La Cohabitation Vue Par François Mitterrand

Si l’on met de coté l’élection présidentielle au SU indirect de 1958, 8 élections présidentielles se sont déroulées depuis 1962. L’élection des 5 et 19 décembre 1965 – lors de cette élections, le Général de Gaulle est mis en ballotage face à François Mitterrand (candidat unique de la gauche). C’est une surprise générale. En effet, le Général de Gaulle n’avait pratiquement pas fait de campagne électorale, certain de sa légitimité et de son influence auprès des français. Dès lors, au 2nd tour, il s’est

François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac (Charente) et mort le 8 janvier 1996 à Paris, est un homme d'État français. Fonctionnaire sous le Régime de Vichy, puis résistant, il est onze fois ministre sous la IVe République. Opposé au retour du général de Gaulle, il affronte celui-ci au second tour de l'élection présidentielle de 1965, qu'il perd. Il devient premier secrétaire du jeune Parti socialiste en 1971. Candidat de l'Union de la gauche à la présidentielle de 1974, il est battu

pouvoirs entre l’exécutif et le législatif. Jusque-là, on peut très bien considérer qu’il y a eu confusion des pouvoirs au profit du législatif, et que l’exécutif était faible car il était dans les mains du législatif, c’est d’ailleurs le point de vue de Michel Debré ou DG. DG veut mettre fin à la domination du parlement qui n’est pas le régime parlementaire. * La responsabilité du parlement devant le gouvernement * L’organisation de l’indépendance de l’autorité judiciaire : idée de Debré

en application de la politique présidentielle et à la supervision de l’administration. Il ne fait que « seconder » le Président qui est le seul à « détenir l’autorité de l’Etat ». Cette vision présidentialiste des institutions fut reprise par F. Mitterrand. Accusant son Premier ministre de « lèse-majesté », il le congédia en le contraignant à lui présenter sa démission. Même subordonnée, la fonction de Premier ministre ne saurait se résoudre à un celle d’un simple amortisseur conjoncturel. Comme de

devant le peuple: Georges Pompidou (1972), François Mitterrand (1988 et 1992), Jacques Chirac (2000, ici le référendum est constituant, art. 89 C), et de nouveau Jacques Chirac (2005, référendum législatif). Cet abandon de la pratique du référendum personnalisé témoigne ici du déclin de la responsabilité politique du président devant le peuple. Du reste, en 2005, Jacques Chirac a entendu « dépersonnaliser» le référendum du 29 mai (votation populaire en vue d'autoriser le président à ratifier le Traité

«  La cohabitation au sein de l’exécutif » Introduction « Nous cohabiterons dans le même pays, désireux de préserver le tissu national commun, mais il y aura deux politiques pour la France : la sienne et la nôtre, et elles ne pourront êtres confondus » Mitterrand. En disant cela , Mitterrand présente et introduit la cohabitation. Ainsi il induit deux aspect de la cohabitation, un exécutif divisé ainsi que des idéaux politiques internes différents et inconciliable. En cela, le sujet « La

présentation par celui si de la démission du gouvernement, il a le pouvoir d'organiser un référendum sur proposition du gouvernement ou conjointe aux deux assemblées. Il peut aussi dissoudre l'Assemblée Nationale, ce pouvoir est souvent utilisé en cas de cohabitation. Et dans certaines circonstances comme l'atteinte à l'intégrité nationale ou interruption du fonctionnement des pouvoirs publics il peut endosser les pleins pouvoirs. Certains pouvoirs sont soumis a un accord ministériel tel que la nomination

François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac (Charente) et mort le 8 janvier 1996 à Paris, était un homme d'État français, 4e président de la Ve République et 21e président de la République française du 21 mai 1981 au 17 mai 1995. Il détient le record de longévité (14 ans) à la présidence de la République française. En mars 1959, il est élu maire de Château-Chinon (il le reste jusqu'à mai 1981), et un mois plus tard sénateur de la Nièvre. Il s'inscrit au groupe de la Gauche démocratique

Président ». Si les résultats des élections législatives vont de paire avec le souhait du Président, ce dernier dispose de pouvoirs réels. Sa prépondérance est certaine car elle correspond à sa qualité d'élu national. Cependant, en période de cohabitation le chef de l'Etat, n'ayant pas le soutien de la majorité parlementaire – ou du moins cantonnée, celui-ci doit alors s'effacer devant cette majorité législative et son premier ministre. Ainsi c'est ce dernier qui, par la force des textes constitutionnel

Rassemblement pour la République ) en 1976. Fondateur de l'UMP ( Union pour un Mouvement Populaire ) en 2002. Maire de Paris entre 1977 et 1995. Premier ministre de VGE entre 1974 et 1976. Premiére cohabitation entre 1986 et 1988. Elue le 17 mais 1995. Cohabitation avec Lionel Jospin entre 1997 et 2002. 1981 : première candidature à l'élection présidentielleIl annonce finalement sa candidature le 3 février 1981 en se présentant comme le seul légitime à pouvoir se poser