La Centralisation Ancien Régime

généralement situé dans des niveaux hiérarchiques stables et il constitue un moyen d’instaurer ou de rectifier des règles de l’organisation. Ainsi, la tendance est de prendre les décisions tout en étant à l’abri des exécutants. Cette centralisation de la décision a pour effet d’éviter l’arbitraire dans une organisation. Cependant, on assiste à une certaine rigidité qui se manifeste par le fait que ceux qui décident ne connaissent pas les problèmes, et les exécutants qui sont

d’Etat de Napoléon III, Tocq s’y oppose, participe à réunion des Parlementaires à la marie du Xe, incarcéré à Vincennes, se retire de la vie politique lors de la proclamation du IInd Empire. 1856 L’Ancien Régime et la Révolution (1ère partie) 1859 Mort de Tocqueville, pas de 2e partie de L’Ancien Régime et la Révolution. Tocqueville est une référence pour les libéraux, il défend la liberté, il a réalisé beaucoup d’écrits sur le colonialisme, il s’est notamment opposé à la barbarie de l’armée française

d’abord comme étant fondatrice du droit administratif français tout en étant pourtant l’effigie d’une centralisation autoritaire. Le Comte de Vaublanc, futur préfet de Metz, a d’ailleurs déclaré : « Cette magistrature était l'une des institutions les plus monarchiques que l'on ait jamais pu imaginer ». Cette loi avait en effet pour vocation de créer, ou tout au moins de renforcer, la centralisation administrative de la France en vu d’asseoir l’autorité du Premier Consul, s’inscrivant ainsi dans la

Etat unitaire, Etat fédéral et Etat régional Chapitre 1 : L’Etat unitaire Section 1 : Les principes – Les fondamentaux Section 2 : La centralisation Section 3 : La déconcentration Section 4 : La décentralisation - Prolégomènes Chapitre 2 : L’Etat fédéral Section 1 : Généralités sur l’Etat fédéral Paragraphe 1 : Les origines de l’Etat fédéral A/ Le fédéralisme par association B/ Le fédéralisme par dissociation Paragraphe 2 : Etat fédéral, Union d’Etats et Confédérations

pour ce qui concerne la France en particulier, le XVIe siècle est marqué par un vigoureux processus d’unification linguistique du royaume, par lequel le français affirme sa prééminence sur d’autres langues présentes dans le royaume. La base est le régime économique de la société à une étape donnée de son développement. La superstructure, ce sont les vues politiques, juridiques, religieuses, artistiques, philosophiques de la société et les institutions politiques, juridiques et autres qui leur correspondent

encadre les phénomènes politiques au plus haut niveau de l’Etat et apporte des limitations opposables au pouvoir politique dans le but de garantir la liberté § 2 : Le droit constitutionnel en tant qu'ensemble de normes d'une certaine valeur §3 : Du régime constitutionnel à l'Etat de droit SECTION 2 : LES INSTITUTIONS POLITIQUES ET LE POUVOIR POLITIQUE § 1 : Les institutions § 2 : Le pouvoir politique A. Le phénomène politique B. Le pouvoir politique C. Les formes du pouvoir politique Pouvoir immédiat

non la démocratie. Ces questions sont réglées par la constitutionnalité ; une nouvelle constitution est écrite lors de chaque changement de régime. L'exécutif évolue aussi sur l'ensemble du territoire français. Dès qu'il y a plus de démocratie, la tendance est à la décentralisation. A l'inverse, lors de périodes d'autorité, la tendance est à la centralisation. Se pose ainsi la question du pouvoir exécutif au sein de ces systèmes. Dans quelle mesure l'exercice du pouvoir exécutif évolue-t-il de 1789

donc une certaine continuité. C'est ce qu'à noté Tocqueville dans son ouvrage L'AR et la révolution. PARTIE 1 : ORGANISATION GOUVERNEMENTALE ET ADMINISTRATION. CHAPITRE 1 : Organisation gouvernementale et administration à la fin de l’Ancien régime. A partir du 14ème, le pouvoir royale s'affirme en France, il y a une mise à l'écart des seigneurs. L'Etat sera composé du territoire/peuple/gouvernement. L'Etat va former un être juridique à part, il est souverain et encadre l'action politique

L’ancien régime est la période antérieur à la révolution. Cette expression, n’a pas été créée par ceux qui l’ont vécue, mais créée par les « révolutionnaires ». Mirabeau, en 1790, utilise cette expression, qui passera dans le langage courant. Au 19ème siècle, les historiens prennent cette expression, Ce concept a, aujourd'hui, perdu sa connotation péjorative et désigne la période du XVIe siècle à la révolution. Louis XVI essaye de mettre en place des reformes, toutes des échecs et finit convoque

politique et inscrite dans la constitution, l'article 20 de la constitution le gouvernement détermine et conduit la politique de la nation, il dispose de l'administration, et de la force armée. Le principe et de la subordination à la constitution est ancienne car il date de la constitution de 3 septembre 1791. puis réaffirmer avec force dans la constitution de 1958 en réaction au III et IVème République du fait de l'instabilité ministérielle, l'administration avait acquis une trop grande autonomie.