La Grande Vanité

avant d'être représentée à Paris, au théâtre du Palais-Royal. Elle mêle les textes de Molière aux compositions musicales de Lully. La pièce porte sur un bourgeois qui aspire à ressembler à un noble par tous les moyens. Elle aura rapidement un très grand succès. INTRO : Le XVIIe siècle, c'est le siècle classique, le siècle de Louis XIV, mais c'est aussi le siècle de Molière, dramaturge au nom à jamais uni à la langue française comme celui de Shakespeare à l'anglaise. S'il a si bien survécu au passage

m'avoir pas assez vu. 10 Tant d'honneurs ne laissent pas 6 d'être à charge 7 : je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare ; et quoique j'aie très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse 8 troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie 9 quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je 15 valais

c’est ce que fait Montaigne dans ses Essais : il remet en cause tout ce qui fait l’Homme et l’accuse de prétention : “de toutes les vanités, la plus vaine c’est l’homme“. Il le qualifie de créature qui “se die maîtresse et emperière de l’univers“ et ose demander une preuve du droit à ce privilège que l’homme croit avoir sur tout. En fait, Montaigne fait preuve d’un grand scepticisme face à l’Homme que l’on peut qualifier de fondateur. En effet, cette attitude et ce discours visent à aider l’humanité

découverte scientifique peut ouvrir bien des portes à un jeune chercheur. Si un scientifique fait une découverte a grand impacte alors son nom se verrai associer à sa découverte lui offrant en plus de financement un intérêt mondial pour ses travaux, pour sa personne. Nous pouvons citer dans cette optique l’affaire bogdanoff. Ses deux frère dîplomer de la faculté de Bordeaux ont jouis d’une grande renommée de pars leur publications et leur recherche. Interview, émission destiné au jeune publique, nom reconnue

remarque qu’on insiste sur leur rang avec un lexique de la nobless et des adresses répétées : « Monsieur le Baron » (l.12), « monseigneur » (l.16) + superlatif « le + puissant des seigneurs » (l.12) - On évoque les gens qu’ils ont à leur service « grand aumonier, piqueur, etc. -Univers dominé par le superlatif : tout est présenté sous un jour idéal, comme si on était dans un univers féérique parfait : « les mœurs les plus douces » « le château était le + beau des châteaux, et madame la meilleure

témoin des sacrilèges. C’est lui qui fait avancer l’action en suggérant sans le vouloir à son maître de nouvelles façons d’insulter le Commandeur. Il est impressionné par la beauté du monument, cela donne à Dom Juan une occasion de critiquer la vanité du mort : « Qu’on ne peut voir aller plus loin l’ambition d’un homme mort ; et ce que je trouve admirable, c’est qu’un homme qui s’est passé, durant sa vie, d’une assez simple demeure, en veuille avoir une si magnifique pour quand il n’en a plus

grandeur, sa dignité. Sans grandeur est de prendre conscience qu’il est un être fini, limité, mortel. La finitude de l’H renvoie donc au fait que l’H est conscient qu’il est un être fini et mortel. L’esprit fait la grandeur de l’H . I)L’infiniment grand Il y a une incitation à détourner notre regard des objets « bas » et de ns intéresser à la nature. Il critique notre façon ordinaire et habituelle de voir le monde. Ce que l’H regarde, ce sont les objets utiles à son quotidien. Pascal dit qu’il y

Montaigne humanisteINTRODUCTIONNé en Italie à la fin du XVe siècle, l’humanisme est un courant de pensée qui s’est répandu en Europe de l’Ouest au cours de la Renaissance. Fondé sur la redécouverte des textes et de la culture antique, ce mouvement remet l’homme au centre des réflexions et des préoccupations intellectuelles et entraîne un essor du savoir et de la connaissance, dont la diffusion est favorisée par l’invention de l’imprimerie. Imprégné depuis son plus jeune âge par ce courant de pensée

œuvre arrête Diderot, il se laisse emporter et emmène le lecteur avec lui. Certains peintres ont le droit à l'éloge de Diderot et parmis eux se trouve Hubert Robert, le peintre des ruines. L'extrait que nous étudions est le commentaire de la peinture Grande Galerie éclairée du fond situé dans le plus long des Salons, celui de 1767. Dans cet extrait, Diderot présente au lecteur le tableau dans un ton élogieux, il lui plaît, mais il lui sert surtout de prétexte. Prétexte extrêmement riche, qui lui permet

religieuse. Dans le roman, Stendhal, avec un style nerveux, fait vivre dans une action rapide un héros lyrique qui dissimule une grande sensibilité sous un apparent cynique. Le rouge peut être considéré comme un présage de mort dans le début du roman, qui se réalise finalement à la fin : c’est le sang de Mme de Renal que fera couler Julien. Roman d’initiation : Comme bcp de grands romans du 19e S, le rouge et le noir est un roman d’initiation. Il présente en effet la trajectoire d’un personnage du début