L Universalisme Moral

Cagliostro, Garibaldi… trois précurseurs qui balisèrent le sentier de lumière sur lequel il nous reste à cheminer en cette aube de Troisième Millénaire. Cagliostro était un « missionné ». Sa mission était de promouvoir une régénérescence politique, morale et spirituelle en Europe. Sa tâche ultime, moins bien comprise, fut aussi d’agir en sorte que cette régénérescence soit intrinsèquement et extrinsèquement chrétienne… Est-ce un hasard si l’un de ses pseudonymes fut « comte de Phénix » ? Cet oiseau

nouvelle» que Dieu s'est manifesté dans la personne de Jésus: le Messie (ou Christ) attendu. Parmi ceux qui s'intègrent à leur groupe se trouvent des Juifs qui ont vécu à l'extérieur de la Palestine et qui sont ouverts à la culture grecque et à son universalisme. Les disciples de Jésus venant de ce judaïsme hellénistique sont plus critiques à l'égard des institutions juives que ceux venant du judaïsme palestinien. Les Juifs hellénisants provoquent des affrontements avec les chefs religieux et sont persécutés

politique est pour eux une notion inutile. C) Les Cyrénaïques C’est un autre courant d’idée, qui apparaît au IVème siècle avant JC. Ils font de la recherche du plaisir le fondement de la vraie sagesse. Le sage cyrénaïque n’a que faire d’une morale imposée par la cité, pour les cyrénaïques, le sage doit avoir une aspiration personnelle de plaisir. Pour eux, la recherche du bonheur individuel peut trouver son confinement dans le bonheur collectif. On n’est pas dans le cadre d’une autarcie.

philosophie du bon sens qui traduit une forme de méfiance vis-à-vis du voyage. On retrouve cela dans les fables de Jean de La Fontaine : les aventureux sont toujours vaincus, ceux qui se sont laissés aller à leur désir d’ailleurs sont toujours punis. La morale des fables est qu’il ne faut pas céder à la tentation, car quitter son pays natal c’est s’exposer à des mésaventures (ex : Le Berger et la Mer : « Il se faut contenter de sa condition. »). On voit bien une opposition chez La Fontaine entre la tranquillité

symbolique : il est indispensable à ma prise de conscience en tant que citoyen, il est le lien neutre , abstrait et élevé au-dessus de la société vers lequel je peux me tourner en tant que citoyen pour qu’il me représente. Le mouvement social et moral peut etre interprété comme un effort pour surmonter l’abstraction du régime moderne sans aller contre la société moderne. L’Etat doit aujourd’hui garantir l’homme concret avec ses appartenances et identités. Les individus réclament un pouvoir étatique

critique québécoise lorsqu'enfin Anne Hébert vint 4 ? Signes des temps qu'il faut essayer d'interpréter. II est clair que ces littératures relèvent plus complètement que d'autres de la sociologie, de la psychologie individuelle et collective, de la morale et de la politique 5. Le mouvement Parti pris, ce Cénacle québécois plus hardi que les « dangereux révolutionnaires » (les Romantiques français) dont s'effrayait en 1824 l'académicien Auger, ne s'est jamais cantonné dans les revendications linguistiques

Les signataires de la Déclaration et du Plan d’action de Cotonou se sont accordés pour affirmer la particularité des biens culturels et leur irréductibilité au statut de simple produit commercial. Leur but est la prise en compte de la dimension morale et identitaire de la culture et le refus de l’assimilation des produits culturels propres à un pays, aux autres produits commercialisés, car en étant soumis aux lois du marché, ils seraient appelés à disparaitre en cas d’insuffisance de rentabilité

Beaucoup, au contraire, la condamnent, comme en atteste la préface de Sartre au livre de Franz Fanon Les damnés de la terre. L’Eglise catholique, avec beaucoup de prudence, prône une nécessaire évolution conforme à son universalisme. Elle a d’ailleurs, beaucoup mieux que les autorités politiques et civiles, encouragé la formation du clergé indigène et autochtone. Quant à la commission des Eglises protestantes pour les affaires internationales, elle se prononce dès 46 en faveur

des bornes de la capacité explicative des différences culturelles pour rendre compte des variations observées dans les pratiques de gestion d’un pays à l’autre. En un sens, la similitude des réactions observées militerait en faveur d’un certain universalisme dans les situations de cas limites1, les particularismes culturels jouant davantage leur rôle dans des contextes plus prévisibles, routiniers peut-être, de pratique de la gestion. Pour conclure et revenir à notre propos central, nous pourrions

dit que le travail est l'un des "facteurs de production", avec le capital. Gravitent autour de ce sens économique du travail de multiples notions connexes qui rendent complexe d'établir une définition complète: le travail est ainsi une valeur morale (la "valeur travail"), un pan du droit social (le "droit du travail"), ou encore un outil de production que l'on souhaite améliorer (la "productivité du travail"). * capital économique / social / culturel * destinée / recrutement