La Cour Du Lion Satire Morale Ou Politique

Considéré comme le plus grand fabuliste de l'époque classique sous le règne de Louis XIV, ses recueils de fables sont encore de nos jours considérés comme de grands chefs d’œuvre de la littérature française, visant à délivrer un enseignement, une leçon de morale, sous le prétexte du divertissement. Ici, il s’agit d’un apologue écrit en 1678, « Les Animaux malades de la Peste ». C'est pendant l’affaire Fouquet, auquel La Fontaine gardera toute son amitié jusqu’à sa mort, que La Fontaine, outré par l'injustice

animaux une personnification "gens" parlent mentent flattent "font le dégouté" et ils ont leurs caractéristiques habituelles : le singe se croit malin / le lion est le chef/ l'ours est maladroit / le renard est rusé le but premier de la fable qui est de divertir est donc atteint II/une critique du roi et un portrait des courtisant 1) le lion il est cruel situation : quand quelque chose lui déplait, il tue "l'envoya chez pluton" = euphémisme "parent de caligula" = métaphore champ lexical

Fable distrayante, avec une description des circonstances, des pers, une richesse du dialogue. La Fontaine donne autant d'importance au récit qu'à la morale mais garde une visée satirique. On assiste ici à une démonstration de la loi sociale : la raison du plus fort. • La fable amène une réflexion sur l'injustice à cause de la décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. 1) Une fable habilement menée : b. Variété

est la quatrième fable du second recueil publié en 1678. « Les obsèques de la Lionne », comme la plupart des fables, situe l'histoire dans le monde des animaux, une stratégie argumentative qui permet à La Fontaine de critiquer indirectement la cour du roi Louis XIV. Nous verrons comment le fabuliste, séduisant son lecteur par un récit dynamique, l'amène sur la voie de la réflexion et véhicule une critique sévère de la cour et du roi. D’abord, nous étudierons en quoi cette fable se révèle une fiction

et la politique de son temps. Proche de Nicolas Fouquet destitué de sa fonction de ministre des finances de Louis XIV, L.F. reste à l’écart de la cour du roi soleil, sur lequel il porte un regard très méfiant.Dans les Obsèques de la Lionne, 14ème fable du livre 8, le Cerf, accusé injustement d’avoir ri lors de la cérémonie, se sauve habilement d’une mort certaine en montant et en flatta t l’orgueil du Roi. L’auteur se livre donc dans cette fable à une satire plaisante du milieu de la cour, lieu

: • Fable distrayante, avec une description des circonstances, des personnages, une richesse du dialogue. LF donne autant d'importance au récit qu'à la morale mais garde une visée satirique. On assiste ici à une démonstration de la loi sociale, la raison du + fort. • Fable amène réflexion sur l'injustice à cause de la décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. Comment La Fontaine met-il le récit au service

Fontaine Intro : • Fable distrayante, avec une description des circonstances, des pers, rune ichesse du dialogue. LF donne autan d'importance au récit qu'à la morale mais garde une visée satirique. On assiste ici à une démonstration de la loi sociale, la raison du + fort. • Fable amène réflexion sur l'injustice à cause de la décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. 1) Une fable habilement menée : a. Un Préambule

• Fable distrayante, avec une description des circonstances, des pers, une richesse du dialogue. La Fontaine donne autant d'importance au récit qu'à la morale mais garde une visée satirique. On assiste ici à une démonstration de la loi sociale : la raison du plus fort. • La fable amène une réflexion sur l'injustice à cause de la décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. 1) Une fable habilement menée : a. Un Préambule

En 1695, Charles Perrault défendit dans sa préface des Contes en Vers les valeurs de l'apologue, plus précisément des fables et des contes. Il affirma notamment que «Ces bagatelles n'étaient pas de pures bagatelles, qu'elle renfermaient une morale utile et que le récit enjoué[…]instruisît et divertît tout ensemble ». Comment les auteurs d'apologues font-ils pour mêler enseignement et plaisir à la lecteur dans leurs récits ? Nous verrons dans un premier en temps la manière d'enjouer le récit qu'utilisent

Fontaine met en scène différents animaux comparés à des êtres humains (l.1 : la femme du Lion ; l.21 : Peuple caméléon, peuple singe du maître ; l.3 : le Prince, qui est le Lion) dans la fable « Les obsèques de la Lionne » publiée en 1678. Cette histoire aux registres essentiellement didactique et satirique permet à l’auteur de critiquer le Roi et son régime politique. Il accorde une grande place à la satire de la cour en lui reprochant son type de comportement (son hypocrisie) envers le Roi (v.2 à 5 :