La Liberté Conventionnelle Rousseau

contemporains concevaient bien que roi ne peut ps atteinte à leur propriété privée, en procédant à confiscations arbitraires (possible confiscation mais en cas de condamnation judiciaire contre majesté) · « Les libertés des sujets »—> conçues comme droit naturel2. Le gouvernement à grand Conseil · Liberté des sujets ou piviklèges des droits acquis de poar les traditions/coutumes· Sous l’ancien règime me droit privé était essentiellement régit PR des coutumes par un droit non-écrit à la base mais qui résulte

Le critère du pouvoir légitime La tâche principale du souverain d’après Rousseau est de décider des règles sous lesquelles il veut vivre, c’est-à-dire de voter les lois14. Comment la mener à bien ? Tout citoyen qui fait partie du souverain doit se renseigner sur le critère qui lui permet d’accepter ou de refuser une loi. C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter

la Chambre des députés, qu’il dissout en Mai 1830. Mais en Juillet, l’opposition triomphe aux élections, et Charles X réagit en signant plusieurs ordonnances qui constitueront un véritable coup d’État : il dissout la nouvelle chambre, supprime la liberté de presse et modifie le régime électoral. L’opposition déclenche alors la Révolution de Juillet. Paris renverse les Bourbons en trois jours (Les Trois Glorieuses). Charles X est exilé et son cousin (duc d’Orléans) Louis-Philippe devient roi des Français

et les aspirations de la classe dominante.  Les mouvements littéraires Le Romantisme Le terme « romantisme » vient de l'anglais « romantic » qualifiant les paysages pittoresques et sauvages. Au 18ème siècle, employé en France par Jean-Jacques Rousseau qui l'utilise dans sa signification anglaise (les Rêveries du promeneur solitaire), il perd peu à peu l'acception péjorative qu'il avait prise au 17ème siècle. En 1810, influencée par le terme allemand « romantish » qualifiant la poésie chevaleresque

Le cours sur la liberté concluait qu'il existe deux types de libertés : une liberté "sauvage", celle qui consiste à "faire ce que l'on veut" et une liberté "civile", celle qui consiste à "faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" - cette limite trouvant son expression dans une loi qui protège chaque citoyen autant qu'elle le menace. Aussi la question de la liberté semble-t-elle se dissoudre dans la question du droit ; mais ce terme ambigu requiert d'emblée des distinctions conceptuelles. (Ci-contre

vivre sans lois Tant que Robinson Crusoé vit isolé, il n’a que faire des lois, et en cela loi dans le sens, en tant que normes réglant sa conduite . Puisqu’il est le seul et unique titulaire des prérogatives, il possède donc souverainement une liberté totale de faire ce qu’il souhaite. Mais l’appartion de Vendredi change sa condition. Cette rencontre marque le dèbut du besoin manifeste de lois, déstinés à lisser les conflits inévitables qui surgissent dès lors que l’homme vit en groupe. Or , excepté

s’enfuir mais Socrate ne veut pas. Si les lois sont la vérité, le fait de s’enfuir serait leur désobéir et donc commettre une injustice. Lois : engendrent, élèvent, éduquent les citoyens dans une cité précise. Les lois ne sont pas un obstacle à la liberté, un homme peut les déjouer, mais dans ce cas il doit partir de cette cité. Car celui qui reste dans la cité a fait un accord avec les lois. Celui qui n’obéit pas doit répondre de ses actes, soit convaincre la cité soit se laisser convaincre. La cité

colui, cultum » : prendre soin de/cultiver son jardin. ⇒ Il faut réfléchir sur cette métaphore agricole, cultiver un sol c’est le rendre fertile mais aussi, quelque part, lui imposer une violence contre nature pour le faire servir à nos fins. (Rousseau le dit bien dans le début de l’Émile, ou De l’éducation, en 1672 : « Il [l’homme] force une terre à nourrir les productions d’une autre, un arbre à porter les fruits d’un autre. » Faut-il dès lors définir la culture comme anti/contre-nature, comme

définir de société, un espace régis par des lois humaines et qui n’est pas soumis aux lois de la nature. Pour qu’une société fonctionne, il faut apprendre à vivre ensemble tout en ayant tous les même libertés et respecter celle des autres. De plus, pour assurer toujours ce savoir vivre et pour assurer les liberté individuelles de chacun, il est essentiel de rappeler que la société humaine est une société politique. La politique se définit par l’art de gouverner les Hommes. Une société politique est donc

  ●    Rousseau est un auteur qui occupe dans l’histoire de l’anthropologie humaine et dans la représentation de la politique une place singulière, car il est un pôle irremplaçable sur les questions de savoir ce qu’est la nature et ce que sont, ou devraient être, les institutions politiques.   ●    Remarque préalable importante : la nature humaine et la bonté originelle chez Rousseau : Pour rousseau, contrairement à ses prédécesseurs et à ses contemporains, il n’y a pas de méchanceté native :