La Conception Rationaliste

21 21 21 22 Le béton des architectes 23 La maison Dom-ino : une rupture Un imaginaire très libre Intégration à la doctrine du rationalisme constructif Le béton armé au service des monuments historiques La scénographie structurelle de l’école rationaliste : Émile Dubuisson et François le Cœur Auguste Perret (1874-1954) entrepreneur et architecte L’ossature comme expression esthétique La mise en scène de la structure Le modèle des silos Henri Sauvage rue de Trétaigne Un principe qui se développe

bâtiment ne doit pas avoir une signification trop claire, sans quoi les gens sont enfermés dans une interprétation qui n'est pas la leur. Une bonne architecture doit répondre à tout. (Polysémie) venustas. C'est les prémices de l'architecture rationaliste (Sullivan, form follows fonctions). Cependant, Vitruve oublie l'aspect pérenne de l'architecture (dans le temps) et fait abstraction du contexte géographique. En fait l'architecture qu'il propose est contextuelle historiquement (bien à une époque)

échange d'un salaire de subsistance et de l'espoir de grimper à l'échelle sociale. le contexte intellectuel est favorable au développement des sciences exactes (elles vont sauver le monde) et à la croyance dans l'efficacité absolue des modèles rationalistes et du progrès technique .Les fondements de la pensée classique sont basé ssur 3 notions : Une approche empirique et normative Des hypothèses implicites Des principes d'organisation L'approche empirique est issue de pratiques professionnelles

défense de la liberté de conscience qu’illustrent Lessing ou Voltaire, notamment au moment de l’affaire Calas. Synthèse → Au siècle des lumières, les philosophes se sont démarqués par leur esprit cartésien, rationaliste, critiquant la religion par refus du principe d’autorité, qui régit la croyance, au nom de la raison, autonome dans ses jugements. Les philosophes croient en Dieu tout en rejetant la théologie chrétienne, les dogmes et l'institution. Ils attaquent

l’économie. On ne peut nier de ce point de vue le lien étroit entre mathématiques et science économique. Depuis les physiocrates, école de pensée économique fondée par François Quesnay, l’usage des modèles mathématiques a été réaffirmé. Walras, rationaliste pur ou cartésien a lui aussi souhaité fonder la science économique comme science naturelle, en construisant un modèle réglé par la force et la rigueur des mathématiques. Afin de tirer des lois générales des données de plus en plus nombreuses que

philosophie empiriste dont les études sont d’ordre qualitatif situées de préférences au niveau microsociologiques6 » et d’autre part, le mode d’investigation propre à l’économie (reposant sur la statistique) « science déductive fondée sur une philosophie rationaliste dont les études sont d’ordre quantitatif situées de préférence au niveau macroéconomique 6». La démarche anthropologique apparaît donc plus adaptée aux besoins de terrain pour procéder dans un premier temps à une analyse qualitative préalable,

en tempérer les effets ou la faire évoluer si, comme dit Aristote, "elle se montre insuffisante en raison de son caractère générale". Si l'on s'interroge sur ce en quoi consiste l'exercice de la justice, il est possible d'opposer deux conceptions; celle rationaliste selon laquelle la justice reposerait sur la raison, et celle émotionnelle, selon laquelle la justice serait ancrée dans le sentiment. Se demander si la justice peut relever du sentiment amène donc à se demander si les notions d'égalité

systématiser. Mais il a fallu attendre le 18ème siècle pour une rationalisation des sciences. Le siècle des Lumières a séparé a priori et a posteriori, préconception et expérimentation. La procédure scientifique date donc de ces premiers philosophes rationalistes qui préféraient une réalité tangible et universelle aux préjugés existants. Au 18ème siècle, la science devient donc un domaine indépendant de toute morale et autre considération d'ordre subjectif. "Science sans conscience n'est que ruine de

science conduit à faire disparaître des explications de types magiques, mythiques, religieux et surnaturels. b) Le modèle mécaniste du vivant : 1°- Définition du modèle mécaniste : Le mécanisme vient du grec « Mêtané » Il désigne toutes conception selon laquelle l’univers est entièrement explicable en terme de processus mécanique. Le mécanisme cherche à démontrer que l’univers est un vaste système de mouvement matériel soumis à des lois. Les phénomènes de la nature ne sont pas réglés par

des parents, elles sont exactement décrites par ces quatre verbes. L'objet de cette première partie est bien de dénoncer le caractère puéril d'un telle attitude concernant des phénomènes naturels ("nigaud"). Pour le rationaliste ALAIN, ce n'est là que survivance de conceptions animistes propres à l'enfance de l'humanité et qui se retrouvent dans certaines pratiques religieuses. L'animisme consiste en effet dans la conviction que les êtres naturels qui nous dominent sont dotés d'une âme et donc