La Colere Argumentatif

crainte. La démarche persuasive s’appui souvent sur les registres pathétique et lyriques propres à toucher le destinataire, ou sur le comique, propre a éveiller sa complicité. Pour influencer son lecteur ou son auditeur, l’énonciateur du discours argumentatif peut associer l’art de convaincre et l’art de persuader. c. Délibérer : consiste à discuter sur un thème afin de se forger une opinion ou d’aboutir à une décision. Cette confortation de points de vue peut-être individuelle ou collective, intérieure

| |Texte étudié, extrait de |Le loup et l'agneau est une fable des fables de la fontaine. | |quelle œuvre ? Eléments à |Une fable est un texte du genre argumentatif. | |connaître sur cette œuvre ? |

l’emploi des impératifs (« cessez dorénavant, pensers irrésolus »), ou encore grâce aux nombreux pronoms personnels de la 1 P du singulier (« ma vengeance », « mon âme », « me », « je »….) La délibération est un type particulier de discours argumentatif. Or ce monologue a toutes les caractéristiques de l’argumentation, et en particulier du dilemme (expression d’une alternative dont les issues sont en tous les cas dommageables au personnage). Médée doit choisir entre la réalisation de sa vengeance

dramatique, lyrique, pathétique, épique, oratoire, ironique, satirique, polémique. Définir le type ou discours du texte. Discours narratif, descriptif, argumentatif, explicatif, délibératif. Définir l’effet produit sur le destinataire du texte. Emotion, tristesse, colère, adhésion au texte s’il s’agit d’un texte argumentatif. b) Après avoir fait ce tableau, faites une dernière chose : - IDENTIFIER LE COURANT LITTERAIRE OU MOUVEMENT LITTERAIRE : vous pouvez garder l’information

modalisation Sentiments du condamné Visée du texte Pourquoi le condamné écritil ? Victor Hugo le 19ème siècle Le dernier jour d’un condamné 1829 Roman à thèse Récit à la première personne. Ressemblance limitée avec un journal intime Narratif et argumentatif Un condamné à mort 49 chapitres Bicêtre—La conciergerie—l’Hôtel de Ville Pronom personnel « je », adjectifs possessifs « ma… »… L’abolition de la peine de mort Le pathétique—Le tragique—Le lyrique Jeune, sain et fort Marié et père d’une fille de

siècle Titre de l’œuvre Le dernier jour d’un condamné Date de parution 1829 Genre Roman à thèse Forme narrative apparentée Récit à la première personne. Ressemblance limitée avec un journal intime Type de texte Narratif et argumentatif Le narrateur Un condamné à mort Nombre de chapitre 49 chapitres Lieux de séjour du condamné Bicêtre—La conciergerie—l’Hôtel de Ville Indices de l’énonciation Pronom personnel « je », adjectifs possessifs « ma… »… Thèse défendue

identiques ou même antithétiques. EXPLICATION Axe de lecture n°1 : Un conflit argumentatif : dialogue conflictuel A1- Les deux camps en présence : Dora/Annekov et Stepan. - Registre polémique : l.1 « niaiseries », l.20-21 « Ne comprenez-vous donc rien ? », l.25 « N’êtes-vous donc pas des hommes ? ». A2 – Crescendo dans l’affrontement entre les deux camps. Les didascalies qui s’intensifient le long du texte : l.13, « avec colère. » ;  l.16 « se levant. » ; l.32, « violemment.». La tension augmente entre

modalisation Sentiments du condamné Visée du texte Pourquoi le condamné écritil ? Victor Hugo le 19ème siècle Le dernier jour d’un condamné 1829 Roman à thèse Récit à la première personne. Ressemblance limitée avec un journal intime Narratif et argumentatif Un condamné à mort 49 chapitres Bicêtre—La conciergerie—l’Hôtel de ville Pronom personnel « je », adjectifs possessifs « ma… »… L’abolition de la peine de mort Le pathétique—Le tragique—Le lyrique Jeune, sain et fort Marié et père d’une fille de

l’homme en société qui s’appuie sur les différences de condition, de caractère et de comportement. Texte C. Bérénice est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine. L’extrait présenté est un texte argumentatif au registre polémique. Texte D. C’est un texte argumentatif au registre tragique. Le registre tragique présente des personnages hors du commun aux destins marqués par la fatalité. Il dépasse ainsi le registre dramatique en montrant une situation sans issue qui repose sur l’intervention

n'était pas inquiet. 3. Quand bien même je serais allée souvent à la piscine, je n'aurais jamais apprécié d'avoir la tête sous l'eau. 4. Son histoire me paraissait invraisemblable, mais j'ai fini par la croire. 5. Malgré sa gentillesse, il piquait des colères effroyables. 6. Les propos de ma cliente me paraissaient surprenants, j'en pris tout de même note. 7. Tout en sachant que je n'aimais pas lire, il me mit Harry Potter dans les mains. 8. Nous avons modifié le planning de sa journée sans qu'il s'en