La Colonie pénitentiaire

L’essentiel du contenu de ce texte repose sur l’histoire des colonies pénitentiaires pour enfants. Dans ce texte, c’est l’époque du XXème siècle qui est concerné. Concernant le lieu, il s’agit ici de Belle-Ile. EXERCICE N°3 : Sélection d’idées dans un document 1. Le rapport éducation-répression a quelque peu évolué avec l’histoire et avec le temps. Ainsi en 1860, le châtiment et l’enfermement dans les colonies pénitentiaires publiques sont requis afin de punir les enfants délinquants

pourquoi lorsqu’ils commettent des infractions ils sont envoyés dans des colonies pénitentiaires. Le but de ces placements est d’exclure et punir ces adolescents. S’ils ne sont pas assez disciplinés, ils sont envoyés dans des sections de l’armée prévues à cet effet. Ce phénomène s’accentue jusqu’à la fin du XIXème siècle. Ce n’est qu’en 1912 qu’une loi met en place le premier tribunal pour enfants. Bien que les colonies pénitentiaires existent toujours, l’éducation et la protection des enfants sont une

le même exercice pour le document 2 : Le document 2, le texte le Jacques BOURQUIN est un article de presse, plus précisément du journal « le monde diplomatique » et son type est argumentatif. Le propos directeur de ce texte est, les camps pénitentiaires pour les adolescents. Dans l’ancien temps, ces cas étaient bien vu, mais au fur et à mesure que le temps avançait, les camps sont devenus de réels soucies, et tout le monde voulaient leurs fermetures. 2.3 : vous ferez le même exercice pour le

France en 2006. Troisième Partie : Sélection d’idées dans un document : Avant le XIXème, un jeune délinquant était vu comme un « innocent coupable », on avait des projets d’éducation pour eux. A partir de 1860, l’Etat créé et construit des colonies pénitentiaires publiques en nombre. Pour les jeunes délinquants se sera enfermement et dressage, les dortoirs sont remplacés par des compartiments grillagés. Le travail n’est plus une option, il fait partie intégrante de la peine. Au début du XXème siècle

sont tous considérés comme mauvais dès leurs naissances et qu’ils nécessitent châtiments et soumission comme éducation pour les punir. On y apprend aussi que l’Etat, dans un souci de soumission, construit des prisons pour enfant, appelés colonies pénitentiaires publiques, où ils continuent les châtiments. Le journaliste n’évoque ensuite pas une année en particulier au début de son second paragraphe mais une période de l’histoire ; la fin de XIXème siècle et le début du XXème siècle, où la IIIe République

directeur est le sujet du film Les Vauriens sur la chaîne France 3, il traite du sujet des colonies pénitentiaires de Belle-Ile en se plaçant du point de vue de deux enfants. 3. Sélection d’idées dans un document (14 points) Dans le document 2, le rapport répression-éducation débute en 1860 lorsque la répression prend le pas sur l’éducation, en effet, c’est la création des premières colonies pénitentiaires, véritables prisons pour mineures, qui soumettent l’enfant par le travail. Puis fin du

plupart des systèmes judiciaires, tant occidentaux que non-européens (par exemple, le droit égyptien) appliquent des procédures judiciaires particulières pour traiter les délits des jeunes. Dans le système pénal français ce sont l'Établissement pénitentiaire pour mineurs ou le Centre éducatif fermé. En France la responsabilité pénale est personnelle et n'a aucune limite d'âge, elle fait néanmoins appel à la notion de discernement. À partir de 10 ans, l'enfant peut faire l'objet de mesures éducatives

est le sujet du film Les Vauriens, retraçant à travers l’histoire de deux enfants les conditions de vie dans les colonies pénitentiaires pour enfants au XXème siècle, dont la tristement célèbre Belle-Ile. 3 Dans le document 2, le rapport répression-éducation débute en 1860 lorsque la répression prend le pas sur l’éducation, en effet, c’est la création des premières colonies pénitentiaires, véritables prisons pour mineures, qui soumettent l’enfant par le travail. Puis fin du XIXe siècle, début du XXe

s’agit de préserver l’ordre moral. Les « filles perdues » sont placées dans les institutions religieuses, les « refuges du Bon Pasteur », pour être rééduquées à grands coups de repentance et de pénitence. Les garçons sont, eux, enfermés dans les colonies agricoles pour devenir de bons paysans, loin des villes. On parle à cette période d’« innocents coupables » et on associe la guérison à la punition. Autour de 1840, les révoltes populaires se succèdent en pleine révolution industrielle. Des transformations

délinquants entre éducation et punition", le première importante étape du rapport éducation-répression est en 1860, quand l'image de l'enfant "innocent coupable" change pour celle d'un enfant criminel et complètement responsable de ses actes. Les colonies pénitentiaires publiques ont donc pour but d'enfermer, de punir et d'exclure encore plus ces enfants en difficulté qui n'étaient déjà pas bien inclus. Une politique plutôt radicale qui d'ailleurs n'aura aucun résultat puisque au changement de siècle aura