La Dénonciation Théâtrale

efforts aboutiront à des résultats malheureux. Des méthodes scientifiques, comme le recoupement d'empreintes digitales, n'aboutissent qu'à une impasse. La collaboration de la population, sollicitée dans un premier temps, aboutit à quantité de dénonciations imprécises ou délirantes. Finalement, l'inspecteur Lohmann va mener son enquête de façon plus classique, en multipliant les interrogatoires sur le terrain, ou en fouillant tous les appartements du quartier dans lequel sévit le tueur. Alors que

mythe se conjugue donc ici avec un propos d'actualité immédiate. En 1935, Giraudoux, comme de nombreux intellectuels, semble s'apercevoir que la guerre approche. La guerre de Troie n'aura pas lieu est une pièce qui entend donc offrir une vision théâtrale de l'actualité. Or, pour cela, Giraudoux a choisi de représenter sur scène un mythe guerrier : la guerre de Troie. Le choix de héros de l’Antiquité s'explique ainsi par celui d'avoir représenté un symbole de la guerre, plutôt que la guerre elle-même

artiste, architecte, et réalisateur chilien né en 1956 à Santiago et est le père du musicien Nicolas Jaar. Il vit à New York. Il est principalement connu pour ses installations complexes qui combinent des photos, des éléments architecturaux et théâtraux, l’artiste interroge les médias à l’usage qu’ils font des atrocités des conflits armés sur les sociétés (génocide au Rwanda) et s’intéresse aux enjeux de la corruption politique et des enjeux entre le monde occidental et industrialisé et les pays

grâce à Hiroshima mon amour (1960), adapté par Alain Renais. Enfin on retrouve cette femme dans le monde du théâtre notamment grâce à sa célèbre pièce Le square, représentée en 1957. Ses revendications : Grâce à l’écriture, MD opère de nombreuses dénonciations des aliénations culturelles et sociales de son temps. Ces revendications se manifesteront dans l'ensemble de ses ouvrages par un style saccadé, par des phrases, des personnages ou des actions déstructurées. Sa renommée : En véritable femme de

pièce. FOLIE ET TRAVESTISSEMENT : : Le langage des bonnes est à la fois vulgaire, ordinaire et poétique, littéraire. Il crée un univers duel, à part, presque onirique pour ces deux femmes. Genet disait lors de la création de sa pièce : "un critique théâtral faisait la remarque que les bonnes véritables ne parlent pas comme celles de ma pièce : qu'en savez-vous ? Je prétends le contraire, car si j'étais bonne, je parlerais comme elles. Car les bonnes se parlent ainsi chaque soir : il faut les surprendre

étudiées (« chimie, pharmacie, chirurgie ») et le médiocre aboutissement du savoir. Figaro a la coquetterie de rappeler l’usage qu’il en fait : « attrister » c'est-à-dire ennuyer, donc ajouter le désarroi au malaise « des bêtes malades ». La phase théâtrale : Le métier d’auteur dramatique est plaisamment présenté comme étant le négatif de la carrière vétérinaire : «métier contraire »: il s’agit encore de « piquer » (= comédie satirique) mais pour égayer et non pour attrister. Figaro décide d’écrire

Etude des personnages. Documents complémentaires : - Vidéo du film Roberto Succo pour mieux comprendre les choix de Koltès - Quelques commentaires d’Anne Ubersfeld sur la pièce Roberto Zucco - Réflexions sur l’évolution des formes théâtrales ( de la règle des trois unités au théâtre contemporain) - Observations sur les mises en scène de la pièce à partir de photos - Comparaison de deux mises en scène de Dom Juan de Molière - Sujet de dissertation  sur l’intérêt d’assister

Candide. Comment le compte philosophique de Candide est-il utilisé par Voltaire pour dénoncer les abus du XVIIIeme siècle. Nous verrons dans un premier temps l'aspect spectaculaire de la scène du chapitre VI, puis nous nous intéresserons a une dénonciation violente et ironique dans ce récit. Dès le début du chapitre, on note une insistance sur la justification de l'évènement et son apparente rationalité. Il décrit les décisionnaires tels que des « sages » et la décision est appuyée par des instances

sexes) a) la critique de la soumission des femmes Mépris envers les « autres femmes » : elle n’a rien de « commun » avec elles (marquage du contraste), considérés comme des jouets de leurs sentiments et qui se soumettent à ceux qui les dominent. Dénonciation de l’éducation des filles : « fille encore, j’étais vouée par état au silence et à l’inaction » « je n’avais à moi que ma pensée » = marquise, révolutionnaire. b) Un orgueil vindicatif Omniprésence du pronom « je » : narcissisme démesuré +

de fiction deviennent des personnage réels et reflètent comme un vrai miroir l'image de la société dans laquelle il vit. Il est très facile de s'identifier à un personnage et d'éprouver un certain intérêt pour lui. Le roman est au service de la dénonciation et les personnages qui y figurent ne font qu'incarner la vie décidée par le romancier, donc le lecteur est amené à réfléchir sur la vie, la société et le monde sans même sans apercevoir. En s'identifiant à un personnage, un lecteur peut observer