L Organisation Rationnelle Selon Weber

profit sa croissance. Ou pas directement économique : maintien de l’emploi, intérêt général). Elle se définit souvent comme un nœud de contrats : groupement contractuel d’individus dont la coopération est vitale. C’est une construction sociale, son organisation est primordiale. Elle n’est pas indépendante de son environnement, elle a une fonction de répartition des ressources (distribution d’un salaire), de sa production ; elle est aussi influencé par son environnement, direct (rapport avec employeurs

l'école classique du management » ont en commun la volonté d'énoncer des règles rationnelles1 et générales de conduite des organisations. Les éléments de réponse qu'ils ont apportés font encore référence dans la pratique quotidienne de nombreuses organisations, que ce soit dans le domaine de l'organisation du travail, notamment productif (Frederick W. Taylor) et bureaucratique2 (Max Weber), ou pour ce qui touche à des principes d'administration plus généraux (Henri Fayol). Leurs idées fondatrices ont suscité

Théorie des Organisations INTRODUCTION Nous avons vu que les économistes considèrent l'organisations, ou plutôt l'entrepreneur, comme un agent économique simple prenant des décisions d'optimisation rationnelle compte tenu d'une vision simplifiée du marché qui ne comprend que les quantités, les prix, le taux d'intérêt, et le coût des facteurs de production(capital et travail). Or la notion d'organisation est probablement une des notions les plus difficiles à cerner et les définitions qui en

bibliographie 1°) L'action sociale : définition et postulat 2°) Les propriétés élémentaires de l'action sociale 3°) L'interdépendance collective et ses pièges 4°) Critiques de la théorie du choix rationnel 5°) La théorie des jeux et l'énigme de la coopération 6°) Critiques du modèle rationnel général 7°) Agir en situation : effets de disposition et effets de cadrage 8°) Les mécanismes cognitifs de la coordination 9°) Pour une analyse multi-niveaux : micro, méso, macro I – L'action sociale

Pouvoir Dans Les Organisations Section I -Définition Du Pouvoir Section II- les sources du pouvoir Section III- Les bases de pouvoir au sein de l’organisation  Chapitre II : les approches théoriques du pouvoir dans les organisations  Section I : pouvoir légitime selon max weber Section II : les 4 piliers de l’analyse stratégique selon Crozier

constituant autant de sources en matière de définitions. En général, la définition la plus basique est de définir l'entreprise comme un lieu de production de biens et de services Une autre définition consiste à définir l'entreprise comme une organisation c'est à dire un ensemble d'individus et de moyens structurés et hiérarchisés disposant de l'autonomie de décisions et d'une personnalité juridique. Par leurs activités, leur taille, leur structure, les entreprises sont différentes les unes

Deux thèmes chez Smith sont encore au cœur des débats : * La conduite des individus est dictée par leurs intérêts personnels. On parle d’homo oeconomicus : dans le comportement de production et de circulation des biens on considère les agents rationnels. * Ce qu’on appelait l’harmonie sociale c’est à dire le « tenir ensemble «  de la société pour Smith est produite non pas par l’Etat mais par la coordination des intérêts individuels sur le marché. Ces deux thèmes sont des thèmes centraux de

l’entreprise comme un lieu de production de bien et de services. L’entreprise est une combinaison de 3 facteurs : Produit ou service = Capital fixe + capital humaine + capital financier. Autre définition, consiste à définir l’entreprise comme une organisation, c'est-à-dire un ensemble et de moyen structuré et hiérarchisé, disposant de l’autonomie de décision personnalité juridique. L’entreprise est à la fois une cellule (création de richesse), une cellule sociale (salarié). C’est un centre autonome

ses représentants actuels, en mettant l’accent sur les travaux de R. Boudon. Le cours suit une présentation analytique des principes qui fondent ce paradigme. 1° Le principe de rationalité sera exposé en suivant l’évolution de la théorie du choix rationnel à la rationalité limitée et de celle-ci à la rationalité cognitive («les bonnes raisons»). 2° L’exposé du principe d’agrégation des actions individuelles sera conduit des formes les plus simples aux plus complexes (effet pervers, changement non finalisé

SOCIOLOGIE POLITIQUE fabrice.colomb@gmail.com I- La sociologie de l’Etat : Marx, Durkeim et Weber. A) L’Etat chez Marx, un produit du capitalisme. Le point de départ de l’analyse est de dire de que l’Etat est un mythe, une illusion. L’Etat comme représentant d’intérêt général est une image tronquée de la rréalité. Pour Marx, l’Etat ne défend jamais l’intérêt général. L’intérêt général est de dire que l’Etat agit au bénéfice de tout le monde de manière égale. Pour Marx, c’est un mythe