La Beauté Dans Le Regard

peut remarquer qu’au début du texte, on a des noms indéfini l.1 « beauté » puis l .12 « sa fille » et pour terminer on a son vrai nom l.27 »Mlle de Chartres » effet de suspense crée par sa mère. On apprend qui elle est qu’à la fin. Emploie du passé simple entrée en scène subite et remarquée, au milieu du texte on parle de sa mère et non plus d’elle pour créer un suspense un effet d’attente. Elle est au centre de tous les regards l.1 « elle attira les yeux » Bilan Entrée en scène progressive

dissertation : la laideur est- elle une source d’inspiration au même titre que la beauté ? La poésie peut-elle s’inspirer de la laideur ? En effet, le rôle de la poésie et de donner un regard critique sur le monde qui nous entoure. Par conséquent, certains poèmes peuvent aussi bien parler de la beauté que de la laideur. La laideur physique est donc évoquée en poésie, mais souvent en poussant le lecteur à regarder plus loin que ce physique. On peut citer à ce propos ‘’ J’aime l’araignée ‘’ extrait

Commentaire d’A une passante de Ch. Baudelaire Le 110e poème des Fleurs du Mal, qui illustre bien le recueil : l’ambigüité entre le mal (la mort et le désespoir de n’ê pas aimé) et la beauté (de la f et du poème) : la beauté qu’on extrait du mal. Il s’agit d’un sonnet en alexandrins, placé dans la 2e partie du recueil, « Tableaux parisiens ». On y trouve bien l’esthétique de Baudelaire : l’importance de la ville contre la nature, l’amour pour le superficiel (ce qui est construit par l’h = par

un coup de foudre envers une femme inconnue qu'il a vu passer dans la rue. Nous nous demanderons comment le poète exprime-t-il l’idéal d’une beauté inaccessible. Donc on analysera l’ambivalence de l’image de la femme puis l’apparition de cette beauté qui laissé le poète désemparé. I. L’AMBIVALENCE DE L’IMAGE DE LA FEMME : Portrait physique : beauté et élégance sculpturale (attirante) La description de la passante insiste sur son élégance : son allure générale est « majestueuse » ; le geste

nous la beauté ou c’est elle qui nous possède ? « La beauté, c’est comme l’alcool ou le confort, on s’y habitue, on n’y fait plus attention. » Louis-Ferdinand Céline La beauté, la beauté… Qui ne voudrait pas être belle ? Qui n’a jamais rêvé d’être dans des magazines de top model ? Certains souhaitent être beaux dans le but de plaire et de s’épanouir dans leur vie, d’autres souhaitent être beaux dans le but de réussir dans leur carrière professionnelle. Dans le langage courant, la beauté a différentes

feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! Baudelaire

parfait: "beauté", "air brillant", "louanges" = Cadre somptueux. B) Les personnages principaux: seuls d'exception. - Hyperboles et superlatifs sur le plan de la beauté et de la parure: "ce qu'il y avait de mieux fait et de plus agréable à la cour" l.1/2, "Ce prince était fait d'une sorte qu'il était difficil de n'être pas surprise" l.12/13 et lignes 14,15 pour Mme de Clèves. Les personnages sont donc des êtres parfaits=> distance avec la cour - Mis en valeur par leur cadre: le regard de la

Hugo, qui au XIXème siècle écrit A une femme. Il montre une forme de dépendance totale, de soumission à la femme : «  Si j’étais roi, je donnerais mon empire »(v-1)  « Pour un regard de vous » (v-6). Ronsard, lui, parle de la femme avec légèreté en utilisant des qualificatifs comme « mignonne » et fait l’éloge de la beauté de Cassandre avec son sonnet Mignonne allons voir si la rosé destiné à Cassandre Salviati. En d’autres termes, la gemme est une source d’inspiration sans limites chez les

du poème étudié. Ce sonnet raconte une rencontre fugitive avec une inconnue croisée dans la rue. B reprend la forme traditionnelle du sonnet tout en s’inspirant d’un topos romanesque : le regard, scène de rencontre. Mais derrière cette anecdote de rencontre amoureuse la passante devient une allégorie de la beauté éphémère/éternelle dans un poème qui constitue un véritable manifeste esthétique.Il serait alors opportun, de se demander comment B met en scène cette rencontre impossible de manière à illustrer

l’auteur d’une seule œuvre comportant Le Débat de Folie et Amour, trois Élégies et vingt-quatre Sonnets. Présentation du poème : Ce sonnet en décasyllabes « Ô doux regards, ô yeux pleins de beauté » est le onzième du recueil et reprend un thème constant dans l’œuvre de Louise Labé : le déchirement de l’amante. Ici le plaisir du regard s’oppose au tourment du cœur. - lecture - Reprise de la question et annonce du plan : À travers l’explication linéaire du poème, nous verrons comment se dévoile la