La Cité de la joie

sens. Dans les deux premiers quatrains l’amour est exprimé sous forme de sensations puis dans les deux tercets les sentiments intérieurs sont évoqués (la joie, la souffrance, la douleur intérieure, la peine). Tout au long du sonnet, le sentiment amoureux s'exprime dans une durabilité qui oppose des antithèses (émotions libres, la douleur, puis la joie). Les antithèses (« Je vis, je meurs ... ») expriment l'inconstance et la spontanéité dans les différentes sensations et émotions éprouvées. Les contradictions

La Guerre de Troie n’aura pas lieu, acte I Dès la 1ère scène, la cité de Troie entre en jeu, bien qu’indirectement, par cette description du décor: « Terrasse d’un rempart dominé par une terrasse dominant d’autres remparts ». On imagine donc une cité prête à la guerre, prête à se défendre. Bien évidemment, tous les troyens sont dévoués à défendre leur cité mais certains par d’autres moyens. Les uns veulent la paix, les autres la guerre. D’ailleurs cela se remarque tout de suite avec cette

a. Disparition de la peste et la joie des Oranais -“nuit était celle de la délivrance, et non de révolte”  la lutte est achevé -“Dans la nuit maintenant libérée” On voit que la ville était libre -On voit une ville qui célèbre la disparition de la peste avec le Champ lexical de joie “cris d’allégresse” “les premiers fusées des réjouissances officielles” - La disparition de la peste marque un nouveau départ pour les Oranais - De plus, on voit la joie des éléments de la ville qui accompagne

ce jeu de chambre de passe, des jeunes se sont transformés en proxénètes. Ils proposent de trouver des filles de joie de l’hôtel pour des clients et non les moindres. Ils ont des numéros de téléphone des prostitués qu’ils contactent en cas de besoin. Le marché est florissant et tout un chacun joue sa partition et y gagne. De ce fait, le phénomène de proxénétisme est rentré dans notre cité. Vieux, femmes et jeunes en profitent. Vous voulez en savoir plus, les gérants des bars en ont le secret. Des

dérisoire du pape des fous. Quasimodo s’en laissa revêtir sans sourciller et avec une sorte de docilité orgueilleuse. Puis on le fit asseoir sur un brancard bariolé. Douze officiers de la confrérie des fous l’enlevèrent sur leurs épaules ; et une espèce de joie amère et dédaigneuse vint s’épanouir sur la face morose du cyclope, quand il vit sous ses pieds difformes toutes ces têtes d’hommes beaux, droits et bien faits. Puis la procession hurlante et déguenillée se mit en marche pour faire, selon l’usage,

savoir les passions, les désirs ; ce qui suppose une certaine conception de la vie comme énergie, croissance, puissance, force. Ce qui suppose également une certaine conception politique : la “cité” ne semble pas le bon statut politique pour lui. Car comment ne pas être plus ou moins esclave d’autrui dans une cité gouvernée finalement par la Raison? Comment ne pas dépendre des autres? Car l’idée que Calliclès se fait de l’esclavage est très précise : on est esclave du moment que l’on dépend d’autrui

travers un récit rétrospectif. Tout d'abord, Mme de Merteuil se met au coeur de l'attention par la répétition du pronom personnel "je", qui est cité 38 fois, ainsi que des pronoms posséssifs tels que mon, ma et mes. Ces procédés la mettent en avant et montrent que Mme de Merteuil parle d'elle-même. De plus, elle utilise le champ lexical des sentiments avec "joie, plaisir, douleur, étonné, sûre", ainsi elle exprime ses propres sentiments à travers la lettre. En plus de centrer cette lettre sur elle-même

de la cité, et étudie le fonctionnement de l’Etat à son époque. La thématique du passage est la société. Il constitue une réflexion sur la notion de « cité ». Plus précisément, Aristote s’intéresse ici aux conditions qui sont indispensables pour fonder une cité, en tant que « communauté politique ». Tout d’abord, il présente les relations humaines nécessaires et celles indispensables qui doivent exister pour qu’on puisse parler de « cité ». Sa thèse est la suivante : « la fin d‘une cité c‘est la

Etre heureux c'est ressentir la joie de vivre dans la force d'âme , avec courage et générosité, en réalisant ses désirs raisonnables dans un sentiment de liberté intérieure que les passions ne peuvent troubler. A l'extrême de la libération des passions par la connaissance de la vérité, qui est la compréhension intuitive que tout ce qui existe est en réalité Dieu, c'est-à-dire la nature, le bonheur devient parfait et prend le nom de béatitude, c'est-à-dire joie vécue avec un sentiment d'éternité

La Politique est un livre du philosophe grec Aristote. Il y analyse les affaires humaines en tant qu'elles se déroulent dans la Cité. Dans l’extrait étudié, Aristote affirme sa thèse en disant que c’est dans la nature de l’homme de vivre politiquement « l’homme est par nature un animal politique ». Par nature, Aristote sous-entend que l’être humain est prédestiné à être un animal politique, qui vit en société et l’organise. Cela renvoie a plusieurs interrogations qui toutes mettent en cause