La Conscience Peut Elle Rendre Malheureux

national, réveillant les consciences des généreux sur ce problème, et entraînant une mobilisation des médias ... [pic] PAROLE : Moi, je file un rancard A ceux qui n'ont plus rien Sans idéologie, discours ou baratin On vous promettra pas Les toujours du grand soir Mais juste pour l'hiver A manger et à boire A tous les recalés de l'âge et du chômage Les privés du gâteau, les exclus du partage Si nous pensons à vous, c'est en fait égoïste Demain, nos noms, peut-être grossiront la liste

propos sur le bonheur » d’Alain, j’y ai trouvés de nombreux textes intéressants et des exemples que le philosophe emploie pour expliciter ses propos. Ces textes et ces exemples m’ont poussés à réfléchir sur ce qu'est le bonheur et m’ont amenés à me rendre compte que notre part de responsabilité dans le bonheur est plus grande qu'on ne veut le croire car nous pouvons créer le bonheur pour nous-mêmes et on comprend peu à peu combien nous sommes les auteurs de notre bonheur. Ainsi, ils répètent largement

philosophie : « Le bonheur, c'est de le chercher » tels étaient les mots de Jules Renard à propos de cette recherche. Car depuis toujours, il semble que l'homme soit à la quête du bonheur ! Car en effet, c'est le bonheur et lui seul qui pourrait nous rendre heureux. Ainsi l'on remarque que cette quête tant convoitée soit l'affaire de tous, cependant elle n'en demeure pas moins égoïste. Il est vrai que chaque individu recherche son propre bonheur et non celui de son voisin. Néanmoins, on remarque par

l’auteur de remonter à ses origines. Dans un premier temps, nous verrons que l’autobiographie nécessite effectivement une remontée aux origines, ensuite nous verrons que l’autobiographie peut être un moyen de dénonciation face à un événement vécu. Tout d’abord nous pouvons constater qu’une autobiographie peut être réalisée pour comprendre celui que nous sommes devenus, il paraît nécessaire pour cela de s’analyser et analyser celui que nous étions auparavant pour simplement comprendre comment et

les choses changent, que tout ce qui est présent s’évanouit dans le passé. Pourtant, le fait que les choses changent me permet également de grandir, de mûrir, de passer de la minorité à la majorité, de me perfectionner, et c’est grâce au temps qu’on peut acquérir des connaissances, de l’expérience et de la sagesse. D’ailleurs, quand on est jeune, on a même tendance à vouloir que le temps passe plus vite. D’une part, donc, "tout s’en va" parce que le temps détruit et emporte tout avec lui. D’autre part

de cet auteur pour la conduite de I'action, je n'ai pas laissé d'enrichir ma pièce de tout ce qui m'a paru plus éclatant dans la sienne. Quand je ne lui devrais que la seule idée du caractère de Phèdre, je pourrais dire que je lui dois ce que j'ai peut-être mis de plus raisonnable sur le théâtre.»   Il s'inspira en effet de ’’Hippolyte porte-couronne’’ (428 av. J.-C.), tragédie qui, comme son titre I'indique, est centrée sur Hippolyte. Ce jeune homme d'élite à l'éducation très soignée est un fervent

Objet d’étude 2 : Le personnage de roman, du XVIIe au XXe siècle (1ère partie) Oeuvre intégrale La Peste, d'Albert Camus (1947) Problématique : Comment le roman de Camus peut-il se lire suivant de multiples lectures, sans pour autant qu'elles s'excluent entre elles? LECTURES ANALYTIQUES Texte1 : Incipit du roman, pp. 11-12, du début à « le hasard des cartes. » Texte 2 : Début du prêche de Paneloux, pp.91-92: "Il avait une voix forte, passionnée..." à "...les ténèbres de la Peste". Texte 3 : le

5) Les thèmes traités : -L’amour familial : l’auteur explique qu’il reçoit beaucoup d’amour et de confiance de la part de ses parents. Il se dit malheureux de les quitter le dimanche soir pour aller au centre. «  L’avenir se limitait aux week-end ; nous rentrions alors chez nous pour retrouver nos parents. Pour moi, c’était la joie de vivre deux jours avec maman et papa et mon frère Franck. » Page 26 « Qu’il vive, qu’il vive, n’importe comment pourvu qu’il vive ! On le prendra comme il viendra

satisfaction global, et non une satisfaction partielle : on peut par exemple obtenir ce que l'on souhaite sur le plan professionnel et être pourtant malheureux parce que d'autres domaines de la vie comme la famille ou l'amour ne nous satisfont pas. Parler de « chasse au bonheur » est donc doublement problematique. D'abord au sens où c'est supposer que le bonheur peut s'attraper comme un gibier, et qu'il réside donc dans un bien extérieur que l'on peut s'approprier. Or, aucun bien extérieur ne suffit à assurer

Peut-on vouloir le mal ? Intro : la volonté est la faculté de se projeter librement vers des fins. Elle fait échapper l’homme au déterminisme qui régit les phénomènes naturels et comme le montre Alain en temps même qu’elle est le fruit de la conscience elle implique la discrimination entre le bien et le mal. Envisager que l’on puisse vouloir le malc’est poser qu’on peut consciemment et librement choisir le mùal . Or l’exercice d’une telle volonénous semble inintelligible . On a souvent tendance