La Coutume Selon Montesquieu Et Rousseau

il le veut (ex: « Je lève le bras ») et l'es^rit agit sur le corps sans le vouloir (ex : « je me présente à une épreuve et j'ai mal au ventre »). → Selon Descartes on explique ça par une mécanique corporelle avec la liaison avec l'esprit. C'est le domaine de la passion. Il y a une réaction. La passion est un domaine d'action réciproque. → Selon Freud, il y a une pensée derrière tout ça, mais une pensée qui n'est pas conscient. C'est l'inconscient sexuelle. Il y a une sorte de logique infantiles

d’individualité prévalait, où l’individu avait des droits basés sur d’autres fondements que la seule tradition. C'est l’avènement du sujet pensant, en tant que l’individu peut juger et décider par son raisonnement propre et non plus sous le seul joug des us et coutumes. Ainsi, John Locke rédigea ses deux Traités du gouvernement civil dans lequel il avance que le droit de propriété n’est pas familial, mais totalement individuel et fruit du travail consacré au terrain concerné, ainsi que de sa protection face à autrui

décroît jusqu’à en faire un homme ordinaire : « le petit homme de Saturne ». ➢ Style fleuri : Micromégas le lui reproche > discours + dépouillé. ➢ Insatisfaction : trop peu de sens, vie trop courte. Débuts du spleen, « vapeurs anglaises » selon Diderot. Chapitre III : Voyage de 2 habitants de Sirius et de Saturne La maîtresse du Saturnien lui reproche de l’abandonner, et va se consoler avec un autre. Ils partent avec de nombreux instruments mathématiques, et avec leur suite. Passent une

le monde et faire un certain nombre de discours à des communautés chrétiennes également persécutées, il écrit des lettres (des épitres) qui sont restées célèbres. Le corps est un, il a plusieurs membres, mais tous ses membres doivent être ordonnés selon la parole de Dieu. La question de la légitimité même d’un état se ramène à un seul concept, celui de l’obéissance. A-t-on bien respecté les engagements prescris par le dogme ? Si oui alors il est légitime. Sinon il ne l’est pas, et quelqu’un d’autre

politique sous la forme de l'Etat est un phénomène récent dont l’apparition est située au XVe siècle ; par conséquent, l'Etat est le résultat d'un long processus évolutif d’institutionnalisation du pouvoir qui s'est produit à des moments différents selon les sociétés et les contraintes externes auxquelles l'Etat à du faire face. Si l’Etat est le résultat d'un long processus, rien ne permet pour autant de dire que ce processus soit achevé. Au centre de ce processus, il y a l'homme car sa condition

acteurs changent, il y a accord entre les acteurs pour changer les règles ex : aujourd'hui dire qu’on peut utiliser soit article 89 soit article 11 pour révision = révision informelle de la constitution. Révision polit de la constitution ex les coutumes constitutionnels qui se forment pour remplir un vide ex : dans constitution, pouvoir exécutif au président de la république. Pas de trace du président du conseil, c’est coutumier car le président ne peut entrer dans chambres du parlement un ministre

est au dessus des autres textes juridiques. Son contenu est particulier, spécifique. Ca doit être l'oeuvre d'un peuple libre qui se l'ait donné. Le peuple accepte ainsi l'autorité de l'Etat (« L'homme nait libre, mais partout il est dans les fers » Rousseau) Ce texte fondamental s'impose à tous, aux gouvernés, comme aux gouvernants. Ex : Une loi peut ne pas entrer en vigueur si elle n'est pas conforme à la constitution. Pour que cette supériorité soit respectée, il existe des organismes de contrôle

2 courants de pense - judo-chrtien St Paul (Eptres aux Eplsiens) le Pouvoir vient de Dieu - pour les thoriciens du Contrat Social (Rousseau) le pouvoir nest pas naturel, il est le fruit dun contrat pass entre les individus qui vont renoncer leur libert naturelle au bnfice dune socit (qui leur garantit) pour retrouver des liberts sociales (cf. Hobbes et Montesquieu). Cest ce quexprime larticle. 4 de la dclaration des droits de lHomme Lexercice des droits naturels de chaque hommes na de bornes que

dès lors que l’on est concerné par une décision, l’on doit y prendre part. Par ailleurs, il existe dans certains milieux laïques ou ecclésiastiques, une critique très sévère de la monarchie de droit divin, et l’idée défendue à l’époque est l’idée selon laquelle le droit suprême est détenu, non pas par le droit, mais par le peuple et la nation elle-même. Ce qui revient à dire que les gouvernants eux-mêmes sont également soumis aux lois. Des voix se sont élevées, favorables à un partage des pouvoirs

principes juridiques complémentaires sur lesquelles reposent l’état de droit : * Le principe de légalité : principe selon lequel toutes les normes inférieurs doivent être conformes à la loi. ( Que fait-on si c’est la loi elle-même qui est arbitraire ? Il faut un deuxième principe. * Le principe de constitutionalité : principe selon lequel toutes les normes inférieures (y compris les lois) doivent être conformes à la constitution.