La Grande Vanité

la philosophie, qui invite l'individu à penser par lui-même et de façon rationnel, commence le grand essor de la grande culture savante occidentale (Platon, Aristote, les sceptiques, les Epicuriens, les stoïciens). Les savants s'occupent de l'eternel question du bonheur. Rome est le prolongement d'Athènes. ( Virgile: "L'Eneide"; Ovide / "Carpediem": Horace ( c'est de l'épicurisme) Sénèque ( grand stoïcien qui a élevé Néron) et Cicéron ( juriste, moraliste, stoïciens). La culture savante au

C'est la raison pour laquelle on appelle "butor" un homme grossier et stupide. Le Prince traite Marinoni de "butor", alors que c'est lui qui se conduit en butor. Le Prince a une idée excessivement favorable de ses capacités : "Je te confie le plus grand projet qui se soit enfanté depuis une suite d'années incalculables..." Il reproche à Marinoni d'avoir "entassé bêtise sur bêtise", alors que c'est lui qui s'est conduit sottement avec la Princesse. Le Prince profite de sa position pour rabaisser

l'hypocrisie avec les paroles "son servitor", mais surtout le verbe "contrefaire" qui veut dire "faire semblant". Les deux vers suivants soulignent avec dérision un autre défaut : "discourir", parler d'abondance de ce qu'on fait semblant de connaître. Vanité + mensonge. Allusions historiques aux conflits d'intérêt et aux guerres entre Rome, alliée des Français, d'une part, et Florence et Naples d'autre part. Idem pour le 1er tercet qui commence par un joli néologisme, "seigneuriser" attaquant la

du conte 1. Voltaire plante un décor somptueux : les personnages évoluent dans un « château » (l.1), avec « une grande salle ornée de tapisserie » (l.18). Champ lexical de la grandeur : « grande salle », « grand aumônier » « grande considération » 2. Dans cet univers de perfection, tout est extraordinaire. Termes mélioratifs : « douces » « bon et honnête » « puissant » « très grande considération » « honneurs » « dignité » « admirablement » « meilleur des mondes possibles » 3. La profusion des

entraîne, pour Rousseau, la vanité et l'orgueil). Du coup, l'homme à l'état de nature se « suffit à lui-même ». Enfin, l'homme sauvage n'a que « les sentiments et les lumières propres à cet état », d'où l'absence de passions. Ce type d'homme n'est pas destiné à vouloir se changer : il n'a pas la faculté de se perfectionner (perfectibilité ; faculté propre à l'homme socialisé). De ce fait, l'intelligence de l'homme sauvage « ne fait pas plus de progrès que sa vanité » : il aspire seulement à sa

mariage heureux. Mais chacun d’eux repousse à son tour l’heureux projet en se laissant aller à un mouvement de vanité. Camille ouvre le jeu : à la joie admirative de Perdican, elle répond avec froideur, de façon hautaine, elle renie "ce pauvre temps passé, si bon, si doux" qui fait encore rêver son cousin (I, 3). Cet orgueil là n’est pas bien dangereux : on peut y voir la réaction d’une "grande fille" désireuse de se poser dans le monde ; ne déclare-t-elle pas : "Je ne suis pas assez jeune pour m’amuser

qui veulent obtenir ses secrets. Sa torture n'est pas physique, mais morale. Il est enfermé dans une chambre d'hôtel, mais rien ne peut le divertir pendant ses journées. Un jour, il parvient à dérober un manuel d'échec, et se récite les parties des grands maîtres, puis apprend à jouer contre lui-même. Mais cet effort le fait devenir complètement fou, et il est interné. Son médecin l'ayant autorisé à sortir, il s'exile, mais son état mental est extrêmement fragile. Le jour de la partie contre Czentovic

basé sur « La Parure », qui est sans doute la nouvelle la plus réussie de l’auteur célèbre du 19e siècle -- Guy de Maupassant. L'histoire révèle d’abord l'être vrai de la famille Loisel. La première section décrit le niveau de leur vie morose et la vanité de Mathilde. Elle souffre de la contradiction qui existe entre son raffinement et sa condition sociale modeste. Elle est née dans une famille ouvrière. Et en tant que femme, sa seule chance d'ascension dans la société avait être par un mariage avec

troupeau » (v. 20-21). Le conteur toutefois prend une certaine distance ironique par rapport à son personnage (« Notre laitière », v. 7; « La dame de ces biens », v. 24-; « récit en farce ») et n'omet pas de rappeler la rudesse des mœurs paysannes (« en grand danger d'être battue », v. 27). L’élément perturbateur de cette fable est la précipitation dans le rêve. L'univers de la rêverie est illustré dans le discours du personnage par la facilité présidant aux enchaînements qui conduisent du « pot au lait

demander, parce que c'est la malchance sur l'enfant. Tout ira pour le mieux, que le pasteur a mentionné le nom pendant le baptême. Après le déjeuner, la famille se rend dans le jardin et se met à parler Yber la maison, comme cela est nouveau. Depuis le grand-père se souvient de la Geschiche suivante: Un peu plus loin, seulement il ya 600 ans, un château, qui a été habitée par les Chevaliers de l'Ordre des Allemands. Le commandant de Stoffeln, qui est le chevalier suprême a ordonné que les paysans sur le