La Jalousie Un Ressort Théâtral

suivant : dans quelle mesure la légèreté et la simplicité de la comédie, défini comme une mécanique plaquée sur du vivant par Bergson, présente dans l'œuvre Un c hapeau de paille d'Italie , est-elle compatible avec la dimension élévatrice qui ressort de cette pièce de théâtre ? Nous établirons ce qu’est cette « illusion de la vie » qui se mêle à « un agencement mécanique » au sein de la pièce, à travers les personnages et leurs interactions dans les situations comiques, puis nous verrons que

ressent comme figé, fixé. La tragédie : C'est un genre théâtrale. Elle développe généralement une action avec un personnage tragique qui à un destin à accomplir qui le conduit à la mort ou à la folie, il ne peut échapper à son destin. Il suscite la terreur ou la pitié pour provoquer chez le spectateur la catharsis. Le spectateur en assistant à la représentation voit sous ses yeux les conséquences des désirs excessifs des personnages, il ressort guérit de ses désirs grâce à l'identification qui se produit

la princesse indifférente mais il pense donc que le mari est son rival. Il pose le mari en rival. Nemours est donc guidé par l’amour et la jalousie. On retrouve dans ce premier paragraphe le triangle amoureux traditionnel de la littérature romanesque : le mari/la femme/l’amant. Il cède surtout à la jalousie et à l’envie. « Il ne put résister » : on voit dans ce premier paragraphe que la passion l’emporte sur la raison. On revient sur les circonstances

prédominent en effet : « Vaine, minaudière et coquette » (l.1), « triste, gaie, muette, contente, fâchée, babillarde, jalouse, curieuse » (l.13-15), « battus, fatigué » (l. 27), « aimable, petits, doux » (l. 47) B- La vivacité de ce portrait Il ressort de ce portrait beaucoup de vie, beaucoup de rythme. Cléanthis va vite, enchaîne les remarques et les anecdotes, insère des citations, énumère, passe d'une idée à son contraire sans lien (parataxe). On relèvera quelques énumérations. Ligne 13 : « silence

" monstre " baroque (L'illusion comique est une pièce de jeunesse : 1635. Corneille a 29 ans et n'a pas encore écrit le Cid) qui interroge -comme le titre programmatique le suggère (comique au XVII ème signifie aussi théâtral) - autant le fonctionnement de la représentation théâtrale que la fiction représentée (les aventures de Clindor). Quels sont donc les différents visages de ce " monstre "désigné comme tel par l'auteur dans sa préface ? " Un monstre " baroque Si Corneille en 1660 qualifie sa

le théâtre au sein du lycée, bien qu’il y ait un atelier, mais à l’extérieur au sein du théâtre de l’éphémérique, dans l’atelier « ados » animé par Anne-Charlotte BERTRAND, metteur en scène au sein de la compagnie O Claire de Plume. Ma pratique théâtrale est réduite, puisque je ne pratique cette activité que depuis maintenant 2 ans. Néanmoins, à vrai dire, durant mes années de primaire, et plus particulièrement durant le CM2, j’ai eu une première approche, puisque ma professeure nous faisait régulièrement

elle frôle parfois l’impertinence par son espièglerie. On voit par son entreprise de séduction qu’elle aimerait bien progresser socialement. Même Silvia en l’écoutant finit par penser que sa servante pourrait prendre sa place, ce qui suscite de la jalousie en elle. Lisette a un don certain pour lire les gens, puisqu’elle s’aperçoit rapidement de l’attirance de sa maîtresse pour Dorante. III- AXES DE LECTURE L’ambiguïté de la lecture sociale Le jeu de l’amour et du hasard va moins loin que

sur elle. Il l’idolâtre. Il est amoureux d’elle car elle n’est que le reflet de son pouvoir, ce qui lui apporte une grande satisfaction. D’abord une rivalité politique, puis une rivalité sentimentale, lie Néron à Britannicus. Au final, Néron en ressort vainqueur puisque Britannicus est mort. Le choix du titre Pour comprendre le choix de Racine pour ce titre, il faut situer la pièce à son époque. Car à l'époque, un héros tragique une émotion forte au spectateur. Britannicus est un personnage

retournement et le jeu des faux semblants – Œdipe se trompe dans l’interprétation des propos de Tirésias en relevant ce qu’il croit être les faux semblants de l’apparence : il rabat les paroles de T. sur une dimension psychologique (l’envie, la jalousie) ou sociale (l’ambition de Créon). Ainsi celui qui était un ami (Créon) se retourne en ennemi, et le sage Tirésias en charlatan : Créon se livre à des menées souterraines, il intrigue, il soudoie (384) et Tirésias, espèce de sorcier, charlatan retors

laquelle son titre semble faire écho, L'École des femmes lui fut évidemment comparée, d'autant plus que les deux pièces présentent une intrigue similaire (un mari jaloux qui tente de se préserver du cocuage, thème déjà abordé par Molière dans La Jalousie du barbouillé et dans Le Cocu imaginaire6.) Évaluant les mérites de l'une et de l'autre pièce, les détracteurs de Molière suggérèrent que la seconde n'était qu'une redite moins convaincante de la première, opinion qui était encore partagée un siècle