La Beauté La Laideur

de l’art et que la laideur n’est pas nécessairement exclue du domaine artistique. En conséquence de quoi, le Beau et l’Art forment deux ensembles qui ne sont pas confondus. Deux arguments : 1) Le Beau se rencontre hors de l’art. L’art n’est pas le seul pourvoyeur de beauté. La nature par exemple peut nous offrir la beauté d’un paysage, celle d’un coucher de soleil ou celle des arabesques d’un arbre centenaire. On distinguera alors la beauté artistique de la beauté naturelle. Exemples

poète (ex : Albatros, élévation) et les 6 suivant expriment sa misère => le poète est déchiré entre grandeur et misère. Donc entre idéal et spleen. Et les poèmes 14 à 21 parle de l’art et la beauté (ex : « Dom Juan aux enfers » mais aussi le poèmes « les phares »Et jusqu’au poème 21, il parle de la beauté. Les poèmes 1 à 21 sont un moyen d’échapper au spleen par l’art, mais malheureusement cela s’avère être un échec. Echec et triomphe du spleen jusqu’au poème 85 (l’emplacement du spleen à la fin

Hugo, sont des romans du mouvement réaliste. Tout ces romans donnent une vision différente de la monstruosité humaine. Pour Mary Shelley le monstre qu'a créer Frankenstein est un être bon mais qui est devenu monstrueux, par ses crimes et par sa laideur, car la société l'a rejeté. L'auteur évoque dans cet extraits deux aspects de la monstruosité. Tout d'abord la monstruosité physique est exprimée très explicitement « une silhouette que je ne peux trouver de mots pour décrire […] difforme dans ses

caractérise par la dominance de la sensibilité, de l’émotion, et de l’imagination sur la raison et la morale. Lien avec Baudelaire = expression du Spleen (angoisse baudelairienne). Le Parnasse —> Dans ce mouvement les poètes font le culte de la beauté à travers le travail acharné du poète. On voit très bien dans les poèmes de Baudelaire la mise en avant du beau. Symbolisme —> Les symbolistes explorent l’invisible du monde, ils passent donc par la suggestion afin d’établir des liens et des

seulement ils pissent, ils défèquent sous eux, mais ils récriminent, vitupèrent, maudissent et blasphèment ; leur bile se transforme en haine, leur peur devient méchante, leurs pensées se putréfient. Mais la loi de la nature est ainsi faite que la beauté peut naître du cloaque, une rose du fumier, le diamant du charbon. Tous les vieillards ne se souviennent plus que leur être est unique, que leur existence est unique, que le plus pauvre, le plus petit, le plus laid, le plus difforme, le plus vil

de la beauté et de la laideur. C’est grâce au regard du poète qui rejette les apparences que les deux enfants se réunissent et qu’ainsi s’associent les deux regards. À propos de l’enfant pauvre, le poète remarque qu’un « œil impartial » pourrait découvrir « la beauté » du marmot-paria : ce regard est celui du peintre, de l’artiste en général, qui ne se soucie ni de l’origine sociale ni de l’élégance ni de la propreté de ses modèles, mais cherche à travers eux une forme originale de la beauté. Voilà

des vers, des sons, du rythme pour sublimer la laideur. Voir synthèse sur la mission du poète. Lire le poème « Le Soleil » (le poète est comme le soleil « qui ennoblit le sort des choses les plus viles »)Le mythe de Memnon (Spleen) : la pierre devient chant, « la voix argentine » pour rappeler le paradis de l’enfance…« Une Charogne » : poème emblématique du travail de transfiguration3ème partie : une esthétique de la tension1) La beauté dans le mal : la femme est toujours ambiguë, le

plus belle création de la nature, car ce qui naît de l'esprit est doublement né (De la nature, puis de l'esprit) et est donc supérieur à une chose issue de la nature. Georges Bataille, L’érotisme La beauté féminine. Le rôle de la beauté dans l’érotisme. La jeunesse est un atout majeur dans la Beauté féminine. Les formes s’éloignant de l’animalité. La valeur érotique des formes féminines est liée à l’effacement de la pesanteur naturelle, qui rappelle l’usage matériel des membres et la nécessité

messager de notre société, mais parallèlement cela permet aux lecteurs de s’évader avec une meilleure compréhension du monde. Même si la poésie peut nous éloigner de la réalité, certains poètes nous donnent les clés pour nous en rapprocher, grâce à la beauté des mots pour une réalité transfigurée. Le poète peut éloigner le lecteur de la réalité en donnant accès à ses rêves, voire à aspirer à un idéal, en s’évadant jusqu'à créer un autre monde. Certains poètes ont écrit leurs rêves : peut-être la

uniquement grâce à sa description de la beauté. C'est désormais la seule chose qui prime, et qui devient plus importante que la laideur. Nous verrons comment se classent L'adieu de Balzac et les Trois Contes de Flaubert par rapport à cette définition du réalisme que nous donne Edmond de Goncourt. Pour cela nous verrons d'abord dans quelles manières elles se classent comme œuvres réalistes, puis nous les étudierons comme exemples de définition de la beauté et de ce qui est élevé, et enfin, nous examinerons