L Opposition Parlementaire

changement économique et politique. La fin de la WW2 en 1945 marque, pour l’Italie, le début d’une période de construction d’un nouveau régime politique, cela dure 3 ans. Ce nouveau régime sera républicain, en opposition à la dictature fasciste mise en place par Benito Mussolini, et en opposition à la monarchie de la maison des Savoia, laquelle était accusée d’avoir favorisé la mise en place de la dictature totalitaire fasciste. 1. La dictature fasciste et la guerre. Pendant 20 ans l’Italie

et les constituants préfèreront instaurer la IVe République, régime parlementaire qui a rapidement dévié vers un régime d’assemblée. A la suite de la crise du 13 mai 1958 et de la démission du Président du Conseil, Pierre Pflimlin, Charles de Gaulle est présenté par le second Président de la République, René Coty, pour former un nouveau gouvernement, ce qu’il fait le 1er juin 1958. A cette occasion, il demande aux parlementaires de voter deux lois : l’une de pleins pouvoirs pour six mois et l’autre

de 1962, en faisant du président de la République la pièce centrale de l’édifice institutionnel par son mode d’élection, elle a limité la portée de l’élection législative en lui assignant pour principale fonction la désignation d’une majorité parlementaire conforme aux vues du président. La différence entre la durée du mandat présidentiel et la durée de la législature, a donné aux électeurs la possibilité de désavouer la majorité présidentielle à l’Assemblée nationale en y élisant une majorité hostile

« La mise en oeuvre de la responsabilité politique du gouvernement sous la IIIe République » « Soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n'entrerais jamais en lutte avec la volonté nationale des organes constitutionnels » Cette phrase est extraite du discours de Jules Grévy, Président de la République, adressé au sénat le 6 février 1879, plus connu sous le nom de « Constitution Grevy ». Ce discours est l'origine d'un tournant sans précédent concernant le régime

ayant été utilisées lors de ce régime autoritaire. C’est par exemple le cas de la concentration du pouvoir exécutif en une personnalité, même si cette dernière est élue au suffrage universel, mais c’est aussi le cas de la dissolution d’une chambre parlementaire. Les Français se retrouvent encore à la recherche d’un juste milieu entre les acquis juridiques révolutionnaires et les excès auxquels ils peuvent mener, instruits des expériences des deux premières républiques. La république est déclarée en 1870

tombé à la suite de la crise de 1877. Les parlementaires pouvaient sans risque réel renversé les gouvernements. Il n'existait plus de riposte possible de l'exécutif et l'équilibre des moyens de pression réciproque, d'un des pouvoirs sur l'autre était rompu, mais a cette causse majeure s'ajouter bien d'autre élément : un multipartisme important qui interdisait la constitution d'une majorité parlementaires stable. L'existence de mécanisme de contrôle parlementaire en particulier la question de confiance

noblesse, opposition des Parlementaires et des privilégiés. II ) Conjoncture révolutionnaire A . Sociale, réaction aristocratique – Deux catégories pas contentes: Haute paysannerie → pression de trois Populations: bourgeois petit noble seigneurs qui veulent privatiser des profits Hauts bourgeois → écarté de certaines fonctions de l'État. B . Enchainements révolutionnaires – Réforme de Callones pas réussi à la faire passer. → richesse dans les terres. Mais parlementaires s'y opposent

de retirer tout pouvoir arbitraire. Cependant si nous parlons de l'émergence de la constitution écrite on se doit également de parler de la notion de constitutionnalisme qui insiste sur le rôle et la fonction inhérente de la constitution. En opposition à l'émergence de la constitution écrite certains états comme la Grande-Bretagne ont gardé une constitution coutumière on peux dire que constitution coutumière et constitution écrite forment une seule et même norme qu'on retrouve chez Kelsen comme

pouvoir dit démocratique est en réalité un pouvoir parlementaire et par conséquent un pouvoir partisan. L’unité du pouvoir d’Etat, qui manifeste l’unité conceptuelle du peuple, s’oppose au pouvoir parlementaire qui exprime la diversité des opinions et des partis politiques même si le pouvoir présidentiel n’est évidemment pas exempt d’orientations partisanes tandis qu’au contraire la théorie constitutionnelle admet une unité de la représentation parlementaire. Partageant avec Olivier Beaud la conviction

concordance entre la majorité parlementaire et la majorité présidentielle. Autrement dit, l’Assemblée et le Président sont du même bord politique, c’est la situation la plus connu sous la République. ! C’est ainsi que Stéphane Rials nous dira que, « Le fait majoritaire à la française résulte de la coïncidence durable des majorités parlementaire et présidentielle ». Cependant, le cas contraire est envisageable, c’est le cas d’une cohabitation.! Ici, une majorité parlementaire continue d’exister mais elle