La Certitude Tue La Philosophie

souffrait d’une paralysie générale, probablement causée par la syphilis qui a changé complètement sa personnalité. Maupassant était toute sa vie un grand pessimiste, il détestait la religion, il ne faisait pas confiance aux femmes et la seule certitude de sa vie était la mort. Des signes de la peur étaient visibles chez lui depuis sa jeunesse. Mais à cause de sa maladie il devenait fou et avec la folie, sa crainte augmentait et devenait plus grave. Cette émotion est ancrée chez lui le plus souvent

Discours de la méthode en 1637 et des Méditations métaphysiques en 1641). L'homme prend conscience de la contingence des positions des uns et des autres (« l'un », « l'autre »). Le jeu des pronoms rend compte de la multiplicité des points de vue, des certitudes religieuses. Qui pour notre auteur ne sont que des présuppositions dogmatiques, pour ne pas dire des superstitions. Le héros de l'histoire narrée par le Persan ne partage pas la confiance obtuse en une logique dogmatique, aveugle, procédurière et

croyance à la réincarnation permet à l’Homme d’accorder une importance particulière aux animaux. Si on prend l’exemple de Pythagore, il était végétarien parce qu’il pensait, à travers sa théorie de la métempsycose, qu’il était possible qu’un animal tué ou maltraité hébergeait l’âme d’un proche qui se serait réincarné en lui. Tuer un animal devient donc un sujet d’éthique : en effet, certains comme Plutarque dénoncent la disproportion qu’il y a entre le tort causé à l’animal et le bien visé. Le mal

courant littéraire naturaliste qui se fonde sur l’application d’une méthode scientifique au domaine de la littérature. Le terme naturalisme introduit donc dans l’histoire littéraire une notion empruntée aux sciences biologiques mais aussi à la philosophie et à la critique d’art. Ces écrivains naturalistes se sentent les héritiers du réalisme de Balzac pour son observation sociale et pour sa peinture de « types », ainsi que de Flaubert ( qui toujours cependant restera critique face aux

est adopté par un ecclésiastique, Guillaume de Villon, qui lui fait faire d’excellentes études. À 21 ans, il est maître ès arts[32]. Mais il se mêle aux étudiants fripons[33] et débauchés[34], plus familier des tavernes que de la faculté. En 1455, il tue un prêtre au cours d’une rixe[35]. Condamné à mort, il obtient, grâce à ses protecteurs, des lettres de rémission[36]. Compromis à nouveau pour une affaire de vol, il quitte Paris et compose des Leis[37], 40 huitains[38] énumérant les legs burlesques[39]

La scène est en Sicile. ACTE I Scène I. SGANARELLE , GUSMAN. SGANARELLE , tenant une tabatière  Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac : c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante

qu'on rapprochera de la prosopopée (mise en scène d'êtres surnaturels ou d'une réalité inanimée), prend place au début de ce septième vers, dans un tour exclamatif. La prosopopée suggère une exaltation presque délirante : la proximité de la mort, la certitude d'une mort inéluctable font progresser l'énonciateur vers un cri de désespoir. La formule interjective « adieu » laisse entendre que le poète va prendre congé de la vie. Le syntagme exclamatif rend donc cette situation plus pathétique encore, en

la descente aux enfers. Quand on regarde tous les poètes du XVIIIème, il n’y a qu’un seul nom qui ressort ; ANDRE CHENIER. Pourquoi on en est arrivé là ? Parce que les poètes deviennent des gens pour distraire et en plus, c’est le siècle de la philosophie donc, les philosophes se réfèrent à la raison. Or, l’ennemi publique de la poésie, c’est la raison. Donc, poésie et raison sont opposés ! Cependant, dans les 30 dernières années du siècle, il y a une remontée = période préromantique. Pourquoi

engendre en elle le plus vif sentiment de compassion envers les pauvres, les travailleurs, les déshérités. Elle est anti-religieuse, militante syndicaliste, éprise de la révolution prolétarienne, mais indépendante de tout parti. Jeune agrégée de philosophie, elle partage son salaire avec des chômeurs. En 1934, elle abandonne sa chaire de professeur et se fait ouvrière. En 1936, elle s'engage dans la guerre d'Espagne. En 1938, une illumination transforme sa vie : "Le Christ est descendu et m'a prise

Histoire des idées politique Emmanuel Kant, philosophe du 18ème siècle se pose 3 questions : Qu'est ce que je peux connaitre ? C ‘est de la philosophie théorique. Les deux autres questions sont relatives aux questions morales, c’est de la philosophie pratique. Qu'est ce que je dois faire ? Que met il permis d'espérer? Une règle, qu'elle soit morale ou juridique, n'est jamais ce que l'on appel un phénomène au sens étymologique, ce qui apparaît. Or la loi au niveau