La Chretienté Medievale

y avoir de vassalité. Au bout de cette cérémonie, le vassal est investit du fief et il a promis loyauté, prêté hommage et serment. • Texte 18 : Les trois ordres de la société médiévale selon Adalbéron, évêque de Laon (fin Xe s.) Texte décrivant la structure de la société médiévale. ❖ Conception de celle-ci en 3 ordres I. Ordre ecclésiastique forme un seul bloc uni qui répond à des lois différentes des 2 autres ordres. II. Nobles: ces sont

moyen-âge Le moyen-âge et marqué par la christianisation de l’Europe occidentale. C’est l’âge d’or de la chrétienté. Toute la population est chrétienne, une Europe chrétienne, c’est donc l’église qui conserve l’héritage culturelle de l’antiquité. Ce sont les membres de l’église, le clerc qui enseigne d’où le ton religieux chez l’auteur scolastique (tout les étudiants de l’époque médiévale) .Thomas d’Aquin prince des scolastiques, c’est fait sont représenté par 3 caractéristiques essentielles ;

pouvoir et est relié par des axes routiers importants. ● Pendant plusieurs siècles, l’Europe va conserver une nostalgie de cette unité originelle = bien après l’empire romain on se souvient de lui et on tente de le remettre en ordre. L’Europe médiévale va garder le souvenir de l’unité de l’empire romain car le monde romain a légué un certain nombre d’éléments essentiels à l’Europe : la langue : le latin sa culture Une partie de son droit  Cette dimension universaliste du monde romain

pessimiste : Luther : pour lui l’homme est marqué par le péché Originel : seul Dieu peut le sauver, peut le pardonner  ➢ D’où rupture avec l’Eglise catholique : la Réforme : mouvement religieux qui au 16eme s, soustrait une partie de la Chrétienté à l’autorité pontificale et qui est à l’origine des Eglises protestantes Les réformés prennent le nom de protestants : protestantisme : ensemble des doctrines religieuses et des Eglises chrétiennes issues de la Reforme Trois formes :

Un art marqué par l'Humanisme Introduction Au Moyen-âge, les œuvres étaient austères, et peu précises. L’art médiéval est principalement religieux : son but premier étant de répandre la croyance religieuse. Pourtant, progressivement, avec la Renaissance et l’Humanisme, l’art va subir un important changement. C'est au XVe siècle en Europe, mais surtout en Italie, que l'humanisme voit le jour avec l'aide des « Grandes Découvertes » comme l'imprimerie ou la découverte de l'Amérique. Grâce

baptême. A l’époque antique il se pratiquant à l’âge adulte précédé d’une période d’instruction religieuse. Dans un baptistère avec une cuve dans laquelle on plongeait le baptisé. Il est présidé par l’évêque à la date de Pâques. Immersion.A l’époque médiéval (à partir du 6/7ème siècle), on le pratique à la naissance. Il s’agit d’assurer l’accès du nouveau-né au paradis en cas de décès prématuré. Aspersion. Ce sacrement lave du péché originel. Il peut être administré par un prêtre ou un laïque (pratique

chaque province est divisée en cités. La cité est une circonscription administrative (institutions municipales identiques pour toutes les cités de l’empire) et qui comprend un territoire de plusieurs « pays » connus sous le nom de contés à l’époque médiévale. Au niveau local, c’est une perpétuation d’un partage des compétences E et L entre plusieurs types d’institutions : certains représentent le pouvoir central, il y a des magistrats nommés comme des « édiles » élus pour représenter (fonction judiciaire

caractéristiques animales. En revanche, son animalité se rapporte plus à l'ignorance qu'à l'écoute de ses pulsions primaires. Jamais elle ne se rebelle contre madame Aubain et sa quasi éternelle froideur. Est-ce le paroxysme de l'oubli de soi, si chère à la chrétienté ou est-ce de la pure bêtise ? En étant attentif à ceci, les valeurs prônées par l’Église semble être totalement remise en question. Nous pourrions même nous demander si la religion ne mène pas jusqu'à la stupidité ! En définitive, il est clair que

Abbaye de Clairvaux   A 15 kilomètres au Sud de Bar-sur-aube, au cœur de la forêt de Clairvaux, saint Bernard créa en 1115, une abbaye cistercienne appelée à devenir un des hauts lieux de la Chrétienté, qui abrite aujourd’hui un centre pénitentiaire et un centre culturel (visites, expositions, festival de musique). De l’ancienne abbaye subsistent quelques murs de Clairvaux I (le Monastérium Vetus, 1115-1135), le bâtiment des convers de Clairvaux II (11351708) et le grand cloître de Clairvaux

le Code de Justinien, dans laquelle ils déclarent qu’« un prince qui soumet sa dignité aux lois, est plus respectable par-là que par son pouvoir ». L’empereur, pourtant dégagé des liens de la loi, se lie ainsi de lui-même à elle. Les juristes médiévaux vont reprendre à leur compte cette idée d’autolimitation inscrite dans la Constitution Digna vox. Le roi de France, empereur en son Royaume, lex animata, doit s’efforcer de respecter les lois. Ces mêmes juristes vont dégager d’autres limites.