La Contradiction Du Relativisme

point de dogme (point de doctrine donné comme certitude, mais non démontrable). C’est un document exceptionnel car Il y a aussi de Léon XIII : - Humanum Genus (1884) condamne le relativisme philosophique de la franc-maçonnerie. - Providentissimus Deus (1893) l'étude des Saintes Écritures et contradictions entre la bible et la science physique. Mais encore les encycliques de Pie X : - Vehementer nos (1906) critiques de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat - Pascendi

groupes musulmans et chrétiens) (exple de l’intervention américaine en Irak : réalité de la « dimension de croisade démocratique » mais aussi conflit stratégique pour les questions énergétiques (pétrole)) Cependant, il faut bien noter qu’un total relativisme en ce qui concerne le bien et le juste est une attitude intenable, de plus tjs difficile de réellement accepter les différences d’autrui = attitudes fondamentales qui facilitent les conflits de valeurs Sur quoi portent ces conflits de valeur ?

peut donc revendiquer le respect de la part d’autres « volontés », elles aussi détachées de leur être plus profond et qui, de ce fait, peuvent faire valoir d’autres « raisons » ou même aucune « raison ». L’illusion que l’on puisse trouver dans le relativisme moral la clé d’une coexistence pacifique, est en réalité l’origine des divisions et de la négation de la dignité des êtres humains. On comprend alors qu’il soit nécessaire de reconnaître une double dimension dans l’unité de la personne humaine :

gil-conflit Lundi 16 mai 2011 De la dialectique - Héraclite               Chez tous les philosophes grecs nommés "présocratiques" (en dépit parfois du bon sens chronologique...), le thème de la contradiction et des contraires constitue une sorte de fil rouge qui permet de situer "philosophiquement" 'mais aussi moralement et même politiquement) chacun d'entre eux (leur philosophie générale...). Ceci pour autant que leurs écrits, souvent cités dans le texte de détracteurs ou de "disciples", soient

lesquels elles naissent Il faut prendre en compte le contexte d’écriture d’une théorie pour comprendre la théorie elle même, ainsi que le contexte institutionnel qui va agir sur la fabrication des théories. Mise en garde : ne pas déraper vers le relativisme. 5 étapes de la constitution des sciences économiques et sociales. 1. La « préhistoire » des sciences sociales (avant le XVIIIe) 2. Les précurseurs (XVIII-XIX) 3. Les fondateurs (fin XIXe – début XXe) 4. Le moment de rupture avec la tradition

alors que je sais que la science contredit toute possibilité d’existence ailleurs que sur la terre…   Si notre dernier exemple paraît effectivement contraire à la raison, en tant qu’il est dénué de toute raison et repose même sur une contradiction, le premier exemple paraît quand à lui rationnel. On ne peut comprendre comment on peut croire, adhérer à une représentation, tout en sachant pertinemment qu’elle est fausse, qu’elle est improbable, alors qu’on peut tout à fait comprendre qu’on

.......................................................... II. La différence entre l’homme et l’animal par rapport à la nature et à la culture ......................... III. Le relativisme et l’universalisme culturel .............................................................................. 1. Le relativisme culturel ........................................................................................................... 2. Le dialogue des cultures ou l’universalité culturelle ....

systémique : la société est un système (objet complexe composé d'éléments interdépendants) dont la fonction principale est d'intégrer les individus. Quelles que soient les évolutions, la cohérence du système demeure et il ne peut pas y avoir de contradiction durable entre les éléments du système, pas plus qu'entre un élément et la totalité. Parsons, ici, se situe à l'antipode de Marx mais on a reproché à la théorie de Parsons n’envisager le changement social que de façon limitée. I.3.2. ROBERT

il faut respecter la règle logique de non contradiction. Cependant certaines normes sont performatives. Lorsque j’affirme « je mens toujours » il y a une indécidabilité de la proposition à cause de l’affirmation de toujours mentir et du fait que je propose comme vraie mon affirmation. Mais certaines normes performatives concernent l’action même de dialoguer. Habermas ou Apel parle d’une contradiction performative pragmatique, c’est-à-dire d’une contradiction entre l’énoncé et l’existence agissante

l’insincérité pour lui. Sa conscience est contradictoire et c’est la raison pour laquelle, assez souvent, la conscience du menteur est mal à l’aise. La personne sait quand même que la sincérité est une valeur, mais transgresse celle-ci. Il est en contradiction avec lui-même et se déshonore. Mensonge par omission : Omettre des détails ou tout simplement ne pas dire quelque chose. On sait qu’on ne donne pas de détails, qu’on ne donne pas certaines informations, c’est donc de la manipulation et ce n’est