La Certitude Tue La Philosophie

sont nés dans un monde parfait, mais ont ensuite été déchus : les premiers hommes sont issus des cendres des Titans foudroyés par Zeus. Ceux-ci ont été châtiés de la sorte pour avoir commis la faute originelle que les hommes devront expier : ils ont tué et mangé le jeune Dionysos. Les hommes ont donc une double ascendance, à la fois titanique, criminelle et violente, et également dionysiaque et divine. La part titanique est destinée à faire le Mal, celle dionysiaque à faire le Bien. L'âme

de passion à la continuation même de la vie » (Zola, L’argent). Ainsi comprendra-t-on que ce soit progressivement installée dans l’idéologie de la société marchande moderne la conviction que « l'argent est ici le dieu terrestre » (G.Simmel, La philosophie de l’argent) parce que « le moyen de subsistance le plus sublimé de tous devient le but le plus sublime de l'existence » (Id.). 2. Dangereuse chrématistique En effet, si en son principe « l'indifférence de l'argent par rapport

a souhaité Evans ne serait pas si positif et si jubilatoire. Au cours d'une carrière passée en mer, le vieux capitaine avait appris à laisser les choses qui ne le regardaient pas bien toute seule. Son ami Evans, fin C.I.D. Inspecteur, avait une philosophie différente de la vie. "Agir sur les informations reçues -" avait été sa devise dans les premiers jours, et il avait amélioré que dans la mesure de trouver ses propres informations. Inspecteur Evans avait été très intelligent, agent éveillé, et avait

tant d’autres lieux, les dimensions de cette ignominie que, dans le camp des vainqueurs, on n’hésitait pas à rayer de la carte les villes d’Hiroshima et de Nagasaki en vitrifiant leurs populations sous le feu nucléaire. Dans un tel contexte, les certitudes rassurantes du réalisme et du naturalisme ne parviennent plus à convaincre : le roman qui ne peut plus fournir d’explications positives sur l’homme, n’a plus à apporter que des questions de plus en plus angoissantes. Questions qui ne portent plus

Et quand un tremblement de terre ou un autre malheur du même acabit s’abat sur lui, l’homme délègue la responsabilité au hasard et à la fatalité. C’est entre la liberté sociale et la liberté individuelle que se situe la liberté humaine. La philosophie a beaucoup traité de la liberté sociale sous le nom de la politique. Depuis La République de Platon, un des premiers livres qui trace les lois de l’organisation sociale et jusqu’au Manifeste du parti communiste qui a inspiré la moitié du globe

Présenté par : Lilas TRIMUA Sous la direction de : Professeur Johann MICHEL BIBLIOGRAPHIE 1- Ouvarges Jean Carbonnier. « Flexible droit. Pour une sociologie du droit sans rigueur » : LGDJ, 8 éd. 1995. P. 23 et s. Bruno Oppetit. « Philosophie du droit ». 1 ère éd. P 27,97 Francesco Savrerio Nisio. « Jean Carbonnier, regards sur le droit et le non-droit » Dalloz, 2005 PARIENTE-BUTTERLIN Isabelle, «  Le droit, la norme et le réel », PUF, 2005, 2-Ouvrages spécialisés et articles doctrinaux

de fantasy reconnaissable au fait qu=elle favorise chez les lecteurs la *suspension constante de l=incrédulité+ en situant dans un cadre scientifiquement plausible ses spéculations sur les sciences physiques ou sociales, l=espace, le temps et la philosophie@.5) Michel Pilotin: ALa science-fiction est le comble de la fiction. Quel genre rivaliserait avec celui qui est fondé sur l=invraisemblable à base rationnelle? Les cadres du vieux roman d=anticipation à la Jules Verne, ébranlés par Wells

Chartier) (1946), Spinoza 3 Table des matières Préface LA VIE ET LES ŒUVRES DE SPINOZA LA PHILOSOPHIE DE SPINOZA Introduction I. II. III. IV. V. VI. La méthode réflexive De Dieu et de l’âme Des sentiments et des passions De l’esclavage de l’homme De la raison De la liberté et de la béatitude CONCLUSION Table analytique des matières et des références La vie et l’œuvre de Spinoza La philosophie de Spinoza Mémento bibliographique Alain (Émile Chartier) (1946), Spinoza 4 Alain (1946)

méthode et dans les méditations métaphysiques Descartes exprime sa déception vis-à-vis des connaissances acquises, seules les mathématiques semblent fiables, mais elles sont inutiles. Descartes se propose de reconstruire un savoir nouveau, une philosophie vraie qui serait utile et fiable. Pour cela, il faut partir d’une vérité absolument certaine. Pour la découvrir, il procède à un doute hyperbolique et méthodique. C’est un doute exagéré puisqu’il porte sur tous les domaines et qu’il pousse à considérer

scientifiques, ces ensembles de concepts rigoureusement liés entre eux par les mathématiques et globalement articulés au réel par l’expérimentation, sont périssables ; si bien que paradoxalement, la science, constituée pour répondre à l’exigence de certitude par la démonstration, ouvre une brèche au scepticisme et au relativisme. Si toute théorie scientifique n’a qu’une valeur passagère, peut-elle prétendre sans contradiction à l’épithète de « scientifique » ? Une théorie scientifique peut-elle donc