La Beauté La Laideur

Vénus antique, déesse de l’amour et la beauté, souvent représentée comme naissant au sortir de l’eau, d’où le titre de ce poème. Problématique: Dans quelle mesure le poète détourne-t-il l’image de la Vénus Antique? Plan: I.Apparition de la tête(v.1à 4) II.Description de Vénus (v.5 à 8) III.Un regard se rapprochant (v.9 à 14) I. Apparition de la tête: 1ère Strophe: ➢ v.1 → décalage entre le titre et ce vers → attente déesse, divinité de l’amour et de la beauté, on s’attendait à un apparition différente

observation de la réalité. Le poète l'amplifie jusqu'à ce que la charogne devienne une hallucination, une vision onirique → Baudelaire rompt avec la tradition poétique, en mettant en avant non pas la femme aimée, mais une horrible charogne, symbole de laideur. III Les leçons du poète sur l'art et le temps qui passe Une réflexion sur le temps qui passe et sur la mort -La mort thème récure du poème -Leçons du poète : la mort nous attend tous, remarque faite sur les fleurs (quand on les dépose

Utilisation du champ lexical de la laideur et de la bonté « cœur bon », « bonté », « contente de votre cœur », « compliment » L’auteur insiste sur le « monstre » et l’emploie 5 fois. On a une personnification de la Bête avec la parole. On a une antithèse l.26, qui oppose la laideur physique à la bonté morale. Nous sommes face à une morale implicite, l’auteur passe par le biais du dialogue, du discours direct pour expliquer la morale. Lien entre la bonté et la beauté, la beauté physique et la bonté morale

FRANÇAIS CB hymne à la beauté commentaire  :Développement hymne à la beauté : I) la nature et l’origine de la Beauté A) Un mystère à sonder Il est épaissi par 3 aspects : · Sa nature métaphysique v21· La profondeur (supérieure ou inférieure) dont elle émerge v 1, 5 et 9 (antithèses)· L’emploi d’un triple chiasme· Parfaite égalité de l’alternative + fermeture (absence de réponse) B) Une oscillation vertigineuse et contradictoire

"notre visage, nous ne l'avons jamais vu et nous ne le verrons jamais directement[4]" ? Nous n'en connaîtrons toujours que le reflet, l'image, et cette image nous surprend. Que l'on soit homme ou femme, n'y a-t-il pas en nous un tel désir profond de beauté et d'harmonie qu'il rend inévitable la déception lorsque nous nous regardons dans une glace? Combien acceptent ce qu'ils découvrent sans rébellion? La première réaction de toute personne devant son image est de surprise (pris par-dessus) ou d'étonnement

précèdentes pour essayer de déterminer finalement quels sont ceux qui incarne réellement le monstre par excellence du roman et quel a été leur fonctions. I/ Le monstre médiéval Amorce de cette partie voir page 30 du livre beauté monstre + annonce du plan de la partie 1) Laideur physique et écart à la norme 1. Quasimodo Page 118-119 : Premier protrait étudié en classe (reprise extrêmement rapide, réusmé) 1 portrait impossible à réaliser, long, gorgé de comparaisons, de superlatifs. De nombreux

état. Nous pouvons constater la présence dans ce poème de nombreuses figures de style qui témoignent de sa confusion : oppositions et antithèses marquent le désarroi du poète. Notons vers 6 et 7, « beauté surprise » et « laideur commune ». Cela suggère un monde où tout est déplaisant et dans lequel la beauté, le plaisir, l'harmonie est extrêmement rare. D'ailleurs, la notion de «surprise» rappelle une des directives du mouvement surréaliste auquel Paul Eluard appartient et se montre fidèle. Pour finir

concluant, on peut dire que son savoir se manifeste par la science et pas la sphère irrationnelle et occulte. [17] Dans un deuxième mouvement du portrait, Enéas parle le l’aspect physique de la prêtresse. Elle apparaît comme l’image de la vieillesse, laideur et son aspect fait peur. En plus, lui est attribué une allusion au diabolique. Ici, l’image d’elle tourne pour le lecteur du sublime positif au physique négatif. Quand même qu’elle soit un personnage païen, l’influence du Moyen Âge chrétien est visible

XXe qui ne cesse d’osciller entre refus et inscription totale de l’œuvre dans le monde. Pour confirmer la première partie du propos de Camus, il s’agira de voir comment la création artistique se pose comme un refus du monde tant en raison de sa laideur que son historicité. Cependant l’étude de la conception sartrienne de la littérature nous montrera comment face à une conception par trop idéaliste de la littérature, l’engagement se pose pour l’œuvre comme l’inscription totale dans le réel montrant

Correspond à l'idéal de beauté dans l'Antiquité puisqu'on a un mélange des attributs. - l'homme tronc dans "Freaks" capable d'allumer sa cigarette. II. Répulsion: 1) La laideur: - Quasimodo dans "Notre dame de Paris" de Victor Hugo, il fait peur. - l'affiche du film "elephant man", il se cache la nuit derrière un grand manteau. - la créature du docteur "Frankenstein" à cause de sa laideur. - dans le film "elephant man", l'infirmière pousse un crit de terreur à la vue de sa laideur. 2) Monstre =