il faut lui reconnaître une volonté libre. Hegel, Principes de la philosophie du droit, paragraphe 62 : « La liberté de la personne a commencé de s'affirmer grâce au christiannisme et a commencé à devenir un principe universel pour une faible partie de l'humanité seulement. » Pourquoi cela redouble-t-il