La Consolidation Budgétaire

cette année à consolider les acquis de 2014 concernant le rétablissement des équilibres macroéconomiques, notamment grâce aux efforts de veille et de suivi de l’équilibre financier de l’Etat. L’ambition du Gouvernement dans ce sens est un déficit budgétaire à 4,3% pour 2015 après 4,9%* en 2014, 5,2% en 2013 et 7% en 2012. Les avancées réalisées concernent également les équilibres extérieurs puisque le déficit commercial a enregistré une baisse de 3,4% à fin août 2014 et le taux de couverture s’est

(PANLCD, 1998). La lutte contre la désertification La lutte contre la désertification est assez ancienne en Tunisie. Cet engagement de la Tunisie en faveur de la lutte contre la désertification a permis de mobiliser des ressources budgétaires assez conséquentes et de mettre en œuvre de nombreuses stratégies, programmes et projets qui contribuent directement ou indirectement à la lutte conte la désertification. L'ensemble de ses actions est à la fois intégré et consolidées à travers

humain : 0,591, 130ème (classement 2013) Données économiques (2013) PIB : 79,1 Mds € PIB par habitant: 2276 €/hab.  Taux de croissance : 4,5 %  Taux de chômage : (1er trimestre 2014) : 10,2% (9,2% fin 2013)  Taux d’inflation : 1,9 %  Solde budgétaire: -5,4 % du PIB  Balance commerciale : - 20,8 % du PIB  Principaux clients: France (21,4 %), Espagne 18,9 %, Brésil 6,0%,  Principaux fournisseurs: Espagne (13,5 %), France (12,9 %), Etats-Unis (7,5%) Part des principaux secteurs d’activités

structurelles. Elle a pour but la réforme de l'Etat, la baisse des dépenses publiques et l’amélioration des politiques publiques. Jusqu'ici, il semble que ces objectifs ne soient en rien novateurs. En effet, le projet de rationalisation des choix budgétaires en 1968, ou encore la loi-cadre Deferre en 1982, s'inscrivaient eux aussi dans cette volonté de réformer structurellement les politiques publiques. De plus, l'européanisation de ces dernières - en conséquence de la construction européenne – a,

contrainte budgetaire inter-temporelle de l’etat 2.1 Principe 2.2 Mod´lisation e 2.3 La condition de solvabilit´ e 3. Effet “boule de neige” : la question de la soutenabilite des deficits publics 3.1 3.2 3.3 3.4 La soutenabilit´ des d´ficits publics e e Un cas particulier avec un ´quilibre budg´taire hors int´rˆt. e e ee L’´valuation de la soutenabilit´ des d´ficits publics. e e e Les tests ´conom´triques de la soutenabilit´ e e e ´ MACROECONOMIE APPLIQUEE II ´ LA CONTRAINTE BUDGETAIRE INTERTEMPORELLE

prise de conscience de l’inefficience de certaines mesures prises individuellement rendaient nécessaire et cruciale une concertation globale. Deux types de facteurs de relance se sont, par conséquent, déclinés, à savoir la relance sur les plans budgétaire et monétaire. C’est la combinaison de ces deux instruments qui a joué un rôle déterminant pour éviter une crise systémique, soutenir la confiance et créer les conditions de la relance. A cela, il faudrait ajouter l’action du G20 et des organisations

française n’a jamais été aussi élevée. Malgré les efforts des différents gouvernements pour limiter l’endettement public, celui-ci est bien supérieur à la limite de 60 % du PIB fixée par le Pacte de Stabilité et de Croissance. Les efforts de rigueur budgétaire pour réduire la dette sont parfois accusés d’être un frein { la croissance économique. En effet, l’endettement constitue un moyen de faire face aux besoins de financement. Le crédit ou les titres monétaires et obligataires permettent la consommation

disparaître la forte aversion présente pour le risque, augmenter la croissance potentielle ; la coordination des politiques budgétaires, les pays ayant des marges de manœuvre  budgétaires les utilisant pour soutenir l'activité des pays qui doivent réduire leurs déficits publics. Il ne faut pas y compter aujourd'hui (mise en place de la règle d'or) ;  un multiplicateur budgétaire très élevé qui aurait l'effet paradoxal qu'en accroissant ex-ante les déficits publics, ils se réduiraient ex-post ; mais

demande de monnaie. En contrepartie, toute pertinence empirique disparaît : dans la réalité, le taux d'inflation découle, période après période, des divers chocs qui frappent l'économie et de l'arbitrage délicat que font les autorités économiques (budgétaires 232 Henri Sterdyniak ou monétaires) entre inflation et chômage. Le choix fait par Michel Aglietta l'oblige à reprendre des concepts périmés (comme celui de sté rilisation des variations de réserves de changes). De même, je regrette qu'il

l’international…………….39 d) Un compte capital partiellement fermé………………………………………….41 II. Des sources de fragilités à surveiller……………………………………………………………42 1. La volatilité de la croissance agricole………………………………………………42 2. Les risques pesant sur la position budgétaire………………………………….43 3. La détérioration du compte courant de la balance des paiements….44 4. La persistance des déficits sociaux………………………………………………….44 III. Les premières réponses à la crise………………………………………………………………..46 1. Les mesures gouvernementales