La Dramaturgie Classique Scherer

« atome »). Complète l’expo. Pratique l’écriture didascalique (didascalies internes), dédoublement du personnage, à la fois metteur en scène et comédien (anti-Montfleury : comparer les registres, cette scène « annule et remplace » La Clorise) ; dramaturgie romantique conforme à la Préface de Cromwell : mélange des genres et des registres. b)     « Secundo est mon secret » : qui parle à qui ? Des doutes sur le destinataire réel : Cyrano lui-même, Valvert ? Un auditoire universel ou Roxane, interlocuteur

« ils feignent l’ignorance quand ça les arranges » - l’invention du troisième lieu Beaumarchais est l’inventeur du « troisième lieu » expression employée par Schérer pour désigner un autre espace que celui de la scène ou des coulisses. Ex : l’alcôve où se réfugie chérubin puis Suzanne. Cela créer une tension dramatique pour Schérer.      Il tient une place importante dans l’ action. C’ est soit une pièce avoisinante : pavillon où cabinet. Ou c’ est un meuble par exemple le fauteuil.        

« Et toi, ma petite fille, ma mie, je veux que vous vous mariez, s’il vous plaît ». L’usure- II 2 « C’est vous qui cherchez à vous enrichir par les usures si criminelles ». La Structure Molière a respecté la règle de trois unités de la comédie classique au XVIIème siècle. Unité d’action- La pièce a beaucoup d’intrigues ; qui sont liées à la psychose d’Harpagon et ses conséquences en ce qui concerne les amours des jeunes gens et d’Harpagon ; le vol de la cassette et la rivalité entre Maître Jacques

La dramaturgie du Dom Juan de Molière et l’esthétique espagnole du Siècle d’Or. Didier SOUILLER Université de Bourgogne La tradition qui fait juger des œuvres théâtrales du XVIIe siècle français à l’aune des normes d’un classicisme artificiel a particulièrement pesé sur le destin du Dom Juan de Molière. La pièce gêne déjà les contemporains, non seulement par ses ambiguïtés à l’égard de la religion, mais par sa dramaturgie, si peu « régulière » et si peu conforme aux souhaits des « doctes » que

Étude d’un corpus de textes – Molière, Dom Juan (livre de l'élève, p. 176). – La Rochefoucauld, Maximes, maxime 215 (livre de l'élève, p. 177). – Paul Bénichou, Morales du grand siècle (livre de l'élève, p. 177-178). – Marie-Odile Sweetser, La Dramaturgie de Corneille (livre de l'élève, p. 179). L'étude de ces textes permet de définir la notion de « héros féodal » et de cerner les valeurs que défend la noblesse (honneur, gloire, nom, courage) dans le premier tiers du siècle. On pourra s'appuyer sur

action et de la caractérisation des personnages. Nous voudrions en effet montrer ici que le théâtre tragique de la Renaissannce est moins un théâtre pathétique, où la déploration l’emporterait sur l’action, qu’un théâtre fondé sur une véritable dramaturgie des passions. La notion de passion tragique se définit à la Renaissance au tel-00272376, version 1 - 11 Apr 2008 carrefour de la poétique et de la rhétorique, elle est en cela l’héritière de deux grands ouvrages d’Aristote. La Poétique fait la part

personnage, ses motivations, la fonction du personnage dans l’histoire. Le travail du rôle est la recherche des motivations du personnage. Le rôle c’est des stéréotypes également. si on est fou, c’est un genre de personnage. LE PERSONNAGE DANS LA DRAMATURGIE Les origines du personnage Le personnage (théâtre, film) et une création d’un auteur ou de plusieurs auteurs même lorsqu’elles s’inspirent de personne réelle. L’auteur dramatique crée des situations dramatiques en mettant en présence des personnages :

selon J. Morel, l’attention du spectateur est dès lors moins portée sur le contenu du songe que sur son décorum interne (décor du songe, émotions des personnages) et externe (débat sur la véracité des songes). Dans sa Dramaturgie classique en France au XVIIe siècle, Jacques Scherer ne consacre pas de section particulière au songe tragique. Il repère simplement les « oracles » comme ornements poétiques, au même titre que les « lettres » insérées, et traite des « ombres » et des « apparitions » dans

Il faut tout penser à partir d’Aristote : * Les genres sont des catégories esthétiques * Les registres s’incarnent dans les genres * Les grandes catégories de l’écriture dramatique contemporaine * La Poétique impulse toute la dramaturgie occidentale ; c’est la référence, par exemple pour la catharsis, même si elle est remise en cause (Brecht). Les philosophes repartent tous d’Aristote également car son système est pensé de façon philosophique et dramaturgique. Dans la Poétique

années 1970 24 1.3.1 Le théâtre satirique 24 1.3.2 Le contournement de la censure par le théâtre 25 1.3.3 Le théâtre, lieu d’expression d’un contre-pouvoir 28 1.3.4 Genèse d’une réflexion sur la dramaturgie africaine 29 2 les années 1980 : Un théâtre en quête identitaire 33 2.1 L’engagement d’une réflexion sur l’identité culturelle et le théâtre 33 2.1.1 Remise en cause de l’usage de la langue française 34 2.1.2