La Lesion Est Elle Un Vice Du Consentement

l’obligation ou à sa cause. Ex : licéité de l’obligation, la prescription de l’obligation. L’exception purement personnelle s’apprécie au regard de celui qui va l’invoquer, elle n’est valable que pour lui. Elle tient par exemple au fait que le consentement du débiteur a été obtenu par dol, une tromperie. C’est une cause de nullité de l’obligation seulement pour lui. Il est possible que le créancier est accordé une remise de dette à l’un des débiteurs. Lorsqu’il d’agit de solidarité active, cela

annule un contrat parce que les modalités de formation n’ont pas été respecté. 4 conditions fondamentales : - Consentement valable - Capacité a s’engager - Objet certain - Une cause licite à l’engagement. Motif ou contre partie qui ne porte pas atteinte a l’ordre public Les 2 premières conditions ont pour objet de protéger l'intérêt particulier du contractant (vice du consentement). Lorsque l’incapacité est contractée, le contrat est annulé au titre d’une nullité relative. 4 A l’inverse

romains, des contrats consensuels. Le droit romain ne connaissait l’automaticité du transfert de propriété. Il fallait pour accomplir le transfert un acte spécifique. Domat exprime déjà la vente comme consensuelle. La vente s’accomplit par le seul consentement quoique la chose vendue ne soit pas encore délivrée ni le prix payé. Le transfert ne s’opère pas alors automatiquement, il est lié à la livraison de la chose pour Domat. Un siècle plus tard, Pothier précise que ce transfert de propriété

des notions voisines Si le contrat est une convention, toute convention n’est pas nécessairement un contrat. Il faut distinguer le contrat de la convention mais également des notions qui s’y rapproche. Le contrat repose sur l’échangement des consentements ce qui le distingue des actus unilatéraux, de même il crée des obligations ce qui le distingue des conventions non obligatoires . A. Le contrat des notions voisines Le contrat est une espèce de convention. Dans les 2 cas il y’as un accord de

prestations incombant aux parties s’exécutent en un trait de temps. Le contrat est dit à exécution successive lorsque les prestations s’échelonnent dans le temps (contrat de travail). Le contrat consensuel est parfait par le simple échange de consentements et n’est donc soumis à aucune forme particulière. Le contrat solennel voit sa validité soumise à la rédaction d’un écrit : acte sous seing privé ou acte notarié. Le contrat réel voit sa validité soumise à la remise d’une chose (dépôt).

contrats ne sont pas le plus souvent contraires au droit commun mais elles le précisent, elles le complètent. Parfois ces règles particulières sont en opposition avec le droit commun quand le législateur aura choisi une règle plus protectrice du consentement car le contrat lui paraît dangereux (instauration d'une forme solennelle de contrat). Contrats spéciaux = mauvaise expression car peut donner lieu à deux confusions. Contrats spéciaux laisse entendre par opposition qu'il existe un contrat

consensualisme, de l'époque romaine au XIXème siècle. Selon le système de consensualisme juridique, le contrat sera formé dès lors que les personnes auront eu la volonté de s’engager. Cet accord de volonté sera suffisant et il ne sera pas nécessaire que le consentement se manifeste de manière formelle. Nous délimiterons notre sujet entre la fondation de Rome en -753 avant JC et l'apparition du droit moderne marquée par la rédaction du Code Civil en 1804. Nous nous limiterons ainsi à étudier l'évolution de la

droit français) ; c’est une illustration de la toute puissance de la volonté, du respect de la parole donnée, cela assure enfin la rapidité des transactions. - Le contrat solennel est celui pour la validité duquel la loi exige que le consentement soit donné en certaines formes ; le formalisme, qui est exceptionnel, résulte de la volonté du législateur d’attirer l’attention des parties sur l’importance des actes qu’elles sont en train de passer – cela permet également la constatation officielle

Introduction (cf document) Titre 1 : La formation du contrat a) Les conditions de formations du contrat Le consentement, c'est l'accord des parties, il doit exister. En se manifestant de façon expresse (signature, parole...) ou de façon tacite (automatique) Il doit être de bonne qualité, c'est à dire libre et éclairé, et donc exempt de tout vice (erreur, dol, violence, lésion...). Paragraphe 1 : L'erreur C'est le fait pour l'un des co-contractant de se tromper sur l'un des aspects du

1108 (page 9) Article 1108 « Quatre conditions sont essentielles pour la validité d'une convention : Le consentement de la partie qui s'oblige ; Sa capacité de contracter ; Un objet certain qui forme la matière de l'engagement ; Une cause licite dans l'obligation. » Face à conclusion d’un contrat, il faut se demander si : Les parties étaient capables  Les parties ont données leurs consentements Pourquoi les parties se sont engagées ?  ??? La capacité. Les règles … sont les articles 1123 et