La Confusion des sentiments

Dans cette situation, le conflit permet de montrer la confusion du personnage qui amène le spectateur à ressentir des sentiments tel que la pitié ou de la compassion. Et comme ce genre de situation peut arriver à tout le monde, on assiste alors à une identification entre le spectateur et le personnage. De plus, le conflit permet de faire exploser les sentiments des personnages tout en incitant les spectateurs à transférer leurs propres sentiments sur les personnages c'est-à-dire en se disant qu'ils

mondiale, la Russie est une monarchie absolue dirigée par le tsar Nicolas II. Société rurale et pauvre ne tentant aucune modernisation ce qui provoque des agitations. *Révolutions russes de 1917 • Les défaites militaires russes entraînent un sentiment d’humiliation et de désorganisation de l’état. • Abdication de Nicolas II en février 1917 suite aux émeutes. • Un double pouvoir remplace le tsarisme ( Gouvernement républicain provisoire officiel dirigé par Kerensky et les soviets (conseils

cette drogue sont une légère euphorie accompagnée d'un sentiment d'apaisement, légère somnolence. Mais elle peut entraîner aussi parfois un malaise, une intoxication aigüe ("bad trip") qui peut se traduire par des tremblements, des vomissements, une impression de confusion, d'étouffement, une angoisse très forte. La cocaïne : Psychostimulant qui peut provoquer une forte dépendance. L’usage de cocaïne provoque une euphorie immédiate, un sentiment de toute-puissance intellectuelle et physique et une

s’expliquent et se racontent. (…) Le monde des héros de roman vit, si j’ose dire dans une autre étoile, - étoile où les êtres humains s’expliquent, se confient, s’analysent la plume à la main, recherchent les scènes au lieu de les éviter, cernent leurs sentiments confus et indistincts d’un trait appuyé, les isolent de l’immense contexte vivant et les observent au microscope. » On parle ici d’un cas particulier du roman : celui où le narrateur est intérieur à l’histoire, un narrateur personnage. Mais François

question oratoire à la ligne 19 « Comment m’y prendre », décrit la confusion du roi. Il ne peut que se sentir seul, il va mourir seul. De même, le roi essaie de susciter la compassion et attirer la pitié de son auditoire en disant : « Qu’on ne les empêche pas de pleurer, de hurler, d’avoir pitié du roi, du jeune roi, du pauvre petit roi, du vieux roi » (l. 53-54-55). On remarque l’épiphore « roi » qui souligne la confusion du roi comme s’il radotait et ressassait. Il est prêt, à faire mourir

international et patrimonial. En effet, l’identité personnelle se construit au croisement entre international et local, et s’illustre autour d’un paradoxe : la composition des équipes avec des joueurs étrangers ne change rien à l’attachement, au sentiment d’appartenance à « son » équipe. Exemple : L’intervention officielle par JM Le Pen En critiquant la composition de l’équipe de France de football par des joueurs essentiellement d’origine non Hexagonale, le leader Front National fait l’expérience

deuil au quotidien A quoi s’attendre au cours du deuil ? Le deuil résume la peine, la douleur, l’absence. Cela affecte multiples niveaux Nécessité de faire face en connaissance de cause L’impact émotionnel Tout d’abord la peur, la colère, la confusion, la culpabilité, la détresse et la dépression ; Au cours du processus du deuil intensité qui peut parfois effrayer Modification du lien à la personne perdue se modifie Comment le conserver sainement ? L’impact psychologique Le corps inévitablement

extérieur passe obligatoirement par l'analyse des représentations2 que nous en avons). Par les mots nous pouvons mettre de l'ordre dans la multiplicité et la confusion de nos états psychiques, distinguer, par exemple, ce qui dans nos représentations est de l'ordre de la perception et qui ne vient pas de nous, et ce qui est de l'ordre du sentiment et qui vient de nous. Le mot marque nos pensées de la “forme externe” (l. 3) car le mot n'appartient pas uniquement à notre intériorité. Le mot, et plus explicitement

Jeanne imaginait passer une vie heureuse en sortant du couvent Perdues : Son mari est brutal et la trompe Illusions : Durtal imagine qu'il va passer une soirée agréable en compagnie de sa maîtresse. Perdues : sa maîtresse est glaciale. Sentiments Plaisir Confusion Déplaisir (honte ?) Parfois, volonté de s'en sortir Découragement, fatigue, solitude, ennui Quiétude et sérénité Amour violent Ennui et inquiétude 5) Rédiger la phrase introductive : Pour la question 1, la phrase doit présenter

deux quatrains qui se composent de deux rimes embrassées (ABBA – ABBA). Ils parlent de ce qu’elle ressent, de ce qu’elle éprouve en passant d’un extrême à l’autre (vivre, mourir – brûler, noyer) tant que sur le plan des émotions que sur celui des sentiments. On peut remarquer qu’ils exposent les symptômes d’un mal inquiétant qui met sa santé en péril : « je vis, je meurs ». On peut remarquer des états contradictoires et simultanés : On s’interroge sur la nature du mal. Le vers 9 du premier tercet