La Grande Vanité

moral et le moraliste. -Texte 1 Pascal Les deux infinis (p.484) On mesure la relativité de l’homme dans l’espace infini. On cherche a comprendre en quoi ce texte est étonnant. On en analyse la progression rhétorique. On le replace dans le grand projet apologétique de l’auteur. -Texte 2 Pascal Le divertissement (p.394) Cette fois la pensée cible une détresse morale. On mesure l’évolution du mot divertissement de Pascal jusqu’à nous. On montre la rhétorique que Pascal met en place. On

Ici les fossoyeurs sont des « cloun » (ou « clown ») (= des bouffons) ____.__et sont là pour faire rire. Le clown était un personnage traditionnel du théâtre élisabéthain. S'il était gaffeur, lourdaud et ridicule, il faisait également preuve d'un grand bon sens, et parfois même d'un cynisme proche de celui du bouffon. Il apparut dans le théâtre populaire en Angleterre au XVe siècle. Évidemment, le clown étant un personnage de comédie, il n'était jamais à la hauteur des tâches sournoises que son maître

Les voici tous deux à la cour sur ordre du souverain. Séparés, ils sont l’objet de toutes les attentions, de toutes les flatteries. Mais ni les plus beaux présents, ni la promesse d’une fortune, ni même les lettres de noblesse apportées en grande pompe à Arlequin ne les font renoncer à leur amour. Comme le dit Silvia : «Une bourgeoise contente dans un petit village vaut mieux qu’une princesse qui pleure dans un bel appartement. » Le Prince se désespère car la loi lui interdit de faire violence

atmosphère festive * Candide témoin oculaire et auditif d’une parade ou de la relève de la garde -> focalisation interne (scène vue par le prisme de Candide). * Présentation des 2 armées à la bataille est idéalisée -> impression d’assister à une grande fête qui convoque 2 sensations : * Vue (1ere ligne) : embellissement de l’armée par 4 adjectifs mélioratifs précédés de l’adverbe d’intensité « si » -> représentative du style Voltairien + cadence majeure + 2 assonances. * Ouïe (2e phrase) :

ont peu de différence » ; « plus de ressemblance » : proximité… Ex : « tu te trompes bien fort ». - Allitération en [t] > sorte de martèlement. - Insistance, homme qui est dupe, pris par les illusions - ce qui est renforcé par l'hyperbole « Grand maître en l'art d'aimer » > suggère une connaissance, un savoir, un talent . Or, ce n'est qu'illusion… Cf. « l' image » > caractère illusoire. * Poète qui évoque la mort. Cf. « En nommant le sommeil l'image de la mort, / La vie et le sommeil

"En 1675 [...] En 1679 [...] En 1686" (chap 19) "C'était lors de la grande persécution de juin 1679" (chap 20) "Durant l'hiver 1684" (chap 22) "Les années étaient passées" (chap 26) *Les vanités sont la meilleure représentation de la vie qui se consume avec l’image de la bougie et le rapprochement de la mort. Elles ponctuent le film aussi bien par leur esthétique baroque que par leur rappel récurrent de la mort. Il y a 18 vanités dans le film et on peut noter que Monsieur de Sainte Colombe en occupe

sur un promontoire qui lui permet d'être bien vu et entendu de tout le monde et tourne le dos à la danse macabre du cimetière, œuvre qui fut réalisé en 1424 et dont les images appuyait le sermon de l'orateur par le but qu'elle avait de souligner la vanité des distinctions sociales devant la mort. De cette manière, il était aisé de capter l'attention de tous. Frère Richard, comme l'indique l'auteur, est un cordelier (ligne 2). On nommait ainsi les moines Franciscains en raison de la corde qu'ils

la mort Ce poème illustre très cyniquement ce qu’est la mort. J’aime la façon dont Victor Hugo met tout le monde sur un pied d’égalité devant celle-ci. La mort paraissant tout d’abord inévitable puis plaisante. J’ai choisi de l’illustrer par une vanité car tout deux définissent la vie terrestre comme des activités vaines et futiles face à la mort. Enfance Au jardin des cyprès je filais en rêvant, Suivant longtemps des yeux les flocons que le vent Prenait à ma quenouille, ou bien

effet d’attente : quels sont les charmes dont il se réclame ? Si le temps fane toute chose, le temps n’a-t-il donc pas de prise sur lui ? En effet, il installe l’idée d’une dimension cosmique au vers 9 (« le cours des planètes ») et s’installe dans ce grand réseau qui dépasse l’histoire individuelle de chaque homme. Il utilise le champ lexical de la renommée (l’hyperbole « mille ans » mais aussi les mots « gloire », « crédit », « sauver», « faire croire ») c’est-à-dire un pari sur la postérité. En tant

discourt du singe qui ce mêle a celui du narrateur C)La dimension parodique : pose un voile littéraire sur une critique véritable • Grâce à tout un systéme de référence hétéroclites, la fabuliste parvient à rendre insituable la cour du lion grand nombre de procédé de distanciation comme «  jour » «  vassaux » «  circulaire écriture » qui sont des termes parodiant d'anciens édit royaux • Référence à la mythologie grecque dans la périphrase d'atténuation « chez Pluton » donnent à la fable sa