La Compassion

meilleur des cas, de trouver un sens à sa souffrance et donc d'en faire quelque chose. Accompagner, c'est donc offrir une présence, et c'est surtout basé sur l'écoute. Ecoute centrée sur l'autre, qui nécessite une disponibilité intérieure et une compassion réelle. Est-ce que tu pourrais expliquer ce qu'est l'écoute, qu'est-ce qu'écouter ? Ecouter, c'est se mettre à disposition de l'autre, dans ce qu'on appelle une neutralité bienveillante, en évitant tout jugement préalable, toute classification

roseau et se compare à lui pour l'écraser encore plus (« Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr »), la césure à l'hémistiche accentue encore plus l'opposition de ces arbres. Il essaie même de l'aider, de le protéger mais malheureusement cette « compassion » n'est en fait qu'un beau manège menait par le grand arbre pour se moquer encore plus du roseau. Du point de vue du chêne, le roseau est une erreur de la nature, se donnant des droits qu'il se donne par sa grandeur, il juge son compère avec méchanceté

est d’un honnête homme D’être touché de compassion pour Ceux quis ont affligés sans l’avoir mérité : et tout de même, D’avoir dépit et être indigné de voir dans la prospérité et en honneur des personnes qui ne le méritent pas. La raison est, Que tout ce qui arrive sans qu’on l’ait mérité, soit bien, soit mal, est une chose injuste et qui choque ». Comme souvent, on trouve aussi, liée à l’indignation, le pathos concomitant de la pitié, de la compassion pour celui que l’orateur désigne comme la

deviendra | marié, riche, attentif au sort de Colin... | Isis est | riche, intelligente, capable de compassion... | Isis aime | les hommes du peuple, l'amitié... | Isis n'aime pas | rien car tout l'indiffère | Isis deviendra | mariée, attentive au sort de Colin... | Partre est | philosophe, cabotin, incapable de compassion... | Partre aime | les honneurs, rire du malheur des autres... | Partre n'aime pas | rien car

va entamer une réflexion à ce sujet. Ils vont s’approprier la publicité touchés, pris d’un sentiment de compassion. Leur réaction va mettre en cause leurs ressenti et leurs expériences personnelles. Pour conclure, nous pouvons dire que pour défendre un cause par la publicité, les annonceurs attaquent le bien être intérieur des personnes les faisant passer de la culpabilisation à la compassion.

Les bons sentiments Au premier abord, les bons sentiments d’Eugène de Rastignac restent présents dans sa quête d’ascension sociale. La compassion face au père Goriot est un premier exemple de bons sentiments observables chez le personnage du jeune étudiant. Lorsqu’il apprend la situation familiale de son voisin le vermicellier, Eugène est très sensible à la façon dont celui-ci s’est fait renier par ses filles tant chéries : « Quelques larmes roulèrent dans les yeux d’Eugène, récemment rafraîchi

diffamation, supercherie et tromperie »; les tribunaux avalant des preuves « fabriquées », « frauduleusement conçues » par la police et la Couronne pour le faire condamner; les critiques qui, craignant que les meurtres par compassion ne laissent la définition de la compassion dans l'esprit du meurtrier, ne sont que des « parasites » « régurgitant » de fausses informations relayées par des pouvoirs juridiques uniquement déterminés à remporter une cause historique. Pour Latimer, l'affaire n'est

*multiplication des impératifs = confiance en son pouvoir B- Une lutte du Roi pour la vie *supplications (lorsqu’il donne ses ordres) *cette lutte pour la vie suscite chez le lecteur sympathie et compassion pour le Roi Réactions infantiles et tyranniques du Roi, pouvant toutefois susciter notre compassion III-Une scène jouée en guignol tragique A- Aspect burlesque *Parole mécanique, superficielle .Confusions-répétitions *chutes du Roi  aspect comique *le roi marionnette (de Marie) : se

vue sur la pitié mais aussi sur la sympathie et compassion. La pitié est un sentiment que l’on éprouve devant une personne en situation de souffrance, mais sans ressentir cette souffrance, uniquement en la comprenant, d’où la traduction latine du mot pitié, « misericordia ».On peut également avoir de la compassion pour quelqu’un, sans en avoir pitié, et sans être dans la même situation que cette personne, que l’on connaît ou non.Avec la compassion, on peut comprendre ce que cette personne éprouve

ses patients ont changé son regard et son ressentie sur la mort. Aujourd’hui, elle n’a plus peur d’affronter ce moment, au contraire, elle est heureuse d’assister les malades dans leurs derniers instants de vie, qu’elle s’efforce d’adoucir par sa compassion, sa franchise et par son immense tendresse. Son intérêt pour la mort remonte à son enfance. Née après la guerre, ses parents l’ont surprotégé dans un climat d’angoisse. Avec sa grand-mère, elle a entretenu une relation quotidienne avec les membres