La Bruyère Les Caractères

------------------------------------------------- Ces textes et ces maximes nous donnent plusieurs définitions de l’amitié qui se réunissent en un point : l’amitié est une relation consentie entre deux personnes. Ainsi La Rochefoucauld, La Bruyère, Chamfort et Cioran à travers leurs nombreuses œuvres nous donnent leur vision de l’amitié. Pour commencer Cioran, dans ces nombreuses œuvres, est celui qui a la vision la plus péjorative, la plus restrictive de l’amitié. Il pense que l’amitié

Le premier texte est un texte de La Bruyère "Du souverain ou de la République " . Ce texte commence directement par l'objet du sujet "la guerre", aucun coutrournement . On a , un discours tragique du point de vue où l'on place la guerre comme une force supérieure à l'Homme provoquant fatalité . Récit argumentatif avec entre autre l'utilisation de procédé tel que l'énumération au ligne 3 et 6 , où l'auteur donne un rythme ternaire à son récit afin d'y mettre un petit rythme haletant , et afin de

Les Caractères , de la Bruyère (1646-1696) _La Bruyère dénonce le comportement des « grands » (nobles, bougeois) vis à vis des « petites » gens. _Il dénonce l'écart entre les riches et les pauvres. _L'auteur utilise ici, le registe polémique → car il dénonce les conditions des esclaves. Et il utilise l'indicatif présent pour montrer la réalité des fait. _l.35 : « Faut-il opter ? » → question rhétorique. _métaphore animal de la ligne 13 à 18. _oxymore avec « ni heureux, ni malheureux » l.9

appuyer sur deux extraits des ouvrages : LES CARACTERES de Jean de la Bruyère (1645-1696) publié en 1688 pendant l’époque du classicisme. La Guerre et la Paix de Proudhon (1809-1865) publié en 1861 durant celle du réalisme. La guerre, qu’apporte t’elle aux hommes ? Thème commun : la GUERRE En premier lieu on peut constater que la vision de la guerre est complètement opposée entre ces deux sociologues. On remarque que dans LES CARACTERES, la vision donnée des hommes est celle de la

le texte de La Bruyère les ravages de la guerre sont soulignés par l'accumulation des verbes évoquant le massacre, "[…] Se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger […]" ; par l'utilisation de pronoms qui rappellent la perte d'être proche, le deuil, comme "veuves", "orphelin", ou encore l'expression, "épuiser les familles d'héritiers", là encore le but est de dénoncer la violence et les atrocités de la guerre tel que le déchirement des familles. Toujours dans le texte de La Bruyère, on remarque qu'il

Textes : La Bruyère, Les Caractères, « De l'homme » Hugo, Choses vues Prévert, Paroles, « La Grasse matinée » I- Question d'ensemble : montrez que les textes du corpus ont une visée commune mais qu'ils atteignent ce but par des voies différentes. Les trois textes du corpus visent tous trois à dénoncer les inégalités sociales. Tous abordent la question sous l'angle de la plus stricte nécessité : la nourriture. Gnathon dans les Caractères de La Bruyère est vorace

nombreux conseils à caractère injonctif (il faut, on doit, il est dangereux). Ce vade-mecum prend une valeur universelle et intemporelle même si au XVII ème siècle, la conversation est avant tout une posture sociale qui fait que l’on est reconnu à la Cour comme un honnête homme conduit par la raison et la modération. Il s’agit donc d’un texte moralisateur classique du XVIIème siècle qui expose les bienséances et les conventions à respecter dans l’art de la conversation. La Bruyère, autre auteur moralisateur

(1888) • Fort comme la mort(1889) • Notre coeur (1890 Jean de La Bruyère (Paris, 16 août 1645 - Versailles, 10 mai 1696) est un écrivain et moraliste français. La Bruyère est célèbre pour une œuvre unique, Les Caractères ou Les mœurs de ce siècle (1688). Cet ouvrage, constitué d'un ensemble de brèves pièces littéraires, compose une chronique essentielle de l'esprit du XVIIe siècle . Œuvres : Les Caractères Voltaire : Ecrivain français du XVIIIème siècle, encyclopédiste. Son

se libérer d’une obligation en payant de l’argent. -Volontiers de : au prix de. -L’extinction : la disparition. Introduction Dans cet extrait des Caractères, dans le chapitre intitulé « de l’homme », La Bruyère utilise le personnage de Gnathon, qui correspond à l’égoïsme pur. Le portrait de Gnathon est caricatural et satirique. La Bruyère nous décrit ici un personnage individualiste qui ne pense qu’à lui. Gnathon appartient à une classe sociale élevée (il mange des viandes) dans une époque

le sont moins. Ces égoïstes sont: un noble (Gnathon) chez La Bruyère qui dénonce les perversions morales de la noblesse au XVIIe siècle ; une femme de la noblesse (elle circule dans « une berline armoriée ») chez Hugo qui plaide pour un monde plus juste ; la société de consommation tout entière chez Prévert (« le monde se paye sa tête ») et le lecteur lui-même à travers elle. On observe une évolution au fil des siècles : si La Bruyère semble vouloir distinguer le comportement égoïste de Gnathon parmi