La Gradation Des Fautes En Droit

également scène d’exposition, raconte l’histoire d’un prince qui enlève Silvia la femme dont il est tombé amoureux, mais Silvia s’y oppose. Elle est amoureuse d’Arlequin, l’homme à qui elle s’est promise, le prince chargea alors Trivelin, son bras droit de convaincre Silvia de l’épouser. Au début de la scène, on s’aperçoit que l’action a déjà commencé grâce à la didascalie « Silvia paraît sortir comme fâchée », et par le début de la réplique de Silvia commençant par « mais ». Nous avons la didascalie

impressionner par son érudition en employant un argument d’autorité «  l’histoire nous apprend » mais l’incise « s’il le faut » tempère son dévouement et oblige à douter de son affirmation. Le Lion se livre avec complaisance car il se sait intouchable et c’est la raison pour laquelle il fait une longue exposition de ses péchés, n’hésitant pas à mettre en lumière son extrême cruauté avec la gradation « forces moutons (…) et berger ». Il justifie son acte par un péché, celui de la gourmandise mis en évidence par

pauvre illustre son irréligiosité et la coupure brusque de la fin montre son sens de l’honneur.  Un nouveau défi : le sacrilège. • 3 répliques = les 3 tentatives du diable dans le désert pour tenter Jésus ? • Gradation dans l’ordre de jurer : « Que tu veuilles =>jure donc => il faut jurer ».  Endurcissement au pêché. • Dom Juan se moque du Pauvre. • Dom Juan se passe de dieu. II - Un double affrontement  Dom Juan et le pauvre. • Le pauvre caractérise Dieu ; il pose de fausses questions

nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants ; la force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et, pour cela, faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste. La justice est sujette à dispute, la force est très reconnaissable et sans dispute. Ainsi on n'a pu donner la force

Les paroles du lion-roi équivalent à un véritable sermon d'orateur : il recherche l'adhésion du plus grand nombre en généralisant avec le pronom indéfini « on », il se couvre derrière l'argument historique qu'un bouc émissaire doit payer pour les fautes de tous (réfrénée à Œdipe-Roi) et use des circonstances atténuantes en dénonçant ses propres forfaits « nous, moi » car il sait que sa cour ne le condamnera pas. Son aveu en appel à la clémence, toutefois l'usage de l'adversatif « mais » le place

Apostrophe « Horloge ! » Le temps retentit sans cesse, par sursaut, il nous surprend en train de rêver, il nous désillusionne. Gradation et personnification, délification« Dieu sinistre, effrayant, impassible. » Le temps fait peur, il n’est pas rassurant, c’est un dieu à cause de sa force, il est au dessus, règne sur nous. Il nous dicte notre vie , nous ne pouvons nous détacher du "droit chemin". Personnification « Le doigt nous menace » L’horloge vient tout le temps lui rappeler que le temps nous est compté

Jean de la Fontaine (1621-1695) Les animaux malades de la Peste. Introduction : La Fontaine caractérisait l’art de la fable de la manière suivante : “En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire.” L’avertissement de son second recueil de Fables indique au lecteur que le fabuliste “a jugé à propos de donner à la plupart de celles-ci un air et un tour un peu différent.” Première fable du livre VII et donc première de ce nouveau recueil de 1678, Les animaux malades de la Peste mettrait donc

pauvre illustre son irréligiosité et la coupure brusque de la fin montre son sens de l’honneur. -> Un nouveau défi : le sacrilège. • 3 répliques = les 3 tentatives du diable dans le désert pour tenter Jésus ? • Gradation dans l’ordre de jurer : « Que tu veuilles =>jure donc => il faut jurer ». -> Endurcissement au pêché. • Dom Juan se moque du Pauvre. • Dom Juan se passe de dieu. II - Un double affrontement -> Dom Juan et le pauvre. • Le pauvre caractérise Dieu ; il pose de fausses

composition et une énonciation La lettre est composée de différent paragraphe. Chacun contient un message différent sans lien avec le précédent. Absences de connecteurs logiques : Parataxe ou Asyndète. Exemple : « Auteur de mer fautes, quel droit as-tu de les punir ? » «  Où sont les amis […]» La confusion de Mme de Tourvel se lit dans la confusion des destinataires. En effet, la lettre ne mentionne pas de destinataires explicites. Exemple : « A … » De plus, on devine des destinataires

la beauté à son apogée, jusqu’à la rendre la guerre totalement absurde. La phrase subit une amplification des quatre éléments et la beauté est accentuée, encore une fois, par l’utilisation du superlatif « si » qui revient devant chaque termes. La gradation se fait aussi d’un descriptif général : « beau », à un vocabulaire beaucoup plus précis : « ordonnée ». Nous voyons aussi que Voltaire utilise le mot « canons », au milieu de l’énumération des instruments de musique, comme quelque chose de naturel