L école De Jules Ferry

* Organisation du sénat * Organisation des pouvoirs publics * Rapports entre les pouvoirs publics 3- Elections de 1876 et crise de 1877 Elections législatives de 1876 donne la majorité aux républicains si bien que Mac Mahon nomme Jules Simon qui tente de donner satisfaction aux républicains en épurant les préfets bonapartistes. Mais il est viré par Mac Mahon lorsqu’il ne s’oppose pas à Gambetta qui impose un ordre du jour anticléricale : « le cléricalisme voilà l’ennemi ». qui condamne

Page 3/4 Texte 2 L’école maternelle « Permettre à chaque enfant une première expérience scolaire réussie est l’objectif majeur de l’école maternelle. Dotée d’une identité adaptée à l’âge et au développement des enfants qu’elle accueille, cette école de plein exercice se distingue de l’école élémentaire par la pédagogie qu’elle met en oeuvre. Les enseignants y ont le souci d’offrir à chaque enfant un cadre de vie et une organisation des activités qui favorisent son autonomie et lui laissent le

féminisme-socialisme pendant cette décennie pré-marxiste. Elle assure la liaison entre le « vieux socialisme » et le marxisme et est d’ailleurs considérée par beaucoup comme celle qui fonda, de fait, l’Internationale ! 1838 - France : Création de la première école normale d'institutrices. 1839 - France : de retour d’un voyage d’étude au Royaume-Uni, Flora Tristan avoue dans son Promenades dans Londres qu’ « en France, de tradition, la femme y est l'être le plus honoré, en Angleterre, c'est le cheval… ».

sociales. - Mars 1850 : La loi Falloux fixe l'objectif d'une école primaire de filles dans chaque commune de plus de 800 habitants. Le programme obligatoire comprend, l'apprentissage de la lecture, de l'écriture, des rudiments du calcul, une éducation morale et religieuse et pour les filles, les "travaux d'aiguille". - Octobre 1862 : La première école professionnelle pour jeunes filles voit le jour en France, à Paris. C’est une école de couture ouverte par Elisa Lemonnier. Après des années d’instabilité

1879 : démission de Mac Mahon III) 1879 à 1914 : la consolidation de la République a) Être attaché aux lois de 1880 * 1881 : élections. Majorité républicaine * 1881 : lois sur liberté de presse et de réunion * 1882 : Jules Ferry : école obligatoire, laïque et gratuite * 1884 : liberté syndicale * 1884 : loi sur le divorce * 1884 : proclamation de la République comme gouvernement définitif français * 1887 : loi sur la liberté de funérailles b) Soutenir

traditionnel b. Le modèle moderne III/ Une instance de socialisation secondaire : l’école p.13 1. De l’école républicaine au modèle actuel 2. Les perspectives d’évolution du système éducatif IV/ Mise en relation famille / école : complémentarité ou contradiction ? p.18 1. complémentarité 2. contradictions Conclusion p.24 Introduction Dans le dossier que l’on va vous présenter, nous avons fait le choix d’orienter notre sujet d’étude sur

principalement aux enfants qui aspiraient à une carrière cléricale. Napoléon Bonaparte avait compris l’importance de l’école dans la formation de ses officiers. Napoléon 1er crée une école mais uniquement dans une finalité militaire. Les premières transformations de l’Ecole sont antérieures à la IIIème République de Jules Ferry. Sous Napoléon III, des changements commencent à faire leur apparition. Le second empire oblige la construction et l’entretient de bâtiments exclusivement dédiés à l’instruction

REPOBLIKAN’NY MADAGASIKARA Tanindrazana -Fahafahana- Fandrosoana UNIVERSITE D’ANTANANARIVO ECOLE NORMALE SUPERIEUR DEPARTEMENT EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE CENTRE DE RECHERCHE EN E.P.S Présenté par : SIRY ZALIATA HELLA Coordonnateur de stage : Docteur RATSIMBAZAFY Ernest Conseiller Pédagogique : Docteur RAKOTONIAINA Jean Baptiste Mr RAMPARANY Saraela Mme RASOLONJATOVO Haingo Encadreur : Mme RASOLONJATOVO Haingo Promotion : SAHI 3ème année

rédacteurs) La question de la formation et du recrutement se pose toujours. En 1848, Hippolyte Carnot, qui est alors ministre de l’Instruction publique, fonda une École d’administration pour former la haute fonction publique. Celle ci ne dura pas longtemps mais l’idée est a nouveau proposée sous la IIIe République avec en 1876, la création d’une école nationale d’administration, projet qui échoue finalement. Donc avec ces projets, on observe une certaine importance de la formation et du recrutement dans

également en 1909, avec Ferdinand Buisson qui l’inscrivit « au programme du parti radical »[7], voir même avec Jules Ferry qui voulait rassembler sur les bancs de l’école tous les futurs citoyens. Yves Dutercq considère que la loi de 1975 ferme un chapitre ouvert depuis plus de quinze ans (« René Haby, qui pose le projet, dans le prolongement de la politique prudente de construction d’une école moyenne unique menée durant quinze ans par les gaullistes »[8]). La loi du 11 juillet 1975, appliquée à la