La Conception Rationaliste

D'AUTANT QUE CES EXPRESSIONSS CORRESPONDENT A 2 MOMENTS A LA FOIS CONSECUTFIS ET INDISPENSABLE DU MEM PROCESSUS D'ELABORATION DU JUGEMENT . A] Avoir des opinions : être capable de dire, de formuler un jugement. Dire sa conception suppose avoir sa conception. L'élaboration de cette conception peut être un travail de pensée. On confond souvent le produit fini (opinion) et l'instrument (penser). A l'inverse si penser c'est comparer, examiner afin de comprendre, mettre en ordre, qu'à partir de matériaux qui

volonté de dénoncer les préjugés et par sa volonté de défendre la raison face à l’obscurantisme. Jean Le Rond D’Alembert (1717-1783) est un philosophe rationaliste, physicien et mathématicien français, principal auteur, avec Denis Diderot, de l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers (1751-1772). I)- La conception de l’Encyclopédie Il manquait à la France un dictionnaire moderne ; en 1745, le libraire Le Breton eu l’idée de publier une traduction de la Cyclopædia

LE BONHEUR COMME PRINCIPE ET FINALITE DE L’EXISTENCE HUMAINE L’universel constat que nous faisons aujourd’hui est que tous accourent vers un état de mieux-être. En effet, de même que le philosophe rationaliste DESCARTES l’avait affirmé à propos de la raison, à savoir qu’elle est la chose du monde la mieux partagée, nous affirmons que le bonheur est la chose la plus partagée et convoitée. Cette pertinence idéologique est d’autant plus fondée dans la perspective où la satisfaction, la plénitude

des objet, mais bien ses caractéristiques changeantes et éphémères. L'essence d'un corps, par oppositions aux informations variables que nous en donnent les sens, serait donc ce qui subsiste dudit objet, dans n'importe quelle situation, soit la conception abstraite de cet objet, qui exclut toute image sensible. La définition de l'essence d'un objet comme étant les éléments immuable de celui-ci, devrait donc pousser les hommes a se méfier de leurs sens, et donc à rejeter l'idée d'une connaissance

chose, ce n’est pas se tromper, ce n’est pas cela l’erreur. L’erreur vient de la volonté lorsque qu’elle décide et lorsqu’elle affirme quelque chose qu’elle tient pour vrai, alors même que l’entendement ne l'a pas encore conçu comme tel. Cette conception cartésienne de l’erreur a une dimension morale assez facile à percevoir. En effet, si notre volonté est libre, et si c’est la volonté qui se trompe, alors nous sommes évidemment responsables de nos erreurs. D’une certaine manière, ici, l’erreur

Une liberté individuelle qui se termine là où celle d’un autre individu débute est difficile à percevoir pour les rationalistes du 17e siècle. Une pensée rationnelle, où tout être humain à la faculté d’agir librement autant que Dieu, vient remettre en question le philosophe rationnel, Baruch Spinoza (1632-1677), qui s’écartera alors des pensées déterministes, comme la doctrine de Descartes. Avec son œuvre majeur, l’Éthique, Spinoza tente d’accommoder une liberté tenant compte du déterminisme naturel

de finalement acquérir des certitudes, donc des connaissances nécessaires et universelles. Leibniz, s'inscrivant dans le même courant de pensée rationaliste, propose d'étendre le concept d'idées innées en faisant intervenir plus que celle de Dieu, des idées comme la recherche du bonheur. Nous voyons bien à travers ces thèses idéalistes et rationalistes comment il faudrait trouver un moyen externe au sensible, un moyen qui soit doté d'une force de jugement extérieur au monde tel que nous le voyons

Caractère coercitif § 2. Délimitation de la règle de droit A. 1. a. b. Le droit et la morale Les divergences doctrinales Thèses de la séparation entre droit et morale Thèses de l’union entre droit et morale 1 2. a. b. c. B. 1. Opinion dominante Conception de la morale Autonomie de la morale La morale et le droit positif Le droit et la justice Les définitions de la justice a. Justice des moralistes et justice des juristes b. Justice commutative et justice distributive (1) Notions (2) Applications

découverte de nouvelles techniques, à des inventions de toutes sortes, à l'amélioration de la médecine et à l'adoption d'une meilleure alimentation. Cette atmosphère de progrès matériels modifia profondément les valeurs de la société. Les philosophes rationalistes et les écrivains de premier plan se rendirent indépendants de la royauté et de l’Église; de grands seigneurs pactisèrent avec les représentants des idées nouvelles et n’hésitèrent pas à les protéger contre la police associée aux forces conservatrices

calomnieux, haines longuement nourries, amours honteuses, crimes calculées de l’avarice et de la haine »(p 160), tout cela qui se « reformait en elle »(p 160) à mesure que « la révélation surhumaine » se mettait à jouer, pesa sur Mouchette dès sa conception et infléchit sa vie tout entière. Ainsi, ce n’est plus l’histoire d’un pécheur qui nous est raconté mais plus largement l’histoire d’un fleuve impur. Cela engendre chez le personnage le sentiment d’une prédestination tragique. 2. La condition