La Certitude Est Elle Une Pensée Morte

nuit avec la lumière de l’entendement et le feu (…) »6 Beckett comprend alors que c’est cette « obscurité », ce magma des pensées et paroles intérieures, qui est la source de son inspiration créatrice. À Charles Juliet, il confie : « Il fallait (…) trouver le langage qui convenait », « rejeter tous les poisons », c’est-à-dire « la décence intellectuelle, le savoir, les certitudes qu’on se donne, le besoin de dominer la vie »7 ; « Jusque-là, j’avais cru que je pouvais faire confiance à la connaissance

besoin pour vivre, que nous nous procurons par notre travail. Leur caractère commun : être consommés, c'est-à-dire détruits par l'usage que nous en faisons. Or l’œuvre d’art n’est pas détruite par celui qui se l’approprie, parce qu’il le fait « en pensée », sans avoir besoin d’en faire usage. C’est pourquoi elle ne s’use pas. Utile est plus large : ce qui procure un bénéfice ou un avantage. De quelle nature ? Tout se joue dans la différence entre le marteau et la promenade : le marteau est utile

délimitent. Philippe Malaurie déclare que « la distinction entre la personne humaine et la chose constitue le fondement principal de notre civilisation ». Il reprend alors la maxime de Descartes : «  je suis une chose qui pense ». Dès lors que la distinction juridique est faite, il a fallu accorder aux personnes des droits et notamment des droits de la personnalité. Historiquement, ces droits étaient essentiellement défensifs et permettaient a l’individu de se défendre

monde sensible. La certitude en est fournie exclusivement par l'expérience scientifique. Il rejette l'introspection, l'intuition et toute approche métaphysique pour expliquer la connaissance des phénomènes. Auguste Comte appliquera ensuite cette théorie à la religion, avec le positivisme religieux. La pensée philosophique et le courant littéraire se rejoignent donc logiquement, et nous pouvons comprendre que Zola, qui se considère comme matérialiste et athée, adhère à cette pensée. Concentrons-nous

cœur. Et le fleuve emmenait tout ses désirs, son amour vers celle qui le mériterait. Soudain, dans un nuage d'éclat de cristal une licorne apparut. Son pelage d'un blanc éclatant scintillait au soleil. Ses sabots d'argents étaient le miroir des pensées du beau prince; sa corne d'or, la pureté de son âme. C'était le messager de son amour prochain qui restaurait les meurtrissures de sa vie. Bientôt, tout changerai il serait enfin aimé. Dans une bourrasque d'un vent violent, l'animal disparu.

connait une distinction les choses animées et inanimées. Les animaux bénéficient d’un statut particulier dans les choses. On va incriminer certains comportements humains à l’égard des animaux. Fin 19ème, et 20ème on voit se développer un courant de pensée. On va voir un phénomène de réification d’êtres humains (descendre des humains dans la catégorie des choses) et le sens inverse ou les animaux doivent être traités comme des hommes. Un certain nombre d’auteur affirme que les animaux ont des droits

C’est le cas en matière d’assurance vie notamment. b) La disparition de la personnalité juridique * La certitude de la fin ou la certitude de la disparition de la personnalité juridique La personnalité juridique disparaît avec la mort de l’individu. Le texte qui définit la mort est l’article R. 1232-2 du code de la santé publique. Le texte dit que la personne est morte si elle présente un arrêt cardiaque et respiratoire persistant. Le constat de la mort ne peut être établi que si trois

continuité se fait dans un même primat accordé à la forme sur toute idée de message ou de confidence, et dans le même souci de travailler cette forme jusqu'à sa perfection canonique. Le mouvement se nourrit cependant de l'apport de tout le courant de pensée positiviste, comme le montrent les déclarations d'intention et les oeuvre de Leconte de Lisle. Ce fils de planteur créole a d'abord aimé, lui aussi, le romantisme engagé de 1830, vers lequel le poussait son enthousiasme pour les thèses de Fourier

Caroline : Je sais. James : Tu ne peux pas savoir! Je ne savais rien moi-même avant d’arriver là-bas et je n’ai encore rien dit à personne. D’où le tiens-tu? Caroline : Du laitier. Qui lui, l’a su par la cuisinière des Ferrars. De quoi est-elle morte? D’une crise cardiaque? James : Le laitier ne te l’a pas dit? Caroline : Il n’était pas au courant. James, soupirant : Mme Ferrars a simplement pris trop de somnifères. Elle souffrait d’insomnie ces temps-ci, elle aura dépassé la dose par erreur

romantisme |-traits essentiels : |- l’attention accordée aux forces de l’affectivité, du désir, de la passion, | | | |-la sensibilité préférée aux certitudes de la raison et de la science, | | | |-la confusion du rêve et de la réalité ; | |