La Certitude Tue La Philosophie

vernaculaire et critique l’usage du latin. - En philosophie, il pose le principe de raison suffisante : rien n’a lieu sans raison. Pour lui, c’est l’harmonie préexistante en Dieu et par Dieu qui a rendu la Création possible et la meilleure possible. En Dieu, il voit un « monarque débonnaire », qui nous offre les merveilles de la raison, de l’esprit et de la nature. Deux activités nous permettent de les saisir : la philosophie et l’érudition. Selon la philosophie optimiste de Leibniz, Dieu ne pouvant créer

Le relativisme, largement partagé par la doxa, peut être une position philosophique si elle est argumentée. Il convient donc d’approfondir sa réflexion personnelle sur le sujet à l ‘aide d’outils conceptuels précis (ce qui est le propre de la philosophie) Le scepticisme peut être ainsi interrogé comme point de vue du sens commun mais aussi comme position philosophique (voir le Pyrrhonisme ou le relativisme de Protagoras qui affirme que « l’homme et la mesure de toute chose »). De la même manière

il les nie tous ; ce qui aura pour effet de le rendre presque associable vu qu’il est incapable de prendre en compte le jugement ou l’aide d’autrui. De plus il devient dangereux, car il entretient un rapport des plus malsain avec ses idées : la certitude. Il y a une chose dont Hitler est sûr, c’est qu’également à cette époque, il pouvait tendre la main tant qu’il voulait, personne ne la prendrait plus ; il pouvait sourire, mais à qui ? Sa vie était entrée dans un hiver dont il ne sortira jamais

| | Le débat philosophique a) Ce que le débat philosophique n’est pas Tout débat n’est pas philosophique. Ce n’est pas parce que des élèves discutent ensemble en classe sur un thème précis qu’il y a philosophie. Un débat d’opinions n’est pas, par exemple, à proprement parler un débat philosophique. Et il nous paraît très important d’être vigilant sur ce fait : il faut toujours se demander si on est bien dans un échange philosophique. Le tout n’est

textes traitant des Amérindiens, afin d’établir sa propre philosophie. Folie ou sagesse ? Hussein cherchera à le comprendre, devenant par la suite son élève à qui il enseignera sa pensée, sa philosophie. Barghouti apprend donc à entrer dans le jeux de ces personnages aux pensées délirantes, hors réalités, avec lesquels le dialogue est souvent difficile, tente de comprendre, de traduire chacune de leurs pensées qu’il associe à de la philosophie et médite sur celles-ci. Hussein est un être très préoccupé

permet à un acteur de jouer son rôle sur la scène, mais c’est en même temps ce qui masque l’identité véritable de l’acteur. La notion de personna va reprendre une definition précise par un auteur du VIeme siècle qui est Boece (consolation de la philosophie). Elle définit la personne comme étant une substance individuelle de nature rationnelle. La substance, dans le langage philosophique, est ce qui se distingue des accidents. Définir la personne comme une substance, revient a dire que la personne

désespoir, ils réagissent par l’exigence de l’action. " Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie" ( Malraux) : à l’homme de "nier le néant", par l’art ou par la révolte. Ce courant, qui aboutit à l’existentialisme, s’inspire certes de la philosophie, il cherche à rapprocher l’écriture et le vécu. Mais le mot "absurde" a pris un sens plus précis dans la pensée moderne : à la suite de Kierkegaard et Kafka, il en vient à désigner le caractère irrationnel et tragique de la condition humaine

de soutenir une position avec certitude. Evidemment, l’auteur d’Une chambre en Hollande ne se permettrait certainement pas de remettre en doute toute la théorie d’un père de la philosophie moderne. Néanmoins, il nous est possible de remarquer que Bergounioux glisse de temps à autre quelques commentaires dont on a de la peine à discerner s’il s’agit de démonstrations soutenants Descartes ou d’habiles tournures afin de souligner les paradoxes possibles de sa philosophie. Sans pour autant remettre en

religieuse relève, parfois, de cette définition. Alain : « La religion consiste à croire par volonté sans preuve et même contre les preuves… » Savoir suppose un effort de réflexion, une recherche, des preuves, des démonstrations. Croire implique une certitude subjective, un engagement individuel, un investissement affectif. Savoir suppose l’élimination de la passion et du sentiment pour rechercher une vérité objective et universelle. La croyance est un système de pensées et de valeurs qui fournit une

citations, le passage brusque du sérieux au ludique, à la provocation ou à l'absurde. À l'inverse, le Second Manifeste du surréalisme, publié en 1929, est plus violemment polémique. Il marque l'importance de l'action politique et le rôle de la philosophie marxiste dans l'histoire du mouvement (qui succède à l'importance de Freud des premières années). C'est ainsi qu'on accusera Breton d'un certain dogmatisme dans sa volonté de dénoncer tous ceux qui auraient, selon lui, trahi l'idéal de la révolte