La Collégialité Dans La Procédure Pénale

les juridictions de l’ordre judiciaires on distingue : les juridictions civiles : elles sont compétentes pour réparer les préjudices causés à autrui. La réparation intervient le plus souvent sous forme de dommage et intérêt. Les juridictions pénales  qui traitent les affaires dans lesquelles l’ordre social a été troublé. Elles sont chargées de punir les personnes qui ont commis une infraction en leur infligeant une peine (amende, prison). Les juridictions d’ordre administratifs : sont compétents

du système judiciaire français En France, la justice est un service public → il est interdit de se faire justice à soi même. 3 caractères : > Egalité entre tous les justiciables > Gratuité du service public (≠ honoraires d’avocat) > Collégialité : la justice est rendue par un collectif de magistrats II/ Le système judiciaire français Déf. : Un ordre de juridiction est un ensemble hiérarchisé de juridictions. L’expression juridiction regroupe les tribunaux, les conseils et les cours

 Procédure pénale La procédure pénale est la mise en œuvre concrète du droit pénal par la recherche des auteurs de l’infraction et leur jugement. La procédure pénale constitue le trait d’union entre l’infraction et la peine, le procès pénal s’intercale entre les deux. La procédure pénale permet un arrêt de l’affaire dès après la plainte lorsque le Procureur de la République, classe sans suite la plainte. Un arrêt de l’affaire est possible après instruction lorsque le juge d’instruction décide

judiciaires . I – HISTORIQUE DU SYSTEME JUDICIAIRE MAROCAINE 1 - L’époque d’avant le Protectorat : Le système judiciaire marocain se distinguait par l’application de la CHARIAA par un CADI nommé par le SULTAN. Les procédures judiciaires étaient simples et le domaine d’intervention du cadi était très large et englobait toutes les différentes sortes de litiges. 2 - L’étape du Protectorat : Cette étape a commencé à la veille du protectorat, période pendant laquelle

qui statuera à juge unique), ce juge pourra délivrer la force exécutoire qui manquée à la décision des arbitres. Cette formalité qui peut être demandé → procédure execuatur. Le TGI ne rejuge pas l'affaire (il ne vas pas connaître les faits, prononcer la règle de droit etc …) il va simplement vérifier que la sentence a été rendu selon une procédure régulière. Si c'est le cas → deviendra un véritable jugement doté de tous ses attributs (autorité de la chose jugée et force exécutoire). L'arbitrage est

saint Omer (pas de calais) le 4 mai 2004 puis par un procès en appel à paris en novembre 2005 à suscite une profonde remise en cause de la procédure judiciaire française .les pouvoir important du juge d’instruction , le non-respect de la présomption d’innocence , le recours a l’emprisonnement préventif y on été dénoncé .L’affaire d’Outreau est une affaire pénal d’agression sexuelle sur mineur concernant des faits qui se sont déroulé en 1997 et 2000 l’affaire a débouché sur l’acquittement de la plus

jugements. La procédure judiciaire. Le déroulement de l’instance : La procédure : La procédure judiciaire mène au règlement d'un confit ; pour entamer une procédure judiciaire, il faut déterminer la nature du confit : la justice civile règle des confits entre particuliers. La justice pénale règle des confits qui impliquent une infraction à la loi pénale (contravention, délit ou crime). La justice administrative règle des confits qui impliquent les administrations La procédure : La procédure marocaine

décembre 1789. Une part des attributions de l’intendant sera transférée à des organes décentralisés qui acquièrent une certaine autonomie. Aux principes anciens: nomination, confusion et unicité se substituent les nouveaux : élection, séparation, collégialité. - Principe électif : les agents administratifs sont désormais élus ; ce principe est nouveau, essentiel pour le droit public révolutionnaire, il respecte et exprime la souveraineté nationale. Le citoyen participe de deux manières à la fonction

THEME 2 : A qui est confié le pouvoir d’élaborer la règle de droit ? → Chapitre 1 : Les règles de droit international. Droit international public. Droit international privé. Traité international. Ratification, transposition, publication. Cour Pénale Internationale. Cour Internationale de Justice. → Chapitre 2 : Les règles de droit communautaire. Traités communautaires. Institutions communautaires (Parlement européen, Conseil des ministres, Commission européenne, CJCE, TPICE, BCE, Conseil européen)

et de mettre en place des institutions spéciales pour faire connaître la responsabilité pénale des ministres. La loi constitutionnelle du 27 juillet 1993 et la loi organique du 23 novembre 1993 créer et organise le fonctionement de ka Cour de justice de la République. Cette cour a été mise en place suite au échecs de la Haute Cour de justice et sont à l'origine d'une large réflexion sur la responsabilité pénale et des ministres et la création de la Cour de justice. Des scandales politiques ont éclatés