La Cité de la joie

éternellement assouvis Bonheur / existence . lié aux joies et aux peines que l'homme s'inflige ou que les événements de l'existence lui inflige . se vit par privation / par négation : identifier / connaître / vivre la douleur afin de vivre / connaître la joie . divertissement . condamné à désirer / condamné au manque et à sa sensation (condition humaine ? Synthèse > l'existence humaine oscille entre le divertissement et l'ennui > peur de mourir # peur de vivre > Immortalité : condamné à

Le siècle des Antonins est souvent cité comme l’âge d’or, l’apogée de la Rome Antique. D’ailleurs, jamais les sociétés antiques n’avaient jamais rien connue de semblable : les Romains ont quitté leurs uniformes de guerre pour s’adonner à la joie de vivre, une joie de vivre qui illustre bien l’administration parfaite de Rome, ses frontières maintenues dans un empire cohérent. Ce siècle des Antonins est marqué par un embellissement des villes, une augmentation des richesses et une certaine prospérité

Sido et Les Vrilles de la vigne ? Nous allons d'abord nous pencher sur les œuvres qui célèbrent le monde ainsi que la joie apportée aux auteurs. Puis, nous parlerons de la célébration de la beauté de « l’ordinaire » et l'introspection de I auteur. La célébration du monde et de la joie apportée aux auteurs est très présente dans de nombreuses œuvres. Dans Sido et Les Vrilles de la Vigne ,

répondre à cette question nous traiterons certains aspects du texte les uns après les autres. Dans un premier temps nous étudierons brièvement la vision d’un chroniqueur à l’échelle humaine, ensuite il conviendra d’analyser ce que l’on peut appeler « une joie contrastée », pour enfin finir avec l’aspect humaniste et l’enseignement qui se dégage de ce récit. ( Lecture à voix haute de l’extrait I. la vision d’un chroniqueur qui malgré tout reste un homme 1) Le propre de la chronique ● Précision

personnage principal du récit. Il consacre alors les dernières pages de l’œuvre de sa chronique à la délivrance d’Oran. Par une belle matinée de février, les portes de la ville s’ouvrent enfin au monde extérieur dont les Oranais étaient séparés. La joie éclate alors dans toute la ville et les réjouissances s’organisent. • La nuit venue, le Docteur Rieux monte sur la terrasse qui surplombe la ville. C’est de ce point de vue privilégié que le médecin assiste à l’exubérante allégresse d’Oran libérée

On pourrait emmener un élève de CE2 voir La Cité rose, il suffit de lui couvrir les yeux la moitié du temps. Ce drôle de film passe sans arrêt du récit enfantin à la chronique violente de la vie des cités périphériques françaises. Cette instabilité fait à la fois la faiblesse et la force du film. Faiblesse parce que les sautes de tension minent l'efficacité dramatique, force parce que la confrontation entre l'univers enfantin et la brutalité du quotidien des trafic apparaît pour ce qu'elle est :

fragment faisait surgir contradiction qui ont donné un nouveau sens, certainement tous les présocratiques sont dans ce cas, on ne connait pas toute l’œuvre. = Certain fragments disparus + Contexte de rédaction disparus : Exemple quand St Augustin cite Aristide de Cyrène il prend extraits qui l’arrange. Difficulté de restituer les contextes. Même pour Platon, les contextes sont difficiles. On ne dit pas que Platon désirait autodafé des œuvres de Démocrite, qui le dérangeait. Qui est Philèbe par exemple

sérénité. Sérénité teintée a l’espérance : « champ lexical de l’espoir et de la lumière ». _ Les images de la vie sont liés à la musique, renforce la joie ressentie Instrument précis cuivre, fanfare renvoient à une sorte de célébration de la vie. * L’image de la maternité Symbolisée par Clothilde. Cette dernière est associée a la joie : répétition de l’adjectif « heureuse ». Elle est aussi le symbole de la vie « Une mère qui….continué et sauvé ? ». Elle permet par cette association

que ressentirent tous les auteurs de la seconde partie du XIXème est particulièrement fort chez ces trois poètes puisqu’ils sont considérés comme des « poètes maudits » (Baudelaire n’est pas à proprement parler un « poète maudit » puisqu’il n’est pas cité par Verlaine parmi les six originaux, mais ses poèmes parlent des mêmes thèmes que ceux des six « poètes maudits »). En effet, le poème « Ariette III » (texte A) finit par « Mon cœur a tant de peine »v.16. Baudelaire, lui, justifie sa mélancolie

manque de rien, accepter quelque chose qui ne dépend pas de nous c'est être vertueux. Si une personne et réellement vertueuse, elle ne sera en manque de rien.Texte de Sénèque, Chapitre 9La joie n'est pas seulement les biens extérieurs (voitures …) mais bien la vertu. Le menteur, le tricheur ne peut pas connaître la joie car il n'est pas vertueux. Celui qui est vertueux est comblé jusqu'à la mort, le vertueux ne peut pas être trahi par la vertu. Le fait d’être content que produit le soleil dépend de moi