La Conscience Peut Elle Rendre Malheureux

dans un premier paragraphe que, en effet, ce peut être une bonne façon de procéder, puis dans une seconde partie nous remarquerons qu’elle a malgré tout des limites. Le détour par l’autre est un bon moyen de dénoncer les travers de sa propre société dans le sens ou l’auteur peut échapper aux diverses critiques auquel il pourrait faire face, l’autre peut également apporter de nouvelle idée et ce de plusieurs façon et enfin le lecteur peut saisir facilement un message donné.

voudrait rien dire, mais du bon augure, qui laisse espérer. La promesse du bonheur, c’est donc déjà un bonheur ! Le bienheureux est serein, il ne veut de mal à personne. L’homme malheureux, par contre, a de très bonnes raisons d’avoir la haine. Il sera moins enclin à avoir de la bonne volonté ! Ce simple constat peut suffire pour considérer que le bonheur est non seulement souhaitable, mais nécessaire à la paix sociale : rien de tel que le bonheur pour avoir de bonnes dispositions ! Ce devoir était

définissent les droits et les devoirs de chacun d'entre nous (comme le respect d'autrui). Chacun d'entre nous doit pouvoir exercer sa liberté à condition de rester dans ses limites. Nous savons donc que nous avons des devoirs envers autrui mais on peut s'interroger sur les devoirs que nous avons envers nous-mêmes. Le devoir apparaît comme une action à accomplir, il implique une conception morale. En effet nos actions ont une valeur morale: nous avons la volonté de bien agir, de faire bien. Le devoir

sur son bonheur. En effet, en déterminant son destin par rapport à lui-même et non plus par rapport aux autres, Nietzsche s’émancipe de la forme d’amour qui serait l’amitié par exemple qui veut qu’on dépende de quelqu’un, car cela ne peut que rendre malheureux : en restant trop en contact avec un autre Homme, on fait une indigestion, ce qui est la conséquence d’un amour trop gourmand de l’humanité 3 Cette phrase a évidemment une connotation négative, car on y trouve le mot « trop ». Il y a

la forme moderne on le considère comme tel. Cependant, dès la première lecture, n'apparaît-il pas comme autre chose qu'un poème, s'apparentant à la chanson de geste du Moyen Age parce que surtout fait pour être entendu et non pas lu ? • On peut même trouver de par la simplicité du vocabulaire et le rythme des liens avec les comptines pour enfants et les chansons des tout-petits. D'ailleurs de nombreux poèmes de Jacques Prévert sont appris dans les classes enfantines. I/ Une poésie

ligne : Analyse du sujet ` Le sentiment de libert´ semble inh´ rent a la conscience de l’homme. Il r´ sulterait ainsi du fait de poss´ der une repr´ sentation e e e e e ´ e ` intelligente de l’existence, qui a pour propri´ t´ d’analyser les causes des ev` nements et de montrer a l’homme de quelle facon la ee ¸ ` r´ alisation de certaines choses d´ pend de lui. Toutefois, a ce sentiment de libert´ s’oppose la conscience de la d´ termination, c’est-` e e e e a ` ` dire se donnent a penser tous les

de Pharnace. Mithridate ne trouve en Monime qu’une morne soumission. Croyant qu’elle est amoureuse de Pharnace, il charge Xipharès, en qui il a pleinement confiance, et dont rien ne trahit l’amour, de sonder le cœur de la jeune fille, et de le lui rendre favorable. Monime avoue son amour à Xipharès, mais lui demande de l’oublier, car elle veut rester fidèle au serment qui la lie à Mithridate. Acte III Mithridate, qui projette d'envahir I'ltalie du Nord pour combattre Rome, feint de laisser

problèmes exposés dans le nœud de la pièce. En principe, il est malheureux dans la tragédie. Les tragédies classiques → Cf. mythe, mythologie, catharsis, pathos. 1. La situation tragique Situation sans issue. Les personnages se comportent avec héroïsme en acceptant un destin fatal. Plusieurs entités sont derrière la fatalité : Intervention d’une divinité ou d’une puissance. Emprise d’une passion. Conscience, obligation morale. 2. Le héros tragique Grandeur d’âme

ne voudrait rien dire, mais du bon augure, qui laisse espérer. La promesse du bonheur, c’est donc déjà un bonheur ! Le bienheureux est serein, il ne veut de mal à personne. L’homme malheureux, par contre, a de très bonnes raisons d’avoir la haine. Il sera moins enclin à avoir de la bonne volonté ! Ce simple constat peut suffire pour considérer que le bonheur est non seulement souhaitable, mais nécessaire à la paix sociale : rien de tel que le bonheur pour avoir de bonnes dispositions ! Ce devoir était

conclusion ; il a tiré tous ses raisonnements de la constitution de l’homme civil : s’il fût remonté jusqu’à l’homme naturel, on peut juger qu’il eût trouvé des résultats très différents, qu’il eût aperçu que l’homme n’a guère de maux que ceux qu’il s’est donnés lui-même et que la nature eût été justifiée. Ce n’est pas sans peine que nous sommes parvenus à nous rendre si malheureux. Quand d’un côté l’on considère les immenses travaux des hommes, tant de sciences approfondies, tant d’arts inventés, tant