L éternité Rimbaud

poème…" (H. Lemaître, La poésie depuis Baudelaire, Paris, Armand Colin, 1993). La poésie n'est plus seulement un art, elle devient aussi un moyen de connaissance. Pour Victor Hugo, le poète romantique doit être un mage, un voyant (comme dirait Arthur Rimbaud), qui doit guider le peuple et remplir une mission à la fois politique, religieuse et poétique. Lamartine, Hugo et Nerval orientent la poésie vers la voie de la modernité, et lui donnent pour mission ambitieuse celle de la "totalité": "tout est sujet

pas seulement un memento, un hommage, mais plus encore une invocation. II. Une invocation symboliste. Invocation : 1- La forme d'une prière que le poète adresserait à un dieu - Vocabulaire religieux, Seigneur, témoignage, Te Deum, dignité, éternité vouvoiement - Apostrophe Seigneur 2- Une disposition en litanie : les saints du panthéon baudelairien • La longue liste établie par Baudelaire de tous les peintres selon son cœur ressemble à la longue liste des saints invoqués dans l'Eglise catholique

semblent connaître. Les visages se sont pas reconnaissables, c'est aussi ce qui fait le charme du poéme, qui sont les deux spectres ? Peut-être a-t-il choisi de rendre ces personnages irréconnaissable afin de préserver cette relation qu'il a eu avec Rimbaud. On peut aussi parler d'une certaine mise en abyme, les deux personnes tentent d'évoquer leur passé comme Verlaine le fait à travers ce poème. Enfin, il ya une belle métaphore de l'amour par la couleur du ciel que les deux spectres utilisent. L'un

Chacun se fait sa propre idée de la mort étant donné que celle-ci n’offre pas de réponses aux hommes. Dans cette anthologie, vous pourrez y retrouvez  le point de vue de 3 grands poètes tel que Victor Hugo avec le poème Veni, vidi, vici ; Arthur Rimbaud avec le dormeur du val ; ainsi que Paul Eluard avec Notre vie. J’ai sélectionné 2 chansons traitant la mort comme sujet, la première a été écrite par Soprano qu’il chantera avec Lea Castel et se nomme « dernière chance », il s’agit d’une femme qui

généralement un dialogue avec la poésie traditionnelle et ne la récuse totalement qu'en des circonstances particulières. Dans le poème qui nous occupe, l'usage du vers libre est caractéristique de la poésie post-symboliste (inspirée de Baudelaire, Rimbaud, etc.); il y a de la sorte un jeu continuel entre les formes anciennes et l'inventivité du moderne. une certaine "spacialisation visuelle" qui organise le poème en strophes et en vers; même si celle-ci n'est qu'élémentaire par rapport aux vers

et la femme dans un spectacle naturel en mettant en oeuvre des images gracieuses et évocatrices pour seduire. Ou encore Charles Cros avec :”Romance” dans lequel il exprime sa tristesse et son manque envers la femme qu´il aime. Ensuite avec Arthur Rimbaud dans le poème “Les mains de Jeanne-Marie “ où le poète décrit une femme brutale et douce, terrible mais désirée à travers des éléments de la nature de plus on peut y voir un paradoxe amoureux. Puis avec Joachim Du Bellay dans “Villanelle “ oú l´auteur

il était très malade lorsqu’il la écrit donc on ressent tout ses sentiments réels. Ronsart à des thèmes importants qu’on retrouve souvent : · Amour sous toutes ses coutures (il associe les fleurs aux femmes) · La fuite du temps · La mort · Eternité de l’œuvre · Lui (il se cite dans ses poèmes) · Les nymphes, les elfes, mythologie,… (+ analyse du « sonnet pour Hélène » p5) v Chapitre 3 : Introduction au XVIIème siècle. La poésie au XVIIème siècle est caractérisée par l’art baroque

cautionné par les grands de ce monde, les poètes dénoncent par un contraste saisissant entre la beauté des évocations et l’ horreur sous jacente les guerres, les cruautés que les hommes s’ infligent entre eux. On ne citera pas « le dormeur du val » de Rimbaud dont l’image du sommeil rend la révélation finale odieuse, on se contentera du « déserteur » de Boris Vian et de son euphémisme final : « Une abeille de cuivre chaud l’ a foudroyé sur l’ autre rive » qui amène le pied de nez à la mort infligée :

pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montrera dans l’âme, Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, _ heureux comme avec une femme. Arthur Rimbaud Courage Paris a froid Paris a faim Paris ne mange plus de marrons dans la rue Paris a mis de vieux vêtements de vieille Paris dort tout debout sans air dans le métro Plus de malheur encore est imposé aux pauvres Et la sagesse et la

l’une vers Dieu, l’autre vers Satan Le lyrisme post-baudelairien 3e tiers du 19e siècle : apogée du matérialisme scientiste Triomphe de la bourgeoisie Utilité de l’art du poète ? Romantisme décadent-- époque révolue Révoltes de Rimbaud et de Lautréamont, trop marginaux encore et peu lus Il faudra attendre la fin du siècle et la chute du scientisme pour voir un grand poète avec lyrisme total : P. CLAUDEL On observe un lyrisme nouveau avec Baudelaire == inspiration romantique