La Démocratie Moderne

L’organisation des séparattions est le symbole même de la démocratie moderne ou de la liberté. Cette notion est encrée dans la personne des citoyens qui choisissent, acceptent ou rejettent leurs dirigeants. Chaque Etat à un système, certains de ces systèmes sont plus performants plus oragnisés que d’autres mais, il faut retenir que l’ensemble de ces systèmes découlent avec la même nécéssité du système de liberté basé sur la démocratie avec la séparation des pouvoir. Chapitre 2 : Le vecteur

dernières présupposent en effet une lecture de la démocratie et de ses engagements. Or, c’est tout l’enjeu de notre réflexion que de se pencher sur les dilemmes que la désobéissance civile - et une de ses formes particulières l’asile religieux - pose au projet démocratique contemporain. Plutôt que de postuler une définition de la désobéissance civile, nous entendons souligner le lien entre conception de la désobéissance civile et vision de la démocratie. Fixer par avance les limites de la désobéissance

La démocratie nécessite-t-elle l’usage de la propagande ? La démocratie et la propagande sont deux termes apparemment opposés. Ceci signifie que la propagande ne serait pas compatible avec la démocratie. En simplifiant, la propagande consisterait en la manipulation de l'opinion pour que l'autre pense comme toi alors que la démocratie est la base d'une politique basée sur la communication de l'information pour que chacun fasse son choix. Nous verrons que le concept de propagande a évolué tout

L’avènement de la démocratie libérale face à la religion La légitimité religieuse a pendant des siècles fondée et légitimée le pouvoir du souverain en Europe dans des modèles de monarchie absolue de droit divin ou de théocratie. Sous l’influence des Lumières, elle a été contestée et renversée par l’émergence du libéralisme où la légitimité et la souveraineté émanent du peuple. Si la religion désigne un ensemble de croyances et pratiques qui définit le rapport de l’homme à une transcendance

Populisme, démagogie et démocratie: limites et frontières Le populisme moderne trouve son origine dans les démocraties latino-américaines des années cinquante. Il est à la fois protestataire et identitaire. Protestataire, dans la mesure où le populisme est un mouvement bâti sur une psychose du complot ourdi contre le peuple. Le peuple est alors appelé à se dresser contre les acteurs du complot identifiés au sein des élites politiques et intellectuels du pays (le pays légal contre le pays réel)

auteurs 1 – Tocqueville, De la démocratie en Amérique II, Quatrième partie, chapitre 6 (1840) : « Quelle espèce de despotisme les nations démocratiques ont à craindre ». 2 – Francis Fukuyama, La Fin de l’histoire et le dernier homme, 1992 (traduction de Denis-Armand Canal). 3 – Philippe Muray, Après l’Histoire, 2000 (texte initialement publié dans la Revue des Deux Mondes en 1998). On ne présente pas Tocqueville (1805-1859) ni son immense somme intitulée De la démocratie en Amérique (publiée en deux

selon les contextes. « La notion de démocratie représentative ». Si cette notion est bien connue aujourd'hui, la démocratie représentative reste une notion problématique. Mettre côte à côte le terme « démocratie » et « représentative » est banal. Révolution française = la notion de « démocratie » et « représentation » sont différentes, voire opposées. « Qu'est-ce que le tiers État ? ». Discours de Seyes oppose dans son discours la notion de démocratie + représentation. « Le peuple ne peut

fort simple, par une série d’observations des régimes au cours de l’histoire, que la fin de l’histoire est en fait la démocratie libérale. Les autres régimes ne peuvent survivre par manque de légitimité, tandis que les principes de la démocratie libérale ne comportent aucune contradiction. Fukuyama se demande donc : « assistons-nous simplement à l'une des vicissitudes de la démocratie libérale, ou bien voyons-nous à l'œuvre quelque schéma de développement à plus long terme qui finira par conduire tous

certaines villes semblent invivables, tandis que d’autres dégagent un charme inépuisable? Que tel ensemble architectural nous parle quand tel autre nous fait horreur? On sait à quel point ces questions s’exacerbent avec la querelle de l’architecture moderne. Que nous ne parvenons pas à trancher. Car, à la fois, nous détestons nos villes massifiées et fonctionnelles, nos grands ensembles qui nous donnent le sentiment d’une perte irréparable de l’harmonie entrevue dans ce qui subsiste des villes anciennes;

l'abolition de l'esclavage (1863). Réélu en 1864, il fut assassiné par un sudiste exalté, l'acteur Booth, cinq jours après la victoire nordiste (avril 1865) : désigna la démocratie comme le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Cette définition de la démocratie reste, nous pouvons le dire, actuelle, contemporaine. La démocratie est inscrite dans la Constitution de 1958, à l'article 2 : « ...Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple... ». En effet, cette