La Bruyère Du Mérite Personnel

ses yeux, en effet, adapter une œuvre au théâtre, c'est encore l'écrire. Parce qu'il ne cessa de s'engager en faveur de la scène, voyant dans le théâtre « le plus haut des genres littéraires et en tout cas le plus universel2 », son œuvre théâtrale mérite pour le moins autant d'attention que ses romans ou ses essais. D'où vient donc qu'on n'en peut parler sans donner © Éditions Gallimard, 1958, pour Caligula, 1993, pour la préface et le dossier. 1. « Pourquoi je fais du théâtre » (1959), in Tkéâtre

seulement il – 69 – était un conciliateur par sa profession, mais encore dans la pratique, il haïssait toutes les disputes et tous les différends. Cela ne provenait pas absolument de son amour pour son prochain ou de sa prévoyance pour sa sûreté personnelle, mais d’une fusion de ces deux sentiments ; en cette occasion, il éprouvait une crainte instinctive, inspirée par la connaissance qu’il avait du caractère impétueux du Saxon, et il prévit le danger que l’esprit insouciant et présomptueux, dont son

sens, son recul participerait à la « foire au sens » et amplifierait le « zapping culturel » chacun « attendant Godot »… Mais la culture générale peut-elle se limiter à un stock de connaissances, sorte de réserve constituée à base de volonté personnelle durant sa jeunesse et ses loisirs et conservée grâce à l’inné de la mémoire qui s’effrite sous le poids des ans ? À l’heure des mutations vers la société de la connaissance, la culture générale, oisive et gratuite, ne saurait encore être opposée

d'autonomie subjective. Ce qui me «tue», dit-elle, c'est «la crainte d'être un jour vaincue, de déshonorer mon mari et les fils que j'ai mis au monde» (vers 419-421). Même sa calomnie criminelle, que notre mentalité nous pousse à lire comme une vengeance personnelle, est tout autant, dans le contexte grec, une dénonciation justicière, où elle est le porte-parole de la raison et I'instrument des dieux contre la scandaleuse prétention d'un mortel. Racine se contenta le plus souvent d'adapter et même de reproduire

meilleures conditions possibles, dans une ambiance de travail chaleureuse et amicale, et dans la bonne humeur. Je dois cette réussite à un ensemble de personnes que je tiens à remercier très chaleureusement. En premier lieu, je remercie vivement tout le personnel de la Communauté de Communes Ussel-Meymac-Haute-Corrèze pour son accueil chaleureux, sa disponibilité et son aide en tout domaine, et plus particulièrement mon maître de stage, Mme Isabelle Raynard, ainsi que le directeur de la structure, M. Vincent

quels moyens techniques. - Lecture survol pour trier les documents collectés - Lecture intégrale pour prise de notes. (Comprendre, prendre des notes, résumer, citer). Écriture du plan Rédaction du texte (ne jamais recopier, le texte doit être personnel) Choix des documents pertinents : textes ou illustrations supplémentaires. Introduction (délimiter le sujet, préciser ce qu'on veut montrer, poser le problème) et conclusion (Proposer une réponse, élargir le sujet, ouvrir les perspectives) rédigées

Ces deux types d’arbres sont aussi associés au bouleau et aux résineux, dans la moitié nord du pays, au châtaignier et au pin maritime, dans le secteur aquitain. La forêt, quand elle se dégrade, fait place à la lande océanique parsemée d’ajoncs, de bruyères et de genêts qui acidifient le sol et rendent difficile la réinstallation des arbres. Le domaine méditerranéen C’est le domaine d’une forêt adaptée à une sécheresse estivale et où dominent les arbres à feuilles persistantes: le chêne-liège, le pin

léger service; mais d'une manière si charmante, si tendre, et si passionnée, que le berger n'y peut résister, et chaque mot, chaque regard, est un trait plein de flamme, dont son cœur se sent pénétré. «Est-il, disait-il, quelque chose qui puisse mériter les aimables paroles d'un tel remerciement? Et que ne voudrait-on pas faire; à quels services, à quels dangers, ne serait-on pas ravi de courir, pour s'attirer un seul moment des touchantes douceurs d'une âme si reconnaissante?» Tout le spectacle

l’utilisation des mots argotiques se calquent sur la langue parlée et collent à la réalité des personnages en présence.. Ou encore le Grand Combat de Henri Michaux un modèle de ce que le poète appelle le refus du langage : il se fabrique un langage personnel mais qui reste cependant du langage et qui prouve son efficacité technique : "Il l’emparouille et l’endosque contre terre ; il le rague et le roupète jusqu’à son drâle ; il le pratèle et le libucque et lui barufle les

du sens, son recul participerait à la « foire au sens » et amplifierait le « zapping culturel » chacun « attendant Godot »… Mais la culture générale peut-elle se limiter à un stock de connaissances, sorte de réserve constituée à base de volonté personnelle durant sa jeunesse et ses loisirs et conservée grâce à l’inné de la mémoire qui s’effrite sous le poids des ans ? À l’heure des mutations vers la société de la connaissance, la culture générale, oisive et gratuite, ne saurait encore être opposée