L Obéissance Est Elle Compatible Avec La Liberté

L'Etat restreint-il les libertés ? Avant toute analyse du sujet, voici deux ou trois petites choses à savoir pour mûrir la réflexion : 1) L'Etat est une institution L'Etat est une entité créée par l'homme. Cette entité est politique : elle orchestre la manière dont les hommes vivent ensemble. Cette création est amenée à changer, à évoluer comme le montrent les révolutions ou les réformes de la Constitution de l'Etat, c'est-à-dire des lois qui définissent le fonctionnement du système politique

de Principes Fondamentaux qui fondent :
«UN ETAT DEMOCRATIQUE» -Régime démocratique
Ex : -Consultation d’Opinion
 -Désignation représentant parfois élection 
 -Délibération aux seins des assemblés
 -Reconnaissance des libertés nécessaires a toute Vie politique
Ex : Liberté Opinion de réunion, permettant a toute les formations politiques d’organiser librement leur activités ____________________________________________________________ _ 3.NOTION DE SOCIETE Le Mot « Société » à plusieurs

nom, prénom, filiation…, code de la route…, ticket de bus : contrat avec transporteur, … citoyen avec des droits, des libertés, des devoirs… Cet environnement en perpétuel évolution. Changement de règles et de principes au fil du temps. Jusqu’en 1946, femme sous la puissance du mari, lui doit obéissance, ne peut contracter seule, ni travailler sans consentement. Aujourd’hui, liberté de la femme égale à celle de l’homme. Aujourd’hui, le droit constitue le cadre de toute activité. Et l’encadrement

filiation légitime, une puissance maritale, une puissance paternelle, la réserve successorale, et une obligation alimentaire traduisant la force de la solidarité familiale. Ou bien, à l’opposé, une famille composée d’un agrégat d’individus, fondée sur la liberté, l’égalité et la nature, facilement éphémère, avec pour conséquences le divorce facile, l’union libre, la filiation selon la nature physique, l’éducation sans contrainte assurée par l’État et la Sécurité sociale, substituant la collectivité nationale

(celui qui ne vole pas par peur de se faire attraper, et non parce que voler est un mal, n’agit pas moralement). Il y a certes, à en croire la Critique de la raison pratique, un « contentement » moral, qu’éprouve celui qui s’est montré digne de la liberté même ; mais ce contentement se paie du prix élevé d’une déchirure entre soi et soi, entre ce que les désirs réclament et ce que la raison commande – déchirure sans cesse renouvelée, conflit à jamais entretenu, qui rend l’acte moral aussi difficile

pouvoirs de décision larges et d’une certaine autonomie financière. La décentralisation apparaît comme incertaine et compliquée car elle donne des pouvoirs limités puisqu’on est dans le cas d’un état unitaire : »la décentralisation est un régime de libertés surveillées » G.Burdeau. L’Etat ne peut pas lâcher trop de pouvoir s’il veut survivre. = » Une tutelle va s’exercer sur ces collectivités locales = » gradation de la décentralisation ; plus le contrôle exercé par l’état est important, plus la décentralisation

sa réflexion mais notre rapport au réel, la diversité de ses formes et ses fondements. Cette leçon aborde notamment les notions suivantes du programme : La culture. La technique. Les échanges. La vérité. La raison et la croyance. L’expérience. La liberté. La justice et la loi. Le bonheur. Repères : absolu/relatif ; en fait/en droit ; contingent/nécessaire/possible ; légal/légitime ; objectif/subjectif ; obligation/contrainte ; universel/général/particulier/singulier. Nous avons mis en tête des parties

et la vérité, ou le fait d’être propre et ordonné, à se comporter avec sincérité, justice, raison, compassion, humilité, respect, honneur, ou loyauté. D’autres idéaux se rapportent à des états finaux comme la sécurité, le bonheur, la recherche de liberté, l’égalité, la recherche de la renommée, du pouvoir, etc… La différence que Rokeach accorde aux valeurs, en particulier par rapport aux croyances, concerne leur nombre pour un individu déterminé. Il y auraient ainsi certainement plusieurs dizaine

entre les deux classes de terminale, l’une étant plus sérieuse et studieuse que la deuxième, cette dernière étant en général plus réactive durant les cours. 3 Ressenti personnel Durant ce stage, ce que j’ai particulièrement apprécié c’est la liberté de ton avec laquelle le professeur fait cours. Habituée à des cours magistraux au lycée, j’ai trouvé très intéressante à observer cette façon de procéder, c'est-à-dire de partir d’abord des connaissances des élèves et ensuite seulement d’apporter

contraire vous permettre de découvrir, de prendre conscience par conséquent, d’un certain nombre de problèmes philosophiques qui se rattachent, par exemple, à l’expérience et aux connaissances que nous pouvons avoir de la raison, de l’État ou de la liberté, c’est-à-dire justement à quelques-unes des notions de votre programme. C’est pourquoi, comme nous vous l’avons dit au début du Tome 1, les instructions officielles demandent que les œuvres philosophiques et les notions du programme soient étudiées